Sofiya Ozerkova – À mort la sorcière
Quand on est femme, pilote, et plus ou moins sorcière en 1942, on découvre rapidement qu’on a beau botter des culs, ces messieurs ont d’autres priorités.
Quand on est femme, pilote, et plus ou moins sorcière en 1942, on découvre rapidement qu’on a beau botter des culs, ces messieurs ont d’autres priorités.
L’été, c’est l’occasion de s’amuser à l’Assemblée. L’électeur est à la plage, occupé à se battre avec les parents du petit Matthéo-Enzo pour que ce jeune fanfaron arrête d’envoyer du […]
Il suffit parfois de peu. Ainsi, alors que j’étais tranquillement en train d’écouter les informations, lues comme il se doit par l’une de mes stagiaires (les radios, c’est tellement has […]
Comme souvent après les élections, je suis grognon. Non pas à cause des résultats des élections – c’est mon côté beau joueur et mon amour des chansons bavaroises – mais des […]
J’ai, depuis quelques temps, la joie d’observer autour de moi de plus en plus de supporters du mouvement Anonymous. Anonymes comme leur nom l’indique, masqués et indignés (comme à peu […]
En soirée, on finit toujours par en croiser un. L’oeil agile ne le détecte point de suite, tant il semble n’exister qu’aux confins de notre champ de vision ; sa […]
Sa table était discrète, dans un coin du bar, à peine éclairée par une minuscule lampe. Elle était assise sur un petit siège au cuir probablement aussi soigneusement entretenu que le […]