Guerre et pets

Il y a des sujets pas forcément très fins.

En même temps, ce n’est pas votre serviteur qui a commencé. Car figurez-vous que durant la Seconde Guerre mondiale, les services secrets américains ont réfléchi à un plan diabolique : et si nos ennemis puaient ? Cela affaiblirait leur aura comme leur moral ! Dans le plus grand secret a donc commencé la préparation de la pire boule puante au monde.

Un projet dont on ne parlait sûrement pas quand un enfant demandait « Et toi papa, tu faisais quoi durant la guerre ? »

Voici donc un nouvel épisode du Petit Théâtre des Opérations.

Bon visionnage.

13 réponses à “Guerre et pets

    • Malheureusement les centres secrets de production et de répartition semblent toujours fonctionnels xd.

    • Hmm je ne sais pas car là-bas une odeur d’égouts peut fort bien se mélanger à du parfum à 120 balles… Difficile de dire donc si les porteurs de ce subtil mélange de fragrances veulent nous faire la guerre ou bien l’amour !

  1. Pouf… j’aurais jamais osé imaginer ça… Par contre, perso, la raclette ça me va… Cela aurait plutôt été la recette de l’andouille à leur fournir…
    Vu qu’il y en avait autour de la table US…^^ Mais bon, là, cela n’aurait été qu’une histoire d’haleine…

  2. Il y avait donc du « niveau » même dans la hiérarchie alliée…(étonnant d’ailleurs qu’ils n’aient pas appelé leur projet « pee-poo »…je sors xd)

  3. Quand la réalité dépasse la fiction… Sérieux, ce sont des hauts gradés qui avaient décidé ça ? il y avait autre chose avec l’idée, rassurez moi ?

  4. Rhoooo. Toutes ces recherches alors que l’Époisse et le Maroille existaient déjà… Des français non élevés au Philadelphia auraient trouvé la solution en si peu temps.

  5. C’est pas si mal…
    Dans la rue, un résistant peut approcher un allemand, mais si il lui tire dessus, il est mort.
    Arroser discrètement la cible en passant, il ne se fait pas prendre, l’odeur ne se fait remarquer que quelques secondes plus tard, lorsque le résistant est déjà loin.
    Je me demande quel aurait été la réaction des allemands.
    Ne rien faire et s’habituer à l’odeur? Réagir, et utiliser des ressources contre ça?
    Mais effectivement, ce serait valable seulement comme outil de résistants. Pas comme arme d’ordonnance.

  6. J’ai un peu de mal à y croire.
    Le genre de connerie qui va très facilement se répéter jusqu’à devenir un authentique bruikicourre

    la seule référence sur un who me project ou projet who me est une page wikipedia qui en biblio a cette référence très sérieuse
    https://www.americanscientist.org/article/science-that-stinks
    Mais quand on lit l’article, aucune référence à quelquechose dans la seconde guerre mondiale mais plutôt à propos de recherches en 2001.

    On dirait que c’est complètement bidon.
    Mais plus c’est gros et plus ça passe :D

    Les services secrets américains ont pourtant des projets farfelus comme ce plan visant à empoisonner les cigares de Castro pour lui faire perdre de sa superbe.

    Le who me project est un poisson d’avril.

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