Star Wars : Rabouin One

Ah, quoi de mieux en hiver, que la douce chaleur de l’âtre pour accompagner un bon livre et un excellent brandy ? Rien, me direz-vous sûrement, si ce n’est…

critique1

Que ?

Qu’est-ce que c’était ? Hmmm. Sûrement le bruit d’une bûche qui s’effondrait en se consumant. Revenons-en à…

critique2

Palsembleu, ça recommence !

« Diego ? Diego ! 
– Patron ?
– Diego, tu as entendu ? 
– Entendu quoi ?
– Mais si ! Le truc, là ! Dès que j’essaie de faire quelque chose, on aurait dit une sorte d’appel. Tiens, regarde, j’essaie de me plonger dans ce livre et… »

critique3

« Non mais, bon sang de bois !
– Quoi donc ?
– N’entends-tu donc rien ? C’est comme… si des millions de voix avaient soudainement hurlé de terreur avant de s’éteindre. Je crois que quelque chose de terrible vient d’arriver.
– Vous voulez parler de la sortie du dernier Star wars ?
– Damnation ! Mais pourquoi personne ne m’a fait signe plus tôt ? Le Spoil-Signal n’est-il pas allumé ?
– C’est-à-dire qu’entre la sortie des Animaux Fantastiques, de Premier Contact, d’Alliés et la campagne promotionnelle pour Assassin’s Creed, je crois que votre lectorat a pété l’ampoule.
– Hé bien, heureusement que mes pouvoirs de jedi étaient là pour capter le trouble de ces braves gens. Va donc préparer ma cape, mon Mauser et ma monture, fidèle écuyer. Des mecs qui me vendent un film en mettant en avant qu’il est du réalisateur de Godzilla, ça mérite sanction. »

Laissons ma cape claquer au vent et ma main sur les joues des marmots sur mon chemin, car il est temps de poser les vraies questions.

Star Wars : Rogue One, grand film ou travail de rabouin ?

Spoilons, mes bons !


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L’affiche : pas d’explosion, pas de flammes, pas de cendres, pas de débris… serait-ce un bon film ?

Notre film commence dans l’espace. Et cette fois-ci, pas de texte qui défile sur l’écran pour vous indiquer de quoi il retourne. Mais rassurez-vous, nenni de vent de nouveauté pour autant, puisque la fougue créative du scénario s’arrête là et nous fait suivre une navette impériale qui entre dans l’atmosphère d’une planète quasi-déserte (ça alors !) pour approcher d’une ferme isolée (du jamais vu !) où demeure une famille de braves prolétaires (tant de fraîcheur, je n’en puis plus, que l’on m’amène ma doudoune intellectuelle sur le champ sous la forme d’un manteau doublé en peau de Jul). Non parce que vous comprenez, un univers avec des millions de planètes, de races et l’espace comme terrain de jeu, bon, en fait, on ne va pas s’en servir. Prenons plutôt toujours le même début, et espérons que personne ne remarquera rien.

Mais, fi de commentaires putassiers, et observons plutôt comme l’arrivée de la fameuse navette déclenche la panique chez les habitants de la ferme qui a l’honneur de recevoir ces sympathiques visiteurs. Nous trouvons là trois personnes : Galen Erso, un brave père de famille qui cultive son space-colza avec l’aide de Germaine Erso, sa femme, et Jyn Erso, leur fille. Mais dans l’immédiat, Galen est préoccupé par cette navette qui les a « retrouvés« . Galen et sa famille envoient en urgence un signal pour indiquer l’aspect critique de la situation à un certain Saw Gerrera, puis Galen ordonne à sa femme et sa fille de mettre les voiles et d’aller se cacher, pendant qu’il accueille les impériaux intrus. La navette se pose près des champs de la petite famille, et libère un officier accompagné de sa garde rapprochée aux noires armures, qui viennent à la rencontre de Galen, probablement pour lui vendre le calendrier 2017 des stormtroopers vu la saison. Suivons ce qu’il se dit.

« Galen ! Vieux rabouin ! Toi, l’ancien super ingénieur en super armes, tu es devenu fermier dans ce qui est l’équivalent galactique de la Haute-Marne ? Quelle tristesse, quelle vie de solitude…
– Oui, surtout depuis que ma femme est morte.
– Ho… je suis désolé. Mais tout cela fleure bon le bluff, petit canaillou. Allez les copains, fouillez sa masure ! Et toi Galen, tu viens avec nous, on a besoin de tes compétences ! »

Hélas pour Galen, sa famille est constituée à 66% de neuneus, et sa femme comme sa fille, après avoir couru dans tous les sens, ont décidé que et siiii on revenait en arrière pour faire exactement l’inverse du plan ? Jyn, pour se planquer et regarder ce qu’il va se passer, et Germaine, pour revenir menacer de son arme les rascals qui tentent d’emmener son mari. Armée d’un blaster, elle surgit donc pour braquer Orson Krennic, l’officier qui commande ainsi à son mari de redevenir un concepteur de super armes. Orson tente de désamorcer la situation.

« Bon, écoutez Madame, je sens que tout le monde est un petit peu tendu, alors je propose que vous posiez votre arme. Venez avec votre mari, rejoignez l’empire que vous avez quitté, et vous serez traités comme des héros. Allez, quoi, vous n’avez pas envie d’une jolie masure avec des portes qui font des bruits rigolos et des loupiotes partout plutôt que votre demeure en caca ?
– Nan !
– Ah non mais oui, mais c’est pas un argument ça. Allons madame, posez votre arme ou je demande à mes stormtroopers de vous tirer dans la margoulette. Hein ? Dites.
– Ahaha, l’aut’, il sait même pas que les stormtroopers ne peuvent jamais toucher leur cible, hé !
– Oui, mais c’est un nouveau film. Feu, mes petits amis. »

Piou-piou, font les blasters, et Germaine n’a que le temps de blesser Orson à l’épaule, avant d’être elle-même transformée en fromage à raclette. Les stormtroopers auraient touché quelque chose ?

Personnellement, je n’ai pas bien vu. Car le film nous honore de la 3D et des cadrages les plus honteux de ces dix dernières années, et chacun appréciera le fait que seul un personnage à la fois est net à l’écran, pendant que le reste ressemble à un tableau impressionniste exposé en plein air durant un festival breton. Ou en tout cas, donne l’impression que les personnages évoluent au milieu de grosses taches. Attendez ? On me dit que c’est aussi le principe du scénario. Hooo. Fort bien, je note.

En tout cas, Galen est un peu grognon, car ça va être beaucoup moins pratique le sexe avec Germaine maintenant, aussi suit-il Orson et ses complices en maugréant. Jyn, elle, bien que terrorisée, quitte sa cachette pour aller enfin se cacher là où son père lui avait ordonné d’aller avant que la navette ne se pose : dans le bunker-super-secret-dissimulé-sous-les-rochers-d’une-grotte.

Parce que oui, Galen avait un un bunker-super-secret-dissimulé-sous-les-rochers-d’une-grotte. Le truc introuvable où il pouvait se planquer avec sa famille durant des mois avant que quiconque ne puisse les retrouver, même en cherchant bien. Il suffisait de faire croire à un départ précipité, et hop, c’était plié. Mais du coup, ça n’arrangeait pas le scénario. Alors bon, hein, hé. C’est donc Jyn qui échappe, seule, au raid des impériaux (là encore, je parie que ça ne vous rappelle rien ! Ho, et une histoire impliquant le papa du personnage principal, là encore, vous tombez de votre chaise, hein ?). Et qui est recueillie quelques temps plus tard par le fameux Saw Gerrera, fougueux rebelle venu chercher d’éventuels rescapés de la petite ferme.

Laissons quelques années s’écouler, et voyons voir comment les choses ont évolué.

Retrouvons donc déjà au sein d’une station spatiale commerciale le capitaine Cassian Andor, des services de renseignement de la Rébellion, qui interroge un de ses vieux copains qui aurait une info fort intéressante : un pilote de cargo impérial aurait déserté, et raconterait que l’Empire construirait une arme capable de tuer les gens jusqu’à ce qu’ils soient morts, voire les faire décéder. Ledit pilote aurait essayé de joindre Saw Gerrera, un légendaire rebelle. Pendant que nos deux amis discutent, des stormtroopers qui patrouillent les lieux les interrompent car des gens qui discutent à bord d’une station commerciale, c’est complètement suspect, et pas du tout un truc sorti de nulle part pour arranger un scénario pas bien inspiré.

« Que se passe-t-il ici ? Vous discutez avec la bouche, c’est bizarre ! Montrez vos papiers !
– Saperlipopette ! Me voilà fait ! Ah, si seulement j’étais un officier des services de renseignement de la Rébellion, j’imagine que j’aurais de faux papiers !
– C’est-à-dire que vous êtes un…
– COMMENT ? POUR M’EN SORTIR DISCRÈTEMENT JE FERAIS MIEUX DE VOUS BLASTER LA GUEULE ? OUI, D’ACCORD ! »

« Pioupioupiou dans vos margoulettes ! » s’exclame Cassian avant de tuer les stormtroopers, puis son contact pour ne pas qu’il parle, alors que toute la station passe en alerte puisqu’un idiot vient de fusiller des soldats en pleine rue plutôt que de leur montrer les papiers qu’il devait logiquement avoir pour rentrer dans la station en question. Vous vous demandez comment il s’en sort, n’est-ce pas ? Hé bien, c’est facile en…

CHANGEMENT DE SCÈNE !

Nous retrouvons le fameux pilote impérial, que nous appellerons Maurice tant son charisme inonde l’écran (ce qui expliquerait ce flou merdique des décors qui dure bien les 20 premières minutes du film). Celui-ci est sur Jedha, une planète – ça alors, mais oui ! Désertique ! Comment avez-vous deviné alors que c’est super original ? – sous contrôle impérial. Mais où opère la bande de rebelles de Saw Gerrera. Ceux-ci ont récupéré le déserteur, et l’amènent jusqu’à leur chef, qui a vieilli depuis le début du film, et est désormais un vieux baroudeur avec une jambe synthétique qui a besoin de s’appuyer sur un bâton pour marcher. Ho, et de respirer dans un masque, une fois toutes les soixante inspirations seulement (sûrement quand Jedha est en alerte pollution et que les transports en commun sont gratuits), parce que là encore, un personnage avec des problèmes respiratoires, c’est trop original dans cette saga. Tellement que même un droïde du nom de Grievous (souvenez-vous de la prélogie) en avait reçu. Je crois que je vais monter un bingo Star Wars.

Le déserteur essaie donc de plaider son cas à Saw, qui craint que ce ne soit un piège.

« Alors, es-tu une sorte de piège ?
– Mais, heu, non Monsieur Saw ! Je suis un brave déserteur ! J’ai été envoyé par votre vieil ami Galen Erso ! Il m’a confié un message à vous transmettre ! Sur cette clé USB !
– D’accord.
– Monsieur Saw, s’il-vous-plaît !
– Non mais j’ai dit okay.
– Monsieuuuuur Saw, pitiéééé !
– Mais ? Ecoute, j’ai la clé. C’est bon. Et sinon, si tu as un message oral, tu peux me le donner.
– Pitiééééé ! »

Cette scène, probablement écrite avec une narine morveuse, est fabuleuse tant on ne comprend pas trop pourquoi ni Maurice ne donne d’informations alors qu’il en a l’occasion, ni Saw ne file regarder le message sur le champ histoire d’avoir le fin mot de l’histoire. Non, à la place, Saw ne dit rien, et Maurice supplie sans trop que l’on comprenne pourquoi. Mieux encore, Saw décide, plutôt que de regarder le message, d’enfermer Maurice avec une créature tentaculaire qui peut détecter les mensonges, mais rend fou sa victime à la fin de la séance.

Mais ? Mais pourquoi, sachant que tu as quantité d’autres moyens de vérifier son histoire ? Et toi Maurice, pourquoi ne balances-tu pas plus d’infos sur ce que tu sais ? Sur l’arme qui se construit, bref, de dire ce pourquoi tu es venu au lieu de supplier, et d’ainsi gagner en crédibilité ?

Ça n’a strictement aucun sens aussi… changeons de scène, voulez-vous ?

Saw Gerrera et son splendide tube à ventoline spatiale toujours accroché au torse.

Car bien loin de là, sur une planète pénitentiaire, nous retrouvons Jyn, qui a bien grandi, mais n’a guère gagné en charisme dans l’opération, puisqu’elle fait toujours la même tête, que l’on pourrait qualifier de « Celle que tu fais quand le prof que tu n’aimes pas t’appelles au tableau« . Prisonnière de l’empire pour d’obscures raisons, mais qui impliquent probablement des crimes graves comme d’avoir téléchargé des films français, elle est en route dans un véhicule blindé pour un quelconque camp de travail où elle ira fabriquer des baskets, lorsque le véhicule est attaqué et que des rebelles en ouvrent les portes pour la libérer.

Jyn décide donc fort logiquement de péter la gueule à ses libérateurs, probablement car elle est secrètement passionnée par l’industrie de la chaussure de sport. Si vous avez une meilleure explication, je la veux bien, car même si elle n’aime pas les rebelles, autant les quitter une fois l’évasion finie, hein, parce que là aux dernières nouvelles, elle est toujours sur une planète pénitentiaire. C’est donc un personnage de plus qui se lance dans du n’importe quoi, jusqu’à ce qu’un droïde rebelle la calme d’une bonne mandale sur le coin du nez.

C’est donc sans guère de résistance – si je puis dire – que Jyn est amenée jusqu’à Yavin, la base secrète de l’alliance rebelle. Et où elle est présentée à la grande patronne de l’alliance rebelle, Mon Mothma, au sein de la salle de commandement de la base où s’agitent divers opérateurs.

« Bonjour, Jyn. Je suis Mon Mothma. Mais tout le monde m’appelle Momo. Sais-tu pourquoi tu es là ?
– Ben pas vraiment, non. Parce qu’être une simple prisonnière que l’on présente directement à la grande patronne des Rebelles… il doit y avoir une excellente raison. Puisque j’imagine bien que vous n’interrogez pas tous les prisonniers vous-même, ce serait absurde. Alors, c’est quoi le plan ? Vous voulez que je devienne votre adjointe ? Vous êtes la seule personne apte à me convaincre d’un truc ? Vous connaissez personnellement ma famille ?
– Heu… non. En fait, c’est juste pour faire du fan service bien lourd.
– Je me disais aussi que c’était très con. Sinon, vous passeriez vos journées à voir des prisonniers défiler. Sans compter que du coup, j’ai accès à tout ce qui se raconte autour de nous dans votre salle de commandement, alors c’est définitivement n’importe quoi.
– Oui mais hein, bon. Je t’explique, ma petite Jyn : nous avons besoin de toi. Nos rapports indiquent qu’un pilote de cargo impérial a fait défection à l’Empire. Et qu’il s’est rendu sur la planète Jedha pour y rencontrer Saw Gerrera et lui parler d’une arme secrète construite par l’Empire. Hélas, Saw Gerrera est le chef d’une faction de rebelles extrémistes avec lesquels nous sommes fâchés.
– Ah bon, il y a plusieurs factions de rebelles ?
– En effet. Les rebelles « classiques », nous, quoi, les « extrémistes », eux, et les « über-extrémistes ».
– « Über-extrémistes ? » Ils ont l’air super dangereux !
– Vous n’imaginez pas. Ils guettent fébrilement la moindre erreur de l’Empire et…
– … et ?
– Et ils s’indignent, lancent un hashtag puis ouvrent un nouveau Tumblr. Ensuite, ils se retirent à la cantina la plus proche pour s’inventer une nouvelle identité de demi-sullustéens polyamoureux et font des ateliers-débats « Véganisme et Wookies – Le vivre-ensemble a-t-il ses limites ? ». Ils sont trop extrémistes même pour les autres extrémistes. On les a laissés tomber.
– Je comprends. Mais donc, pour Saw Gerrera ?
– Ah, oui, pardon. Je disais que Saw est difficile à approcher. Vous avez été son amie, son élève. Vous pouvez l’approcher et ainsi nous aider à reprendre contact avec leur faction. Les amener à partager avec nous les informations obtenues du déserteur impérial. Et nous permettre de retrouver l’un des ingénieurs derrière le projet de cette nouvelle arme d’après nos informations : Galen Erso, votre père. Qui aurait poussé le pilote impérial à déserter. Avec votre aide, nous pourrions le retrouver, et l’amener à témoigner devant le Sénat galactique de ce que l’Empereur prépare vraiment.
– Parce que vous êtes sénatrice ? Et toujours active au Sénat, si vous pensez l’y faire témoigner, je suppose.
– Ben oui. Mais l’Empereur manipule le Sénat. Donc si certains d’entre nous se rebellent, c’est parce que nous savons bien que l’Empereur nous cache des choses terribles.
– Non mais j’insiste : vous êtes sénatrice, d’accord ?
– D’accord.
– Et mon père est ingénieur dans l’administration de votre Empire ?
– Oui.
– Donc, qu’est-ce qui vous empêche de le joindre directement ou de le convoquer devant le Sénat, sous bonne escorte d’une de vos planètes de confiance si vous craignez un attentat ? Il a un poste officiel, et tout. C’est pas comme si c’était compliqué de le trouver en passant par ce canal. Et la base où il bosse n’est même pas secrète, d’après l’intrigue.
– Ah mais ouiiii, tiens. Sauf que si on fait ça, l’opération commando pour vous libérer, la mission, ça n’a plus de sens. Et il n’y a plus de film.
– …
– Ooooh. Oh, c’est vrai que c’est con. Bon, vous acceptez quand même ? Parce qu’on a encore deux heures à meubler, là. 
– Oui, j’accepte. Et puis il vaut mieux pour vous, maintenant que vous avez montré votre base secrète à la première prisonnière ouvertement hostile venue, et que vous l’avez en plus laissée écouter tout ce qui se disait dans votre salle de commandement plutôt que d’aller dans une pièce isolée. Allez, zou, c’est parti ! »

Et Jyn d’accepter cette mission absurde. Pour laquelle on lui confie de joyeux compagnons d’aventure : le capitaine Cassian Andor, des services de renseignement de l’alliance rebelle et que nous avons déjà vu, et K4R4MB4R, le droïde qui avait assommé Jyn plus tôt, et qui est non seulement un droïde impérial reprogrammé, mais aussi la caution blagues nazes du film, comme tout droïde Star Wars qui se respecte. Tout ce petit monde grimpe donc dans une navette sous la direction du capitaine Andor, et direction Jedha, pour essayer de prendre contact avec les rebelles de Saw Gerrera.

Jedha est, pour votre information, une lune sous occupation impériale où ça ne rigole pas trop. En effet, comme le constatent nos héros, l’Empire y est fort occupé à démonter pierre par pierre un vieux temple abandonné consacré aux jedis pour y récolter des Pierres Magiques, les célèbres pierres utilisées pour confectionner les sabres lasers. Que peuvent-ils bien faire de toutes ces pierres ? Des dalles pour bourgeois impériaux ? Des souvenirs pour touristes ? Ou, je ne sais pas, moi, un très gros laser, au hasard, vu que ça sert à ça ? Mystère, se disent nos héros. Et pour répondre à toutes ces questions, nos héros se rendent à Jedha City, la ville principale de la lune du même nom, qui est – mais oui ! –  un grand bordel au milieu du désert, là encore, je sais, tant de nouveautés, c’est épatant. Nos héros se faufilent dans les rues (et bousculent des personnages que l’on retrouvera dans la cantina de l’épisode IV, CLIN D’ŒIL SUBTIIIIIL), où Jyn est brièvement abordée par un moine aveugle, ancien membre du temple en l’honneur des jedis à la rue maintenant que l’Empire démonte le bousin, et qui dit la bonne aventure aux passants. Jyn a un vieux pendentif offert par sa famille il y a bien longtemps, et qui n’est autre qu’une Pierre Magique, lui dit l’aveugle. Une pierre issue du cœur des plus grandes étoiles.

Cela est fort intéressant, mais surtout, fort interrompu lorsqu’un convoi impérial traverse la ville. Et qu’il est pris dans une embuscade de rebelles de Saw Gerrera ! Qui sont fort violents et menacent de tuer des civils à force d’envoyer des bombinettes partout, ce qui oblige Jyn à intervenir pour sauver un enfant, et Andor à tuer l’un des rebelles pour éviter un drame. Les extrémistes ont bien vite le dessus, mais doivent se disperser lorsque des renforts impériaux arrivent. Et menacent d’arrêter Jyn et Cassian ! Et malgré quelques blagues de K4R4MB4R dignes de son nom pour tenter de les sortir de ce pétrin en usant de son impérial châssis, les stormtroopers comptent bien les emmener tous au trou.

Mais soudain, qui voilà à leur rescousse ? Le moine aveugle, qui n’a pas de sabre, mais combat comme un jedi, et l’un de ses amis, Baze, qui lui use plutôt d’une grosse mitrailleuse blaster pour calmer les impériaux. L’aveugle, que l’on appellera Aissof, explique qu’il a senti que la Force veillait sur Jyn et Cassian. Aussi, le duo Aissof-Baze a vu le signe et est intervenu (attention, ce calembour nécessite une bonne connaissance de l’année 1992).

Nos larrons n’ont cependant que peu de temps pour s’expliquer, puisque les rebelles extrémistes, revenus sur les lieux pour d’obscures raisons (ils n’avaient pas fui les renforts impériaux il y a deux minutes ?) débarquent et arrêtent toute la fine équipe, au motif que Cassian a tué l’un des leurs. Jyn ajoute que hé, ho, on se calme, je connais bien votre chez Saw Gerrera, moi, mais on lui colle rapidement un slip sur la tête, et direction… la base secrète des rebelles extrémistes.

Qui est située dans un gigantesque roc juste en face de Jedha City.

Que… mais ?! ET PERSONNE N’AVAIT RIEN REMARQUÉ ?! Pas même le destroyer impérial en poste au-dessus de la ville, tant il est difficile de repérer des mecs en plein désert lors de leurs allers-retours QG-cité ?

Décidément, c’est de mieux en mieux.

Nos héros se retrouvent donc enfermés dans les cellules des rebelles extrémistes, et après une séquence aussi brève qu’inutile de cantina (située juste devant les cellules pour justifier ce passage obligé, décidément, autant de clin d’œil, je commence à comprendre comment un personnage a perdu la vue), Jyn est emmenée rencontrer Saw Gerrera. Celui-ci est tout joyeux de retrouver sa vieille amie, et tente de lui expliquer pourquoi il a dû se séparer d’elle brutalement des années auparavant : certains membres de sa faction avaient appris que Jyn était la fille de Galen Erso et commençaient à voir en elle plus une otage qu’une sœur d’armes. Voilà voilà.

« Bon, et sinon, tu as eu ici un déserteur impérial. Aboule les infos, il a un message ? Impliquant mon papounet ?
– Oui. Regardons-le ensemble. »

Et Saw allume un hologramme. On voit alors apparaître Galen Erso.

« Si vous recevez ce message, c’est que mon plan a fonctionné. J’ignore si ma fille trouvera ce message, car ceux à sa recherche ne l’ayant jamais retrouvée, je suppose qu’à cette heure, elle est soit morte, soit est devenue trop forte pour ses poursuivants. Raison pour laquelle je vais commencer ce message par dix minutes de gnan-gnan sur comment toi, ma fille, j’ai toujours pensé à toi très fort durant toutes ces années, toi que j’appelle ma nébuleuse avec amour, toi que je… »

« Papa, tu me fous un peu la honte à m’appeler « Ma nébuleuse » devant tout le monde, c’est un message sérieux, là ».

Oui, le mec pense sa fille probablement morte, envoie un message de la plus haute importance, mais préfère d’abord enregistrer 10 minutes de rien des fois que sa fille soit vivante, tiens, hop, et que mieux encore, elle soit là pile au moment de lire ce message, ce qui est quasiment impossible à prévoir. Mais on va dire que Galen Erso a lu le script. Et sinon, il a des trucs à dire, pendant que Saw baille aux corneilles en attendant enfin la partie importante de la missive holographique ?

« … des bisous, et puis aussi, des câlins, hihihi. Hem, bon, pourquoi je risquais ma vie en enregistrant ce message, déjà ? Ah, oui. Toutes ces années, j’ai menti à l’Empire. Je leur ai fait croire que je m’étais rendu et les aidais à monter les plans d’une arme terrible capable de détruire des planètes entières. Mais j’ai caché une faille dans le système… des failles indétectables… qui feront que si quelqu’un fait exploser le réacteur de cette arme… alors l’arme explosera ! »

Pardon ?

Sa faille c’est « Si tu fais exploser le truc, alors le truc explose ?« . Je crois que quelqu’un n’a rien fait du tout contre l’empire, à part peut-être taguer « Prout » dans les toilettes du 963e étage de l’étoile noire. Nom d’une pipe, est-ce que c’est moi ou ce truc est le message le plus stupide de toute l’histoire du cinéma ? Heureusement, peu avant la fin dudit message, l’électricité de la base merdoie et coupe le tout. Encore un coup de Linky ?

Revenons quelques instants auparavant, en orbite de Jedha.

Un objet plutôt gros vient d’approcher de la planète : l’étoile noire. À son bord, son gouverneur, le Grand Moff Tarkin (qui porte son nom grâce à sa ressemblance étonnante avec un muffin), est tout excité à l’idée d’essayer son nouveau jouet fraîchement achevé. Mais d’abord, il doit s’engueuler un peu avec le directeur du développement de ladite arme, le directeur Orson Krennic. Souvenez-vous, c’était l’officier venu chercher Galen dans sa ferme en début de film. Le voici donc plus vieux, et accessoirement, plus gradé. Cela dit, pourquoi nos deux filous ont-ils des mots ? Écoutons plutôt.

« Ouaf.« 

Merci, K4R4MB4R. Maintenant, écoutons plutôt.

« Grand Moff ! Vous avez vu ? Il n’y a plus de lasagnes à la cantoche de la station ! C’est intolérable ! J’ai encore dû prendre un cordon bleu mal cuit, et après, j’ai super mal au bide et…
– Savez-vous ce qui me donne mal au bide, directeur Krennic ? Les pilotes impériaux qui désertent. Je vous rappelle que vous êtes le responsable du développement de cette station. Et des secrets qui en filtrent.
– Raaah, c’est bon, je gère…
– Bon, en attendant, on a une étoile noire.  Et une lune de Jedha pleine de margoulins. Je propose qu’on teste l’arme. Par exemple, en rasant Jedha City et ses environs.
– Okay. Vous allez kiffer. »

L’étoile noire prépare donc son laser, tire à puissance réduite et… rase Jedha dans une monstrueuse explosion. Dont le souffle s’étend sur des milliers de kilomètres.

D’où, de retour sur la planète, une certaine secousse dans le QG de Saw Gerrera qui a un peu mis à mal le système électrique. Et une apocalypse de feu et de poussière qui se dirige droit vers la base. Vite ! Jyn s’enfuit avec ses amis prisonniers, embarque au passage Maurice le pilote impérial (qui était dans la cellule d’à côté, et qui finalement, pif pouf, n’est plus fou malgré sa séance de psycho-hentai), et tout le monde bondit dans une navette pour quitter la zone avant que tout n’explose. Saw Gerrera, lui, reste en arrière… et meurt pulvérisé avec sa base moyennement secrètement quand le souffle l’atteint. C’est tout triste. Ou non. Attendez, je crois qu’en fait, on s’en foutait un peu.

À bord, tout le monde est tristounet par principe, mais le capitaine Andor, lui, veut des réponses.

« Alors, Jyn ! As-tu vu le message que le pilote impérial transportait ?
– Oui. C’était un hologramme de mon père expliquant que les méchants ont une nouvelle arme terrible.
– Tu veux dire celle de la taille d’une planète, qui est juste à côté de nous puisqu’elle vient de tirer et que nous avons fui dans l’espace, mais que nous ne regardons même pas ?
– Celle-là même. Mon père a installé une faille dans le réacteur de cette arme. Une faille qui fait que si on fait péter le réacteur, le réacteur explosera super fort.
– … 
– Bon, merde, je sais que c’est complètement con, alors mettez-y un peu du vôtre, hein. Hooo, si. J’ai une information : mon père est situé sur Eadu. C’était dans le message, entre deux phrases sur le fait qu’il pleurait en pensant à moi toutes les nuits.
– Hmm… ça sonne un peu incestueux, mais passons. Hé bien alors, direction Eadu ! K4R4MB4R, hyperespace ! En attendant, Jyn, vous avez récupéré le message ?
– Heu… non.
– C’est ballot. Parce que maintenant, on ne va que moyennement vous croire quand vous raconterez ça.
– En même temps, vous avez vu la teneur du message ?
– C’est pas faux. »

Pendant ce temps, à bord de l’étoile noire…

« Alors Grand Moff ? Impressionné ? Vu la taille du trou qu’on vient de faire sur Jedha, il va falloir une sacrée pièce de deux euros pour que Carglass y injecte sa résine !
– Hmmm… bravo, directeur Krennic… votre arme est en effet impressionnante… en attendant, le Sénat ne doit pas savoir que nous avons pareille arme pour en finir avec la rébellion. Faites savoir qu’une catastrophe naturelle a rasé Jedha City. Caporal Roudoudou ? Envoyez la communication.
– Pardon Grand Moff, mais vu la gueule de la planète, je pense que « catastrophe naturelle », ça va être compliqué à faire passer. Sauf si l’on fait croire qu’il s’agit d’un laser sauvage qui rôdait dans la région. Un truc bien crédible, quoi.
– Il suffit, caporal Roudoudou. Personne ne doit savoir pour cette arme ! Vous m’entendez ? Personne !
– D’accord. Du coup, le vaisseau que l’on vient de voir fuir l’explosion et qui apparaît sur nos radars comme un vaisseau rebelle… ils ont tout vu. On les prend en chasse ?
– Heu… c’est dans le script ?
– Non, mais c’est logique quand même. On a des radars sur cette station. Et en plus, on surveillait fort logiquement toute la zone de l’explosion. Et comme on ne veut pas de témoins, je suppose qu’on veillait au grain, hein Grand Moff ?
– Hem… je… héééé bien… bon, caporal Roudoudou ?
– Oui ?
– Vous êtes chiant avec vos histoires de cohérence. Vous êtes viré. »

Le Grand Moff peut donc reprendre sa conversation avec le directeur Krennic.

Rogue One: A Star Wars Story (Ben Mendelsohn) Ph: Film Frame ©Lucasfilm LFL

« Ah, et directeur Krennic, il y a aussi Michel du 8e qui a bouché les chiottes, c’est votre responsabilité ! »

« Directeur Krennic, je disais, félicitations.
– Merci. N’oubliez pas de dire à l’empereur ce que j’ai fait pour lui.
– Non. Parce que pendant ce temps, la sécurité du projet est toujours compromise. Le pilote de cargo impérial qui a fait défection… saviez-vous qu’il était téléguidé depuis Eadu ? Et plus précisément, depuis le laboratoire d’un certain Galen Erso ?
– Miséricorde ! Je… je m’en occupe ! »

Pardon ? Attends mon petit directeur Krennic, je vais te montrer comment on fait. Passe-moi ta cape deux minutes.

« Directeur Connard, je disais, félicitations.
– Merci. N’oubliez pas de dire à l’empereur ce que j’ai fait pour lui. Et rappelez-lui mon idée d’utiliser l’arme sur la rédaction de Closer.
– Non. Parce que pendant ce temps, la sécurité du projet est toujours compromise. Le pilote de cargo impérial qui a fait défection… saviez-vous qu’il était téléguidé depuis Eadu ? Et plus précisément, depuis le laboratoire d’un certain Galen Erso ?
– Ah oui ?
– Oui, directeur Connard.
– Dans ce cas, si vous le saviez, pourquoi avoir gardé pour vous cette information ?
– … heu… c’est vrai que…
– Cacher au directeur en charge de la sécurité des information sur des saboteurs, cela s’appelle de la traîtrise. Gardes ! Arrêtez le gouverneur Tarkin.
– Mais non ! Je…
– Il suffit. Mettez-lui son slip dans la bouche et faites-lui des brûlures indiennes. Maintenant, indiquez à l’empereur que non seulement il a une arme ultime fonctionnelle, mais qu’en plus, je viens de découvrir dans ses plus proches collaborateurs un traître. Lieutenant Diego ? Faites commander du champagne et des astroputes, ma promotion au titre de Grand Moff devrait arriver d’ici la fin de la semaine. »

Mais non. Le directeur Krennic est un con, et plutôt que de se demander d’où Tarkin sort l’info, et surtout, pourquoi il ne l’a pas partagée plus tôt, du moins, autrement que pour sauver le film, voici qu’il prend sa claque et sa clique et s’en va d’un bon pied prendre une navette pour Eadu.

Pendant ce temps, retournons voir comment cela se passe à bord de la navette rebelle, en plein hyperespace et elle aussi en route pour Eadu. Car le capitaine Andor communique avec ses chefs.

« Nous avons localisé Galen Erso sur Eadu. Nous sommes en route pour ladite planète. 
– Bien, capitaine. Mais je crains qu’il ne soit plus simple de tuer Galen Erso plutôt que de l’extrader, il représente un trop gros danger. Tuez-le, c’est un ordre. »

Le capitaine n’apprécie guère, mais note bien ses nouveaux ordres. Il est heureux que personne ne l’ait entendu recevoir ses instructions, et surtout pas Jyn. Avec qui il va discuter.

« Tout va bien. Nous serons bientôt sur Eadu.
– D’accord. Mais dites-moi, pourrions-nous en profiter pour informer les rebelles de la nouvelle arme qui a rasé Jedha ? Et leur parler du message de mon père ?
– Non. Nous sommes en plein territoire impérial, nos communications sont épiées. »

DIXIT LE MEC QUI COMMUNIQUAIT SES INSTRUCTIONS SECRÈTES IL Y A DEUX MINUTES.

Non mais vraiment, ça ne va pas être possible. Un tel niveau de nullité, ça commence à être plus proche d’un téléfilm M6 ou d’une suite de Sharknado que d’une production à 200 millions de dollars. Quasiment chaque ligne de dialogue est ratée. C’était combien, pour le scénar ? Dix dollars ? Huit ? Un verre de citronnade ? Il va falloir m’expliquer, tant depuis le début, c’est un mélange de déjà-vu mâtiné de mal-écrit.

Ce n’est pas grave, on continue ! Car aucun personnage ne tique, ou, je ne sais pas, se rend compte que même écouté, parler de l’étoile noire, haut et fort, ça pourrait plus jouer contre l’Empire qui essaie de la cacher que contre les rebelles qui essaient de la révéler et de la détruire. Ho, et puis expliquer que l’empire a éradiqué une cité entière, j’imagine que ça ne vous aiderait pas du tout, hein. Écoutes de l’Empire ou pas, dans tous les cas, c’est complètement absurde. Diego ? Ma raquette à chatons, s’il-te-plaît, je dois travailler mon service pour me calmer.

Qu’importe. Car voici que paraît devant la navette Eadu, triste planète qui abrite une raffinerie impériale de Pierres Magiques. Et comme toujours grâce à la magie Star Wars, c’est la seule chose qu’abrite cette planète pour éviter aux héros d’avoir à la fouiller. J’imagine si l’information avait été « Galen Erso est sur Terre« . Là, c’eut été plus compliqué, mais rassurons-nous, la Force, et surtout, le Script sont avec eux. Surtout en sachant que c’est une planète fort pluvieuse et parcourues de profonds canyons, ce qui permet au vaisseau de nos rebelles d’approcher discrètement, même si, hélas, ils finissent par se manger un caillou dans le réacteur et s’écrasent comme des bouses, mais là encore, ouf, juste à côté de la base tant recherchée.

Dont les gardes n’ont pas entendu le bruit d’un vaisseau s’écrasant à 200 mètres, bien sûr.

Bouhou… bouhouhou… je… c’est si nul…

Les rebelles qui suivaient la progression de la mission depuis leur QG de Yavin sont bien embêtés : l’équipe s’est vautrée. Un officier rebelle décide donc que la mission a échoué et qu’il faut immédiatement agir pour prendre le relais et se débarasser de Galen Erso comme prévu : il commande à une escadrille de X-Wings de prendre l’air pour traverser l’espace et aller faire sauter la base.

Attendez, si c’est aussi simple que ça, pourquoi vous emmerder à envoyer une équipe au sol ? Surtout que là vous péterez toute la base, pas seulement un gus, ce qui est bon pour vous ! Pourquoi n’avez-vous pas commencé par ça au lieu de sacrifier une équipe entière de pinpins ?! Là encore, le scénario est tout bonnement fabuleux, aussi je vous propose de retrouver Jyn et ses amis dans leur vaisseau écrasé, qui heureusement, n’ont aucun bobo.

« Capitaine Andor, que fait-on ? Le vaisseau est HS !
– Pas d’inquiétude les amis. Nous nous sommes écrasés… juste à côté de la réserve de vaisseaux neufs et non-gardés de la base !
– AH BAH ÇA TOMBE BIEN ALORS !
– Tout à fait. En attendant, restez ici. Je vais aller voir à quoi ressemble la raffinerie située à 200 mètres de notre site de crash. »

Andor s’équipe d’un gros fusil, emporte des jumelles et une radio, et s’en va immédiatement se mettre en position depuis un bon point de vue donnant sur la raffinerie impériale. Qui est entièrement troglodytique… à l’exception d’une petite plate-forme d’atterrissage balayée par la pluie.

Raison pour laquelle, bien évidemment, c’est exactement là que Galen Erso et tous son comité scientifique sont en train de taper la discut’, car ils ont appris que la navette du directeur Krennic allait arriver. Ils attendent tous bien gentiment là, à la portée du premier fusil rebelle venus.

« AH BAH ÇA TOMBE ENCORE MIEUX ALORS ! » s’exclame tout l’équipage resté dans le vaisseau à la vue du script qui convulse dans son propre caca.

Mais le moine aveugle du bord est lui moins confiant.

« Le capitaine Andor… j’ai senti une force obscure en lui quand il a quitté le vaisseau… celle d’un homme qui s’apprête… à tuer. »

Les amateurs auront repéré que le bâton d’Aissof a une lampe intégrée allumée en permanence. Et que personne ne lui dit d’éteindre sur Eadu, alors qu’ils sont en plein territoire ennemi. Encore un ajout de caca gratuit.

Entre ça et le fait qu’il soit parti avec un gros fusil de sniper, il n’en faut pas plus pour que Jyn comprenne que Cassian n’est pas parti surveiller la base pour voir si on pourrait en extrader son père, mais plutôt le tuer. Elle part donc en courant du vaisseau à la poursuite du margoulin. Margoulin qui pendant ce temps, vise papa Erso de son fusil et puis… bof, ouais, non. Parce que tuer des gens depuis le début du film, y compris de vieux copains, d’accord, mais là, non. Heureusement, un télescopage vient de ses patounes velues couvrir cet étron d’illogisme sous des graviers de mauvais rebondissements, sous la forme de l’arrivée de la navette du directeur Krennic, qui se pose sur la plate-forme avant de sortir avec ses gardes pour être accueilli par Galen Erso et 5 autres scientifiques de son équipe. Cassian suit tout cela de loin, l’œil dans la lunette de son fusil. Lorsqu’il aperçoit… Jyn, qui s’est infiltrée sur la plate-forme pour essayer de venir sauver son père ! Raaah, mais bordel !

Au même moment (décidément !), la radio de Cassian crépite.

« Une formation de X-Wing va intervenir pour raser la base. Cassian, ne vous inquiétez pas, on gère.
– Quoi ? Non ! Attendez, noooon ! Il y a Jyn sur la base et j’ai envie de lui faire des bisous ! Ne tirez paaas ! »

Au sol, pendant ce temps, le directeur Krennic fait preuve de magie, au travers de dialogues qui explorent les abysses du navrant toujours plus profondément.

« Bonjour, équipe scientifique de la raffinerie. Figurez-vous que je viens… car j’ai appris qu’il y avait ici un traître qui a aidé les rebelles. Qu’il fasse un pas en avant. Personne ? Bien ! Dans ce cas, je vais tuer tout le monde !
– Naaaaon ! C’est moi, ne tirez pas ! Moi, Galen Erso !
– Oui, je le savais. Je faisais juste ça pour déconner.
– Heu… mais pourquoi ?
– … je… je sais pas… ça avait l’air marrant. »

Les spectateurs, eux, sont en train de se battre dans la salle de cinéma avec leurs sièges pour savoir qui sera le premier à atteindre la sortie et fuir cette bouse infâme. Le film, lui, continue malgré tout sur la même ligne.

« Bon, directeur Krennic, voilà, c’est moi le traître.
– Très bien… dans ce cas… JE TUE TOUS LES SCIENTIFIQUES QUAND MÊME, MOUHAHAHAHA !
– Putain mais ? Mais pourquoi cette fois ? Vous m’avez, c’est bon !
– Parce que… je suis méchant ? Et qu’un méchant doit toujours exécuter des gens de son camp sans raison ?
– Non mais mec : tu es dans la merde parce que la sécurité de ton projet a merdé. Tu m’arrêtes, voilà, ça devrait sauver ta carrière. Mais dans la foulée, tu tues 5 scientifiques essentiels à ton projet, comme ça, pour déconner ? Le genre de truc qui te mène directement à un peloton d’exécution ?
– … bouhouhou… moi aussi je veux me battre avec des fauteuils pour quitter ce film. »

C’est consternant. Mais poursuivons tout de même, car figurez-vous que c’est le moment exact où les X-Wings arrivent pour ravager la base. Piou-piou, boum-boum, raaaouaaaargh, tout explose, et Jyn échappe par miracle au massacre, pendant que les défenses de la base (environ un canon et quelques chasseurs) s’activent. Et se font ravager par Aissof le moine aveugle, qui a un arc-laser (si, si, après tout, il y a bien des arbalètes laser) et s’en sert pour abattre rien qu’à l’oreille un chasseur Tie, qui va s’écraser sur le canon de DCA, qui…

Bref, après un peu de baston moyennement crédible, la base est ravagée et le directeur Krennic s’enfuit car non seulement sa navette, pourtant posée pile au mauvais endroit n’a reçu aucun tir, mais en plus, décolle sans encombres malgré une pelletée de X-Wings encore en vadrouille non loin. Là encore, le Script est avec lui. Jyn, elle, peut courir prendre son papa mourant dans ses bras, pour qu’il lui dise quelques cucuteries bien senties essentielles avant de mourir, comme « C’est bien toi« , « Tu es si belle » ou « C’était quand même super facile de raser nos installations, je me demande pourquoi les rebelles ne l’ont pas fait plus tôt« .

Puis, Jyn retourne au vaisseau, plus exactement au nouveau vaisseau fraîchement volé par son équipe, en esquivant les quelques stormtroopers restant, qui arrivent toujours par groupe de 2 quand Jyn n’a qu’un blaster pour se défendre, ou de 30 par contre quand c’est Baze qui est dans le coin et a la mitrailleuse parfaitement adaptée. Là encore, que de coïncidences, mais suivons plutôt la conversation dans le vaisseau impérial volé alors que nos héros quittent Eadu pour regagner Yavin. Je suis sûr que nous allons enfin avoir UN dialogue réussi, pas vrai ?

« Cassian !
– Oui Jyn ?
– Espèce de salaud ! Tu étais parti pour tuer mon père ! Tu m’as caché que c’était tes ordres !
– Et ai-je tiré ? J’ai désobéi.
– C’est PAREIL. »

Ça n’a aucun sens ? C’est pourtant le dialogue original. C’est tout bonnement fabuleux. Parce que oui, le mec qui désobéit pour ne pas tuer son père, et qui demande aux X-Wings de ne pas bombarder la zone, BEN C’EST PAREIL QUE S’IL AVAIT TIRÉ insiste encore un peu Jyn pour appuyer le fait que les dialogues ont été écrits collectivement lors d’un atelier avec la classe de CE2 de l’école primaire Kev Adams de Roubaix.

C’est donc un équipage bougon qui regagne Yavin, peu avant que… que Jyn ne soit invitée à participer à la réunion de tous les chefs de l’alliance rebelle ?!

MAIS POURQUOOOOOOI ?

Diego, plus de chatons s’il-te-plaît. Merci. Ho, pendant que je me défoule, je vous laisse avec les dialogues, qui continuent à se surpasser.

« Nos dernières informations nous disent que l’ennemi a bel et bien une arme surpuissante.
– Alors rendons-nous !
– Non, battons-nous !
– Non, nous n’avons aucune chance ! Je propose plutôt que l’on se touche la nouille ! Allez, on commence par la personne à sa droite !
– Raah… si seulement nous avions un personnage qui n’a rien à faire là pour nous rappeler pourquoi nous sommes des rebelles des fois qu’après 20 ans de lutte, on ait oublié ! »

Et Jyn de prendre la parole.

« Vous rendre ? Non, nous devons nous battre ! Car c’est le moment du film où je me lance dans un long discours sur la valeur de l’espoir et de la libertééé ! »

Malgré ses pouvoirs de space-Ségolène, Jyn a beau motiver toute l’assemblée de son discours cucu-la-praline, cet équivalent galactique de Nuit Debout a besoin de prendre une décision unanime pour lancer des forces dans une grande bataille contre l’Empire. Et l’unanimité ne se fait pas (une sombre histoire de savoir si on pouvait faire des ateliers non-mixtes sur le gluten, d’abord), ce qui décourage quelque peu notre héroïne, qui quitte la réunion, dépitée. C’était cependant sans compter qu’à la sortie, le capitaine Andor et une trentaine de rebelles velus l’attendent : eux veulent se battre ! Autorisation ou pas ! Youpi !

Aussi est-il proposé d’attaquer la planète où se trouvent les archives impériales. Car là-bas, ils auront une chance de s’emparer des plans de l’étoile noire… et donc de donner les moyens à l’alliance rebelle de contre-attaquer !

Toute la fine équipe reprend donc le cargo impérial volé sur Eadu, et s’apprête à décoller, quand Maurice le déserteur qui les suit depuis le début du film et prépare le vaisseau reçoit un appel radio de la tour de contrôle.

« Dites-donc, qui est la bande de blaireaux dans le vaisseau impérial, là ? Vous n’avez pas l’autorisation de décoller ! Quel est votre nom de code ?
– R… heu… Rabouin…. Rabouin One. »

Oui, le titre du film est en fait un nom de code bredouillé par son personnage le moins crédible pour s’adresser à la tour de contrôle. Tour de contrôle, qui ne donne pas l’autorisation de décoller pour autant, mais bof, un vaisseau impérial qui quitte la base sans autorisation, avec à son bord un mélange d’anciens prisonniers et de déserteurs impériaux, ce n’est sûrement rien de grave. Ce n’est pas comme si ils avaient des millions de choses à raconter à l’Empire. Ne les poursuivons pas et… hihihi, arrête de me toucher la nouille Roger, ça chatouille !

Dans la salle du cinéma, les derniers survivants, bloqués par les piles de sièges arrachés devant les portes, tentent de balancer les boulons desdits sièges sur le projecteur pour arrêter ce film, sorte de tournante pour neurones innocents dans les sombres caves de nos boîtes crâniennes.

Pendant ce temps, rendons visite au directeur Krennic, qui après sa dernière aventure, a été convoqué par Darth Vador. Darth Vador, qui vit dans une immense tour imitation Sauron (ceux qui ont vu le film confirmeront), située sur une planète volcanique, car c’est bien connu, Darthy adore la lave (et le sable). Et on retrouve Darth Vador en train de… je… mais ? Attendez, ce n’est pas une blague ?

En train de prendre son bain. Si.

MAIS QUI A EU CETTE IDÉE ? Du genre « Et là, les mecs, on dirait que Darth Vador, il prend son bain ! Pffffrrrrt ! Putain, on est chauds là !« 

Il est donc bel et bien immergé tout nu dans un tube plein d’eau chaude, avec, j’imagine qu’on le voit mal à l’écran, un petit canard à la surface. En apprenant que son visiteur est là, Darth fait vider l’eau, file au vestiaire, s’exclame « Krrsshh… qui veut… krssshhh… que je lui fouette le cul… krshhhh… avec ma serviette ?« , et enfile son armure pour aller accueillir Krennic au sein d’une immense pièce sans meubles, parce que c’est plus marrant comme ça, et avec une porte de quinze mètres qui s’ouvre lentement en faisant « Pssshhhh… » parce qu’un sas classique, c’était plus pratique mais moins classe. Darth Vador ordonne à Krennic de stopper les failles de sécurité en cours sur le projet étoile noire, et le strangule un peu pour l’encourager à se remuer le cucu. Krennic prend ses ordres et file, avec la ferme intention d’en finir avec cette histoire.

Rogue One, de son côté, file vers la planète des archives impériales, que nous appellerons intelligemment Archivu, en hommage à l’impression que laisse ce film. Sauf que voilà : la planète est protégée par un immense champ de force, généré par une espèce de base en forme d’anneau, et tout vaisseau doit traverser cet anneau s’il veut rentrer. Et sans codes, la base fermera le champ de force au sein même de l’anneau tel une porte, et Rogue One s’écrasera dessus comme une petite crotte sur une blanche paroi de porcelaine. Heureusement, les codes du vaisseau volé n’ont pas encore été désactivés, et le vaisseau peut aller se poser à la surface de ce qui est une sorte de grande île paradisiaque avec en son centre un immense bâtiment surmonté d’une parabole tout aussi grosse, pour émettre et recevoir des quatre coins de la galaxie.

Petit problème : un officier impérial veut visiter la navette pour inspecter sa cargaison à leur arrivée. Il rentre donc avec deux gardes, sous les yeux de toute une palanquée de militaires impériaux qui vadrouillent sur la plate-forme d’atterrissage. Juste avant de partir en mission, Maurice le pilote disait « Il faudra se serrer« , mais soudainement, la navette est tellement immense que les 30 rebelles velus qui s’y planquent sont invisibles, cachés dans le compartiment à marchandises ! Merci pour cette ligne de dialogue qui rajoute juste une incohérence au film, les gars. On en manquait un peu, je trouve. Sympa.

Rogue One: A Star Wars Story..L to R: Cassian Andor (Diego Luna) and K-2SO (Alan Tudyk) ..Ph: Film Frame ILM/Lucasfilm..©2016 Lucasfilm Ltd. All Rights Reserved.

« C’est plus grand à l’intérieur » – Dr Andor

L’officier et ses hommes se font donc vertement péter la gueule, et Cassian enfile l’uniforme du Monsieur, Jyn, la tenue de l’un des gardes, et accompagnés de K4R4MB4R, ils partent en direction du bâtiment central des archives. Les autres rebelles, eux, ont pour mission de semer la pagaille sur l’île pour obliger la sécurité à se disperser.

Pardon ? Les militaires impériaux de la plate-forme ? Non, ils ne remarquent rien. Pas même l’officier qui est rentré inspecter le vaisseau qui en ressort en ayant changé de taille, barbu, avec une autre voix et un accent différent, et un seul de ses deux gardes qui a soudainement rétréci de 30 centimètres (mais son armure s’est adaptée magiquement à Jyn). Cassian, Jyn et K4R4MB4R peuvent donc partir de leur côté, les rebelles et le duo Aissof-Baze de l’autre, et le pilote impérial déserteur rester à bord pour redécoller quand tout sera bon.

Ce qu’ils ignorent, c’est qu’au même moment, le directeur Krennic est arrivé sur Archivu, a gagné le bâtiment central, et exige d’inspecter tout l’historique des communications de Galen Erso pour remonter toute faille de sécurité potentielle. Il est donc fort surpris lorsque soudain, partout sur l’île, il aperçoit par les baies vitrées des explosions et débuts de combats : une attaque rebelle ! Vite, ordonne Krennic, dispersez la sécurité dans tous les sens !

Car non, ce n’est pas lui le commandant local, mais oui, il a le droit de donner des ordres pourris à tout le monde.

L’alarme est donnée, et des stormtroopers partent dans toutes les directions sans comprendre ce qu’il se passe, persuadés que toute une armée les attaque, alors qu’il ne s’agit que de diversions. Sauf que le réalisateur croit tellement à sa propre diversion que les effectifs des rebelles passent magiquement de 30 à environ 120 sans aucune explication. C’est donc la grosse baston, pendant qu’à l’intérieur du bâtiment, nos héros profitent du chaos pour progresser jusqu’à la salle des archives impériales.

Qui est constituée d’une gigantesque étagère haute de la taille du bâtiment, et remplie de disque durs pourris. Et pour en consulter un, il faut… manipuler des pinces depuis une salle de contrôle pour aller le chercher ! Puis le monter manuellement jusqu’en haut de la tour, le brancher à la parabole et le communiquer.

Je… c’est ridicule. Je vous laisse imaginer comment ça doit être le merdier quand toute une galaxie n’a qu’un seul centre d’archives comme ça.

« Bonjour, et bienvenue au centre d’appel des archives impériales. Vous souhaitez contracter un abonnement, tapez 1. Vous souhaitez en savoir plus sur vos avantages fidélité, tapez 2. Vous souhaitez consulter une archive, tapez 3.
– 3 ! 
– … vous souhaitez changer vos informations client, tapez 4. Vous souhaitez signaler un dysfonctionnement de…
– 3 ! 3, bordel ! Raaaah ! 3-3-3-3-3 !
– … vous avez tapé… 3.
– Oui.
– Dites votre demande à haute voix. Par exemple pour consulter des « Plans de droïde », dites « Plans de droïde »
– « Plan du pistolet blaster Mark II. »
– Vous avez dit « Mark Dorcel ». Voulez-vous continuer ?
– PUTAIN MAIS NON ! Mais bordel d’archives de… « BLASTER MARK II ! »
– Vous avez dit « Blaster Mark II ».
– Oui !
– … en raison d’une conception des archives merdique, nous ne pouvons traiter qu’une demande à la fois pour toute la galaxie. Vous êtes actuellement : 1 003 587 en ligne. Votre temps d’attente est estimé à : 890 années impériales. Merci de patienter en écoutant La Marche impériale. Nous vous rappelons que cette communication vous est facturée 15 crédits la minute. »

Merveilleux.

En attendant, même si nos héros ont gagné la salle de contrôle des archives, ils rencontrent un nouveau problème : il faut consulter l’index. Or… chaque projet a un nom de code. Lequel est celui de l’étoile noire ?

« Alors, voyons voir… Sombre Vision… Aigle de Feu… Masseur pour Joues…
– Non ! Ce n’est pas ça ! Cherche encore !
– Projet Orion… Lance de l’Aube… Half-Life 3…
– Raaah !
– … Nébuleuse…
– Attends ! Attends Cassian, c’est ça ! 
– Pardon ?
– Nébuleuse ! C’était le surnom que me donnait mon père quand j’étais petite ! C’est forcément le projet ! »

Cassian cligne des yeux.

« Bé non, c’est complètement débile.
– Et pourquoi pas ?
– Déjà parce que « Nébuleuse », dans un empire galactique, ça désigne plus de choses que ton petit cul, sale special snowflake.
– Mais…
– Et puis bon, t’es gentille, mais ton père était scientifique sur un projet. Le patron, c’était Krennic. Donc c’est Krennic qui a dû choisir le nom, pas ton père. Ça n’a aucun sens.
– Je…
– Sans compter que tu imagines, même si ton père avait eu le choix du nom, tu penses qu’il aurait donné le nom de sa fille chérie à une arme conçue pour vaporiser des millions de gens, hmmm ? »

Sauf que : le script a dit que si, si, c’était logique, donc paf, c’est ça.

Nos héros récupèrent le disque dur (et ont même une poche à disque-dur impérial à la ceinture, ça se trouve dans le commerce), mais ne peuvent quitter la salle de contrôle… car ils ont été repérés et K4R4MB4R a juste le temps de faire une paire de dernières blagues avant de verrouiller le bousin pour les protéger, puis de mourir fusillé par les impériaux (qu’il massacrait par paquets de quinze juste avant alors que les autres droïdes du même modèle côté impérial étaient nuls au combat). Il ne reste donc qu’une issue à Jyn et Cassian : sauter sur l’étagère géante des archives et l’escalader jusqu’en haut du bâtiment pour atteindre la parabole !

Pendant ce temps, que se passe-t-il à l’extérieur ?

Hé bien, les rebelles se rebellent grave, mais sont rapidement dépassés par la sécurité des lieux, ou par l’apparition soudaine de quadrupèdes géants blindés AT-AT, qui n’étaient pas là sur les plans précédents, mais pif pouf, apparaissent soudainement, et pas du tout juste pour faire plaisir aux fans. La diversion commence par conséquent à se faire sérieusement disperser… jusqu’à ce que les messages radios désespérés des rebelles sur place traversent l’espace et atteignent Yavin. Où tout le monde, découvrant que certains sont allés se battre, vote unanime ou pas, se décide à aller les soutenir et à combattre, saperlipopette !

Rogue One: A Star Wars Story Ph: Film Frame ©Lucasfilm LFL

Les AT-AT étaient sûrement cachés dans le sable, c’est si facile à planquer.

La flotte rebelle traverse donc l’espace à folle allure, et apparaît au-dessus d’Archivu, ce qui surprend un peu la flotte locale. Quelques chasseurs et transports de troupe rebelles ont le temps de plonger dans l’anneau d’accès à la planète avant que celui-ci ne soit verrouillé (les mecs attendent gentiment l’ordre, sinon, ils font juste « Ho ben non, vous avez pas le droit de passer là, hé !« ). Les troupes au sol ont donc du renfort, et les AT-AT se font meuler par des X-Wings qui dans d’autres films, avaient autrement plus de difficultés à leur faire mal. Au passage, on appréciera le look des fantassins rebelles, qui sont intégralement équipés façon guerre du Vietnam, et pas du tout parce que ça coûte moins cher de repiquer des accessoires dans les réserves hollywoodiennes plutôt que de respecter un peu son univers.

Une fois la planète entièrement verrouillée sous son champ de force, c’est un peu la panique au sol : cela coupe les communications ! Comment faire pour communiquer les plans ?

Maurice le pilote déserteur, toujours à bord du vaisseau Rogue One, a une idée : il faudrait un émetteur surpuissant. Hop hop, il tend deux câbles, appuie sur trois boutons (avec l’aide de Aissof et Baze, qui meurent dans l’affaire en se sacrifiant pour l’aider et en esquivant les tirs jusqu’au moment crucial en répétant leur mantra « Je suis avec le Script et le Script est avec moi« ), et parvient à communiquer par radio avec Marco Ramius, le commandant de la flotte rebelle.

« Allô, commandant Ramius ? Ici Rogue One ! Vous devez désactiver le bouclier autour de la planète, sinon, on ne pourra pas communiquer avec vous !
– … vous faites quoi, là ?
– … ah oui, merde. Heu… non mais je… c’est parce que je viens de bricoler un émetteur surpuissant ! Mes amis n’en ont pas pour communiquer les plans !
– Et la grosse parabole au sommet de la tour qu’ils comptent utiliser et qui est l’émetteur le plus puissant de la galaxie ?
– … MAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS ! »

C’est donc après avoir communiqué ce n’importe quoi que Maurice meurt à son tour, lorsque des méchants jettent une grenade à bord de son vaisseau, faisant sauter le tout. Pour quitter la planète, cela va être plus dur ! Puisqu’il ne reste plus que Jyn et Cassian au sol, suivons leurs aventures alors qu’ils continuent à escalader l’étagère géante des archives. Car pour eux aussi, cela sent le roussi ! Surtout lorsque Krennic, surgissant avec ses hommes d’une porte donnant sur l’étagère (heu… pourquoi une porte ici ? N’importe qui peut venir piquer des archives depuis cet endroit en s’aidant de pinces, du coup ? Une telle négligence, on dirait du Christine Largarde) arrose la margoulette de nos héros et si ses deux gardes se font tuer par Cassian, ce dernier reçoit un pruneau de Krennic et tombe, blessé, sauvé du vide autour de l’étagère par une plate-forme qui n’était pas là sur les plans précédents.

QUELLE CHAAAAANCE DÉCIDÉMENT !

Jyn, qui a les fameux plans, continue donc seule à progresser, jusqu’au sommet de la tour, où il y a… un sas qui s’ouvre et se ferme en boucle. Pourquoi ? Ne me demandez pas. Mais en tout cas, elle le passe en usant de ses pouvoirs de gymnaste, et arrive jusqu’au sommet où se trouve la parabole ! Elle a bien quelques mésaventures pour aligner la parabole (ce qui se fait avec un seul bouton qui la pointe droit vers la flotte rebelle, un ingénieur s’est sûrement dit que ça serait utile un jour de mettre un bouton « PRESS TO BETRAY« ), surtout quand un chasseur impérial qui passait par là… tire sur la tour ?!

Mais STOP ! Mais relisez-vous, nom d’une pipe !

Hem je… reprenons.

Bref, malgré des événements qui n’ont aucun sens, et sans jamais avoir manipulé l’émetteur le plus complexe de la galaxie, Jyn a tout aligné pour communiquer, et s’apprête à envoyer les plans quand… surgit Krennic, qui la braque de son blaster.

« Krennic !
– Mais quiiiiiii êtes-vouuuuuus ? (ceux qui ont vu le film en français apprécieront l’implication des doubleurs digne de Nicky Larson)
– Jyn Erso, la fille de Galen Erso ! Et je vais en finir !
– Oui mais d’abord, on va rester là, comme ça, tranquillou. Et je ne vais pas te tuer tout de suite. Et tu sais pourquoi ?
– Parce que je suis la gentille ?
– Oui, ça je le sais depuis que j’ai vu que je bossais pour un mec vivant dans la tour de Sauron sur une planète volcanique, ça m’a mis la puce à l’oreille. Mais non.
– Ah non, ce n’est pas pour ça ?
– Non, c’est parce que le scénario tient à ses incohérences et au fait que tant que le bouclier est actif autour de la planète, tu n’es pas censée pouvoir communiquer. Donc…
– … on attend le rebondissement qui va couper ledit bouclier sinon j’aurais lancé la communication pour rien.
– C’est ça. »

Allons donc voir en orbite, et retrouvons le commandant Ramius, qui rouge comme un mois d’octobre devant ses troupes qui se font meuler par la flotte impériale (et qui n’avaient pas commencé par tirer sur les hangars de chasseurs ennemis, leur laissant la possibilité de venir les éclater en paix, merci), décide de changer de plan.

« Vite, tirez les torpilles qui font tomber tout ce qu’elles touchent en panne ! Et tirez-les sur le destroyer impérial en face !
– On a ça, nous ?
– Bien sûr !
– Mais alors pourquoi on a pas commencé par ça ?
– … vous avez vu le reste du film ?
– Ah oui. Au temps pour moi. FEU ! »

Et pan, des torpilles larguées par petits appareils touchent un destroyer impérial, qui se retrouve instantanément en panne et privé de bouclier. Le commandant Ramius a donc une idée.

« Tirer les mêmes torpilles sur la base en forme d’anneau qui génère le bouclier planétaire ?
– Non… ce serait trop malin Monsieur… Monsieur… 
– Roudoudou. J’ai été viré par l’Empire, j’ai rejoint la Rébellion, du coup.
– Je vois. Non, à la place, grâce à ma science des dominos et des dimanches entiers passés à jouer avec ma mamie, je pense que si j’envoyais un vaisseau s’écraser contre le destroyer en panne, ça le pousserait contre le destroyer voisin, qui tomberait sur la base des boucliers et donc, les désactiverait ! Et kamoulox !
– … théorie qui ne repose que sur la situation actuelle des vaisseaux ennemis. Et si l’un d’entre eux, je ne sais pas moi, bouge ?
– JE SUIS AVEC LE SCRIPT ET LE SCRIPT EST AVEC MOI ! Et au passage : vous êtes viré, Monsieur Roudoudou ! »

Ce qui est tristement dit est tristement fait : on tire à la courte-paille Jean-Jacques et sa petite corvette et on lui ordonne d’aller s’écraser sur le destroyer en rade. Ce qu’il fait, et comme tout le monde attend gentiment que l’effet domino fasse effet, il est trop tard pour le second destroyer lorsqu’il voit le premier venir s’écraser sur lui, et tout ce petit monde se vautre sur la base des boucliers, les désactivant. Yay !

De retour sur Archivu, au sommet de la tour…

« Ah ? Les boucliers sont tombés, Jyn. Maintenant, il faudrait juste le deus ex machina qui va me tuer, et te permettre de… AAAARGH ! »

Krennic s’effondre après avoir reçu un coup de blaster dans le dos. Qui donc a tiré ? Ho ! C’est Cassian !

« Cassian !
– Oui Jyn… je ne pouvais te laisser…
– Non en fait, je me demandais : comment es-tu arrivé jusqu’ici alors qu’il y avait le sas à la con qui s’ouvre et se ferme en haut ? Moi je suis passée en mode ninja, mais toi, tu es blessé aux dernières nouvelles.
– J’avais du mercurochrome. »

Tout. Est. Raté. On dirait que les mecs ont repris les scénaristes de La Planète des Singes : Origines.

Nos deux rebelles peuvent cependant envoyer comme convenu les plans à leur flotte, permettant ainsi au commandant Ramius de les enregistrer sur clé USB. Au même moment, hélas, un énorme objet surgit de l’hyperespace : l’étoile noire ! Venue prêter main forte à Archivu. À bord, Tarkin est taquin.

« Bien. La flotte rebelle est là.
– Voulez-vous qu’on la vise ?
– Non.
– Hein ?! Mais ils sont tous là ! 
– Non non. À la place… visez les archives impériales.
– HEIN ?! Mais putain ça n’a aucun sens !
– Lieutenant Radada, vous commencez à me rappeler votre mystérieux cousin. Il vous ressemblait beaucoup d’ailleurs, à part cette espèce de grosse moustache que vous portez.
– Non mais je suis sérieux : le message est transmis ! C’est bon, c’est fini ! Là vous allez juste raser TOUTES les données impériales essentielles à notre recherche militaire SANS AUCUNE RAISON ! L’Empire ne s’en remettra jamais ! 
– Oui mais…  je suis avec le script et…
– Raah, allez les gars, feu, finissons-en. »

Pendant que toute la flotte rebelle s’enfuit comme elle le peut en profitant du fait que l’étoile noire est occupée à faire n’importe quoi, cette dernière tire, le rayon arrache l’antenne du bâtiment des archives impériales et… continue son chemin pour se planter 3000 kilomètres plus loin.

Je suis sérieux : les mecs viennent de rater la cible d’environ 3000 kilomètres. Pourquoi ? Ah ben attendez, il y a une bonne explication :

C’est pour le côté romantique.

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Au fait : Darth Vador sortant du bain. Ce qui explique la vapeur senteur framboise, notez.

Car dans le même temps, Jyn et Cassian se sont téléportés au bas de la tour des archives (ne me demandez pas, je ne cherche même plus), sont allés se poser sur une plage paradisiaque sans que personne ne les embête (c’est magique jusqu’au bout ; il n’y avait pas une énorme bataille ici il y a deux minutes ?), et de là, se prennent dans les bras l’un de l’autre en regardant l’explosion qui arrive droit vers eux. Bon, vu depuis l’espace, c’est d’abord l’effet de souffle et une tempête de débris qui arrive vers eux, mais au montage, ils se sont plantés et il n’y a plus que la lumière de la boule de feu, probablement parce que c’est plus joli de voir les deux larrons se faire engloutir dans la lumière que de se prendre de gros cailloux sur la gueule. Jyn et Cassian meurent en ayant accompli leur devoir.

En orbite d’Archivu, seul un vaisseau rebelle demeure : le vaisseau amiral de Ramius, trop endommagé pour avoir pu fuir. Et il est abordé par… Darth Vador en personne.

Les rebelles se font donc découper, stranguler, projeter dans tous les sens, et bref, se font meuler. Ils ont juste le temps d’évacuer les plans de l’étoile noire vers une corvette qui décolle en urgence et au sein de laquelle, ils sont remis à une certaine princesse Leïla.

« On a les plans de la faille de l’étoile noire. J’espère que les impériaux n’auront pas l’idée de mettre une grille sur leur conduit d’évacuation, sinon, tout ce film n’aura servi à rien. » pense-t-elle sûrement et…

… FIN.

Comme toujours, je vous laisse le soin de relire les critiques en début d’article. Du travail de pro.


Au même moment, chez Disney.

« Les mecs, les mecs ! Vous avez vu les critiques sur Star Wars : Rogue One ?
– Tout à fait, Roubieux. Notre plan « Fecal Recall » se déroule à merveille.
– Que… quoi ? De quoi parlez-vous ?
– Ah, désolé Roubieux, c’est vrai que vous êtes nouveau chez Disney. Vous n’étiez pas là lors du lancement de l’opération Fecal Recall. Vous n’avez rien remarqué d’étrange concernant Star Wars ?
– N… non ?
– Ahaha… c’est fameux. Voyons, Roubieux. Soyons sérieux. Un univers gigantesque. Des millions de planètes différentes et autant de races extra-terrestres. Des civilisations perdues, des recoins oubliés, de la noirceur qui peut jaillir de n’importe où… et pourtant, on fait tout le temps des films basés sur l’étoile noire et sa fin. Soit une seule scène du tout premier film.
– Que… je ne comprends pas.
– La première trilogie ? Lucas avait tout compris. En trois films, deux ne tournent qu’autour de l’étoile noire. La prélogie ? Elle raconte comment on en arrive à l’étoile noire. L’épisode VII ? La nouvelle étoile noire. Rogue One ? La construction de l’étoile noire. À partir d’une scène culte, combien de films de merde peut-on faire sans que personne ne remarque qu’on recycle sans cesse le même truc ? C’est le but de l’opération Fecal Recall, Roubieux. Rebalancer le même étron en boucle pour l’exploiter toujours plus sans faire aucun effort. Thillier ?
– Président ?
– Montrez à Roubieux ce que nous prévoyons avec nos autres licences maintenant que Fecal Recall est un succès. »

Roubieux sent la sueur perler sur son front et sa gorge se serrer alors que sur l’écran de la salle de réunion apparaissent les titres des productions à venir.

« Vous vous souvenez tous de la scène culte où la maman de Bambi est tuée par le chasseur ? Vous aimerez :
– La trilogie-préquel « La maman de Bambi », où comment la maman de Bambi est devenue la maman de Bambi.
– Le préquel « Bambi : Roger Houane », qui raconte l’histoire terrible du chasseur qui a tué la maman de Bambi.
– Le spin-off « Pan-Pan contre PAN PAN », ou l’incroyable rencontre entre un lapin et une cartouche à sanglier. »

Roubieux s’effondre dans sa chaise, alors que son président lui jette un regard empli de fierté et de fourberie.

« Et ce n’est qu’un début, Roubieux ! Vous imaginez tout ce qu’il est possible de faire sans s’emmerder à inventer de nouvelles histoires ? Aladdin juste avant de trouver la lampe ! Le prince de La Belle et la Bête avant qu’il ne devienne la Bête ! Le Roi Lion vu par Scar ! 
– Attendez, mais alors tous nos classiques d’animation que l’on ressort en ce moment en version film c’est aussi…
– Mais oui, toujours Fecal Recall, Roubieux ! C’est complètement évident, et personne n’a pourtant remarqué ! C’est génial ! Plus besoin de s’emmerder : on rebalance en boucle le même script, et le côté nostalgique de générations d’adulescents nous permet d’être couverts de fric et de bonnes critiques tout en se foutant ouvertement de leur gueule pourvu que ça leur rappelle les scènes cultes de leur enfance ! »

Le président soupire d’aisance, avant de se lever pour aller griffonner sur le tableau blanc de la salle. Les collègues de Roubieux se mettent à pouffer dans leur chaise, comme s’ils savaient déjà ce qu’il va se passer.

« Prenons une merde, Roubieux. Bien ronde. Une bien belle merde, en somme. Le genre qu’on vendra bien » 

Le président s’applique à dessiner un cercle parfait, qu’il colore de noir. Il s’applique, avant d’ajouter.

« Cette merde marche. Hop, on va forcément en faire une suite. Un peu moins belle, un peu plus petite, mais vaguement liée. »

Le président dessine un cercle plus petit en haut à droite du cercle, vaguement relié à celui-ci, et Roubieux s’attend à voir un diagramme de Venn, jusqu’à ce que le président noircisse aussi ledit cercle.

« Maintenant, que cette suite moins réussie nous rapporte aussi du pognon, qu’est-ce qu’on va faire, Roubieux ?
– Un… un préquel ? »

Le président dessine un cercle juste à gauche de celui qu’il vient de dessiner, de la même taille que celui illustrant une suite et tout aussi relié au gros cercle de départ, qu’il noircit aussi.

« Voyez, Roubieux. D’une bien belle merde, on peut tirer d’un côté des suites, de l’autre des préquels. Ce schéma vous dit quelque chose, Roubieux ? »

Roubieux ne répond que par un gargouillis, en réalisant la vérité avec effroi.

Car devant lui, s’étale le logo de Disney.

« Ça vous rappelait la tête de Mickey, Roubieux ? Effet nostalgique. En réalité, ce sont juste trois merdes sur fond blanc. Tout n’était que Fecal Recall depuis le début, Roubieux. »

Furent les dernières choses que le pauvre employé entendit avant de s’évanouir.

256 réponses à “Star Wars : Rabouin One

  1. Absolument parfait, comme toujours !!!
    Même si j’ai beaucoup apprécié le film, cette critique reste vrai et hilarante.
    Et la petite référence à Doctor Who était de qualité !!!

    • Ah bon ?

      Bof.
      Avant il y’avait plus d’images.

      Fut un temps je lisais tout et les films étaient un peu moins prévisibles en tant que grosses daubes.
      Là sans déconner c’est du StarWars réchauffé de chez réchauffé, pourquoi pas KingKong SkullIsland tant qu’on y est ?

      La qualité de ce site est sérieusement retombée depuis Transformers…

    • Bien d’accord! En plus, le jeu de mot m’a pris par surprise. J’ai failli devoir stopper ma lecture!

  2. Z’avez oublié un détail à propos de la princesse Leïa lors de la séquence finale… Qu’est-ce qu’elle fait au milieu de la bataille ? Je veux dire, elle est pas censée être envoyée par le sénateur Organa à la recherche d’Obi-Wan? Si c’est ça, comment on explique sa présence au-dessus d’Archivu?

  3. Vous oubliez le tout début avec la navette impérial proche d’une planète style Saturne qui fais le bruit d’une mobylette^^

    Dédicace au retour de la vigie rebelle sur son très haut nid de pie qui ne fait que regarder les vaisseaux passer.

    • Oui faut déconner quand même, la critique est drole, mais se prête moins à la critique que des gi Joe où transformers.
      Surtout que pour Cassian par exemple, c’est un mensonge. Pas un bug scénario.
      Pour les AT-AT c’est des transporteurs, pas des blindés lourd.
      Les armes ioniques ont déjà été utilisés dans le 5 sur goth.
      Tarkin sont but est de tué krannic.

      Un Marvel ok, le réveil de la force ok là on parle pas de bouse.

  4. Ouch.
    Même si je crois que ce qui m’a fait le plus mal dans tout ça, c’est « l’école kev adams ».
    Et sinon, cette obscure histoire d’espions Bothan qui s’étaient sacrifiés par dizaines pour récupérer les plans de l’étoile noire (petite citation de l’épisode IV), et qui fait que les Bothans emmerdent le monde dans les livres Rogue Squadron ? non ?

      • « De nombreux bothans sont morts pour récupérer ces plans » dit Mon Mothma dans l’épisode 4. Aucun Bothan dans Rogue One.
        Mais ce n’est pas tout : Leia accuse Vador de « félonie », une attaque en traître en somme, alors que dans ce film c’est la rebellion qui attaque.
        Et Vador, juste avant, épisode 4 toujours : « si ce vaisseau est un navire diplomatique, alors où est l’ambassadeur ? »…
        Enfin : R2D2 et C3PO disent bien : « notre précédent maître était le sénateur Antilles », mais invisible ici.
        Bref, rien à voir avec la fin de Rogue One… mais c’est un truc de puriste.

      • Non il n’y a pas de mentions aux bothans dans l’épisode IV, c’est les codes de la base d’Endor qu’ils ont chopés http://starwars.wikia.com/wiki/Bothan/Legends
        De même C-3PO et R2-D2 disent avoir appartenu au capitaine Antilles (Antilles c’est le « Smith » de Star Wars) qui apparaît aussi bien dans Rogue One que dans A New Hope.
        Et sinon j’ai pas compris le problème avec les dialogues.

      • Leia en accusant Darth Vador de félonie, peut avoir eu connaissance de son passé de Jedi passé autrefois du côté obscur de la Force, sans pour autant savoir qu’il est son père…

  5. Ouch.
    Même si je crois que ce qui m’a fait le plus mal dans tout ça, c’est « l’école kev adams ».
    Et sinon, cette obscure histoire d’espions Bothan qui s’étaient sacrifiés par dizaines pour récupérer les plans de l’étoile noire (petite citation de l’épisode IV), et qui fait que les Bothans emmerdent le monde dans les livres Rogue Squadron ? non ?

      • L’étoile noir vient de la traduction V.F pour le IV alors que c’est l’étoile de la mort et c’est Mon Mothma me semble il qui en parle des espions Bothan dans le IV.

  6. Et bien, ayant vu le film moi même, c’est fou ce que je décèle de mauvaise foi dans ce spoil.
    Et en sachant qu’une bonne partie de la bonne foi serait probablement effacée par toutes les scènes que Disney a coupé parce qu’il trouvait la version de base « trop sombre »…
    Perso, Rogue One était ma grosse consolation après Star Wars 7.

    • En venant se perdre ici, on n’ignore pas longtemps le tropisme du Taulier… En ayant vu moi aussi, le film, j’ai remarqué des incohérences plus ou moins flagrantes mais le plaisir de retrouver l’ ambiance Star W. les gomme aisément…
      S’il fallait refuser de voir un film convenablement réalisé pour cause de facilités narratives, pas grand chose n’arriverait dans nos mirettes… ;-)

      • « le plaisir de retrouver l’ ambiance Star W »

        Oui, voilà, tout est dit. C’est ce que je n’avais pas ressenti avec l’épisode VII.

      • Le 7 était quand même un sérieux foutage de tronche. Très beau. Mais sérieux le vieux repompage. Un reboot non assume.

  7. « Jyn, pour se planquer et regarder ce qu’il se passer » une petite coquille…
    sinon j’ai beaucoup aimé le film, mais vos spoilers sont toujours hilarants

  8. Autre petite coquille « qui arrivent toujours « pas » groupe de 2 quand Jyn n’a qu’un blaster ».

    Sinon, je tremble un peu pour l’avenir du cinéma.
    J’ai beaucoup aimé la fin de votre article, Odieux, il manquait un nom sur cette machination disneyenne méphitique… Encore merci !

  9. Aaaaah … Je ne suis pas la seule à avoir remarqué cette belle incohérence avec le pilote qui se fait palper par la créature digne d’un hentaï. A tout casser, pour moi, sa période  » je suis cinglé (ou plutôt, j’ai la maladie d’Alzheimer) » n’a duré qu’un quart d’heure de film. Après, curieusement, une fois qu’ils vont chercher papa Erzo, bah  » ooooh, je vais mieux et je sais comment ça s’organise là-bas 8D ! ».

    Merci, maître Connard (oui, pour moi, vous êtes un maître en la matière pour déceler de tels trucs que la spectatrice que je suis ne décèle pas ou très peu)^^.

    • Selon Saw Gerrera la créature peut vous faire perdre la tête, mais il n’en fait pas une vérité générale, la réplique est surtout là pour souligner le côté extrêmiste.

  10. Ben alors mon cher Odieux, il vous en manque un petit paquets :
    – les vaisseaux qui se posent loin de leur destination histoire qu’on doive passer 10 min a y arriver pour laisser une gamine le temps de se barrer par ex…
    – lors de l’explosion de jedha, on voit l’explosion arriver leeeeentement et on a même le temps de voir le vaisseau arriver mais des qu’on est dedans, il faut passer en hyperespace pour y échapper.
    – les stormtroopers qui sont si mauvais qu’il faut en inventer des noirs pour avoir une vague menace.
    – les stormtroopers spécial plage en jaune qui ne servent à rien ( on a déjà les sandtroopers dans l’épisode IV).
    -Le directeur qui demande à voir tous les ingénieurs et une fois que les 5 sont là, se fait confirmer qu’ils sont bien tous là. Donc 6 ingénieurs pour une étoile de la mort… Je comprends mieux alors.
    – les droides d2 et c3po qui sont insupportables sur 2secs d’apparition
    – le destroyer en papier mâché qui est littéralement découpé quand l’autre destroyer lui rentre dedans au ralenti. D’ailleurs je ne me souviens pas les voir tirer un coup de feu.
    -l’héroïne qui prends la tête du commando devant leur propre capitaine juste après avoir a peine débarqué chez les rebelles et leur avoir servi un discours aussi pathétique. (J’ai même reconsidéré mon point de vue sur katniss dans Hunger games après ça)

    • et vous en oubliez aussi:
      – le papa qui dans son message fait plein de bisous pour sa fille pourrait directement donner les plans de l’Etoile Noire qu’il connaît plutôt que d’aller leur dire de les voler sur Archivu
      – Jyn qui une fois avec les 30 rebelles expose son plan pour dérober les plans de l’Etoile Noire qui doit changer la face de la galaxie « alors les gars, on est 30, ils sont une armée, on y va quand même, une fois sur place, on voit où ça nous mène, ça marche, tant mieux, ça marche pas tant pis, mais en croisant les doigts et en serrant les fesses, ça devrait passer! » En termes de motivation, j’entends ça comme discours, je déserte la rébellion…
      – puis y’a le pseudo-Jedi aveugle qui, pour actionner une manette, marche tranquillement au milieu d’un champ de bataille sans se faire toucher par aucun storm-troopers (ils doivent être aveugles aussi). Ce même aveugle qui sait parfaitement où se trouve la manette précédemment citée alors qu’il ne voit rien. Mais encore une fois, le Script est avec lui :)
      Bravo pour cette critique, j’ai bien ri!

      • Pour sa défense, Galen Erso ne pouvait pas envoyer directement les plans de l’Étoile Noire : la pièce jointe dépassait la limite maximale.

      • Bah non puisque tous les plans d’une stations de combat ultra moderne de 100km de diamètre (selon WEG) qui sont stockés dans un gros disque dur impérial peuvent tenir sur une petite disquette rebelle qui sera insérée discretos dans un droide astromech.

      • Pour être tout à fait honnête, il est probable que les archives d’Archivu existent déjà depuis la République, et donc que leur système de stockage des données est assez daté (et donc, d’une le remettre à jour dès que des innovations ont lieu est trop coûteux ; et de deux les capacités de stockage d’appareils plus récents sont sans doute supérieures…). Les disquettes rebelles sont probablement récentes et non compatibles avec les supports de stockage préexistants des archives, ce qui en fait des produits Apple.
        D’ailleurs il est possible que le disque dur contienne *tout* ce qui a rapport à l’Étoile de la Mort, or les rebelles ne veulent que les plans… on peut supposer que les archives gardent trace des employés, des logs de vingt ans de travaux, de commentaires, de calculs, etc.
        Bref, laissons la mauvaise foi au maître de ces lieux. :)

  11. Sommes-nous les seul(e)s détraqué(e)s à avoir vu Darth Vador marcher vers le spectateur en roulant du cul ? La question nous obsède, la question nous angoisse !

    • Ah m…mince, je n’ai pas relevé ce fait. Je regardais plutôt son célèbre casque que son illustre arrière train (je fais l’inverse avec la gente féminine, désolé).

      • En fait on ne voit que sa taille (de derrière il y aurait la cape) qui est mise en avant par sa ceinture avec tous ses beaux boutons si je me souviens bien… À revoir !

    • Oui, ça m’a fait bizarre aussi :/
      Ça colle pas du tout avec le personnage, c’est tout le côté martial et sombre de Dark Vador qui s’envole (et je suis pourtant pas une puriste).
      Étonnant que personne ne s’en aperçoive ou qu’ils aient gardé ça au montage, c’est pourtant pas la scène qui devait être la plus compliquée à rejouer.

  12. Très etrange, la critique principale est que le film ressemble trop à d’autres films de la série…
    et Force Awakens alors? Que ce soit au niveau du scénario ou de l’originalité des environnements ou des situations, ce film fait beaucoup mieux que Awakens.

  13. Vous posez la question de savoir pourquoi Mon Mothma la reçoit directement et vous y répondez juste après : elle a une mission spéciale et importante pour elle.

    • Et vous confierez vraiment une mission délicate à une personne qui commence par vous envoyer chier et qui a tenté d’abattre ses futurs collègues, n’a aucun entraînement, juste un lien familial ?

      Si c’était pour motiver le père à déserter ou faire confiance à une équipe d’exfiltration, un simple message hologramme de fifille aurait suffi.

      • « n’a aucun entraînement » Faux, elle faisait partie de la résistance. C’est plus simple de critiquer quand on oublie des morceaux ;)

      • Un lien familial ça peut jouer pour rentrer en contact avec un malade mental (ce qui est l’objectif de la mission).

  14. Voyons chère OC la prélogique malgré sa qualité discutable, (du sable, du sable partout!) ne se concentrait absolument pas sur l’étoile noire et à même tenté d’apporter un peu de neuf à Star wars, en traitant non pas de la lutte pour la liberté contre l’infâme empire/nouvelle ordre (au choix), mais au contraire de la chute des démocraties vers les dictatures. Ce sont les odieux fans qui ont alors osez demandé:
    -Disney chère Disney vous qui éxéler dans le fan service pitié faite nous un remake du 4 que vous appèlerez star wars 7 afin d’attirer les malheureux qui pourrait croire voir un nouveau film.
    -Ok, et pour vous faire plaisir j’ajoute un spin off qui fera office de prequel au 4 tout en lui repompan l’ensemble des ces éléments afin de vous faire oublier les 1,2,3. Et en bonus j’ajoute une trilogie sur Han Solo que vous aimez tant. Ça vous dit?
    -Oh, oui,oui ,oui,oui!!!!!!
    Que Dieux ait pitié de nous car Disney n’en aura aucune.

  15. Épisode IV explique déjà que c’est une réaction en chaîne qui fait exploser l’étoile noire. La station faisant des centaines de kilomètre de larges, cest en effet surprenant qu’une petite explosion à sa surface fasse exploser la station entière. Mais forcément si on dit ça, ca élimine tout plein de paragraphes où vous vous plaignez du scénario pour rien.

    • Nenni, c’est une torpille à protons qui rentre par un conduit de refroidissement et va jusqu’au cœur pour y exploser. Révise tes classiques ou ferme ton claque-merde.

      • Désolé chéri, mais c’est bien une réaction en chaîne qui se produit. Arrete de dire de la merde.

  16. Merciiii Monsieur L’odieux Connard !!! Je viens de passer les meilleures minutes (comme elles étaient excellentes, je ne les ai pas comptées) de toute cette foutue année qui va enfin se terminer ! (Oui, je sais, on embraye sur une autre, rien de neuf sous le soleil d’Archivu !). J’ai payé ma place pour…passer la moitié de ce film à faire ma liste de courses de Noël ! XD

  17. Cher Odieux, vous auriez aussi pu signaler le caméo d’Alain Juppé, qui, sans doute dans l’optique de regagner un peu en popularité, a décidé de se faire officier de l’Empire. Je ne vous dis même pas l’émotion des salles bordelaises à sa simple vue.

  18. Darth Vader en vo, ou en vf Dark Vador, mais Darth Vador je dis non !!!
    Ceci dit vous êtes pardonné : Aissof-Baze, non mais sérieux !^^
    Par contre j’ai bien mis 10 secondes à comprendre la référence à Pluto, et j’avoue, j’ai ri … pardon.

  19. J’ai adoré le film et aussi le spoiler ! Comme quoi c’est pas incompatible ! Cela dit je l’ai vu en VO et c’est sans doute mieux !

  20. Petite précision sur la tactique du commandant Ramius : il envoie une corvette coréllienne éperonner le croiseur destroyer, pas s’écraser dessus; ensuite on le voit distinctement mettre ses réacteurs à fond pour pousser le destroyer qui n’est plus contrôlé sur l’autre (qui n’a pas de boucliers actifs, lui?), le tout en utilisant les principes de physique starwarsienne non-newtonienne.

    J’ai une théorie sur le pourquoi les ingénieurs se font flinguer : ce sont eux aussi qui ont conçu la tour aux archives d’Archivu. Parce que voyez-vous, des archives informatiques, ça se met dans une montagne, sous des kilomètres de roches, à l’abri d’une bombe atomique (tapez Iron Moutain sur Google…) ; pas dans une tour exposée à tous les vents, qui oblige à maintenir un bouclier tout autour de la planète. Bouclier qui laisse une ouverture juste au-dessus de la tour; ce qui fait qu’un vaisseau rebelle pourrait se pointer avec ses faux codes (ou sortir d’hyperespace), balancer tous ses missiles sur cette belle cible de Burj Khalifa à travers l’ouverture du champ de force (qui met un temps fou à se fermer, vous avez vu, on dirait des portes d’acier qui se ferment, pas un champ magnétique qui s’active à la vitesse de la lumière), ou même foncer lui-même à travers le trou pour s’écraser sur la tour, 9/11-style.
    Un truc aussi con, ça méritait bien la mort…

    Ah oui mais des couloirs de mines ça aurait été moins cinématographique que des cocoteraies et des Rebelles qui ont l’air de Marines de la Guerre du Pacifique…

  21. C’est rigolo comme spoil, mais bon… la mauvaise foi se voit plus que d’habitude. Parce que genre, les Impériaux prennent pas en chasse le vaisseau rebelle après l’explosion de Jedha, ok, mais c’est parce qu’il est passé en hyperespace avant de quitter la planète (oui, je sais, c’était pas possible jusqu’à l’épisode VII). Du coup, bon, chaud de le traquer, hein…

    Et y a d’autres trucs à redire (comme par exemple la scène d’intro. Perso, si je dois me planquer de l’Empire, je le fais pas sur Coruscant, mais sur une planète déserte… D’ailleurs, y en a pas mal dans la Bordure Extérieure, là où se passe les films. Bref)

  22. Pour avoir vu le film mercredi, je l’ai trouvé laaaaaaaaargement mieux que la vraie m**** qu’est le VII.
    Faut pas déconner tout de même.

    Pourquoi ? Parce que :

    – je l’ai trouvé assez proche (même si on voit bien qu’il est récent et donc techniquement proche des derniers) des épisodes 4,5 et 6 dans le style des mises en scènes, des plans et de la façon d’agencer l’histoire, le côté tout de même moins « bisounours » que l’épisode VII.

    – j’y ai retrouvé des officiers impériaux avec de la prestance comparable à ceux des épisodes 4, 5 et 6 : plus strictes, plus militaires et méchants (même entre eux). On sens les criantes et peurs des officiers quand cela chauffe potentiellement pour eux. Bref, rien à voir avec le pantin ado sans charisme du VII qui ne faisait peur à personne. Et aussi Un Dark Vador assez réussit malgré tout.

    Rien que cela m’a fait apprécier le film : j’avais l’impression de voir un Star Wars avec leurs bons côtés (que j’apprécie) et leurs défauts aussi (j’avoue, mais ça fait partie de leur « essence » depuis les premiers épisodes, alors bon). Ce que je n’avais pas du tout ressenti avec l’épisode VII.

    Bon après :

    – j’avoue ne pas avoir été convaincu par le jeu de pas mal d’acteurs. Mais cela devient malheureusement une habitude de nos jours chez les ricains (faudrait que Clint Eastwood s’occupe des prochains épisodes, bref c’était une pensée personnelle qui n’engage que moi)…

    – La mise en place de l’histoire est longue et plate. J’ai eu peur pendant de nombreuses minutes car je me suis ennuyé au début en me disant « mais pourquoi les gens disent qu’ils ont bien aimé après l’avoir vu ?! ». Mais après tout c’est comme ça dans l’épisode 4 aussi par exemple.

    – j’ai eu un sourire nerveux (et penser que l’Odieux Connard aurait surement tordu le cou d’un chaton s’il avait été à mes côtés) en voyant les croiseurs impériaux, en plan serré, trop blanc et aux contours trop propres et trop lisses : on voit tout de suite la maquette fabriquée à l’aide d’une imprimante 3D ou un truc du genre. Comment ont ils pu laisser ça dans cet état ? Cela ne fait pas pro du tout.

    – La demeure de Dark Vador m’a faite sourire car en effet, en grand fan de J.R.R. Tolkien (les livres , pas les films), j’ai tout de suite penser à Barad-dûr.

    – il y a aussi des incohérences relevées ici par notre hôte. Il faut avouer…

    Bref, comme dit au début, même s’il est imparfait, j’ai été agréablement surpris par Rogue One après le gros loupé de l’épisode VII. J’ai bien aimé au final et j’ai passé un bon moment en le regardant.

    • Les ISD blancs, ca m’a fait tiquer aussi. Et la demeure de Dark Vador, je m’attendais presque à voir des orques ici et là ^^. Mais dans l’ensemble, je dis : film réussi.

  23. Autant j’ai apprécié le film et ne suis pas d’accord avec la majorité de l’article … Autant j’ai encore une fois bien ri !

    L’article est savoureux et, comme toujours drôle. Même si emplis de mauvaise foi (mais on me dit dans l’oreillette que c’est le principe). Et c’est ce qui rend d’ailleurs les péripéties de notre Odieux chroniqueur d’autant plus savoureuses… Je plusssoie !

    Parfois je me dis que j’aimerais connaitre la part d’avis personnel et la part de composition dans ces articles… Et quelques minutes plus tard je me dis que finalement non : cela gâcherai le plaisir de lire.

    Cher maître Connard, surtout n’écoutez pas les rabat-joie, restez Odieux (mais est-il vraiment besoin de le réclamer ?) et continuer de rependre votre mauvaise foi légendaire : elle égaie mon quotidien !
    J’espère pouvoir encore lire de nombreux articles comme ceux là dans les années à venir, qu’il sabordent des films honteux ou très bien, je n’en ai cure, votre verbe fait ma joie !

    Avec toute mon affection et mon admiration.

    Que la pelle soit avec vous.

    Ellhann
    Jedi-Palouf du Saint Ordre des Chevaliers de Balek

  24. Bonjour, juste une remarque en passant. Il est parfaitement logique (contrairement au ressenti de bien des spectateurs) que papa Erso n’ait pas les plans de l’étoile noire en sa possession. En fait c’est l’inverse qui serait absurde. Dans la vraie vie, une personne qui bosse sur un projet confidentiel/de sécurité ne rentre pas chez elle avec son projet sous le bras ou dans une clé USB. Je sais que certaines boites privées n’y font pas attention mais les milieux sérieux (l’armée au hasard) sont vigilants là-dessus.

    Idem pour le dialogue entre Cassian et Jyn sur le fait d’envoyer un second message à l’alliance (avec plus de précisions). Son refus n’est pas absurde. Un message isolé peut facilement passer mais la répétition est toujours un risque. Et de mémoire dans le film les infos du second message sont encore plus sensibles tout en demandant d’être vérifiées. Bref…

    A+

    • « […]Il est parfaitement logique (contrairement au ressenti de bien des spectateurs) que papa Erso n’ait pas les plans de l’étoile noire en sa possession. En fait c’est l’inverse qui serait absurde. Dans la vraie vie, une personne qui bosse sur un projet confidentiel/de sécurité ne rentre pas chez elle avec son projet sous le bras ou dans une clé USB[…] »

      Oui ça se tient. Comme en informatique, dans certains domaines sensibles comme le monde bancaire par exemple : par souci de sécurité l’informaticien qui développe les écrans (de saisie et interrogation destinés aux futurs utilisateurs) n’est pas le même que celui qui gère la sécurité des accès à la base de données, sans parler du troisième responsable de la BDD elle-même. Etc. Chacun ayant ses « petits secrets » bien à lui. Ceci a fin d’éviter des actions frauduleuses trop aisées.

    • En effet, il ne viendrait jamais a l’esprit d’un gars un peu critique a l’egard de son gouvernement et travaillant sur un projet secret qu’il desapprouve de sortir des documents confidentiels de la boite gouvernementale pour laquelle il bosse.

      Je suis sur que jamais quelqu’un comme… au hasard, Edward Snowden… n’aurait pense a ca.

      Le fait que l’action se situe dans un cadre de science-fiction n’interdit pas les fuites. Au mieux, un telepathe pourrait griller un traitre avant qu’il passe a l’action, mais l’Empire en compte au plus deux. Ils ne vont pas se balader partout a chercher les traitres un par un. (Dans un empire galactique, ils sont un peu mal barres, meme si je reconnais que verifier les cinq ou six ingenieurs travaillant sur LE projet d’arme ultime aurait du sens. Mais la encore, ca serait trop evident et il n’y aurait plus de film.)

  25. J’ai eu l’impression lors de la bataille terrestre avec moult AT-AT et beach boys stormtrooper, qu’il avait des points de respawn pour les commandos rebelles. Il devait avoir une vingtaine max qui accompagnes les héros et une poignée en renfort qui arrive avec le seul U-Wing qui a passé le bouclier. Malgré les pertes, ils étaient encore bien nombreux jusqu’à la fin.

    • J’oubliai l’armure de stormtrooper qui décidément ne sert à rien vu qu’on les assommes à coup de bâton et de poing. Déjà qu’ils ne savent pas viser et cela la fout plutôt mal pour le plus terrible soldat de la galaxie.

  26. Y’a du bon, mais y’a aussi bcp de mauvais.
    Et de mauvaise foie.
    Sa se voit que tu ne connais pas assez l’Univers de Star Wars à peu prêt un paragraphe sur deux.
    sa serait trop long de tout reprendre donc je ne réagirai que sur un élément ‘vador adore les planètes en lave, et la tour à la mordor »
    C’est tout simplement car la planète est Mustafar, la ,même que le III ou Vador à décidé d’installer un « QG ».
    Tout simplement.
    Les planètes désertiques sont environs 85% des planètes de la bordure extérieures. Avec des climats très durs à vivre.
    Et les lunes sont souvent des repères à contrebandiers ou rebelles…. Ou des lunes marchandes.
    Mais c’est sur que pour sa il ne suffit pas de s’arrêter à la surface pour pondre une critique dénuée de toute recherche.
    Alors oui, tu le tourne sous le sens de la dérision et des blagues, en utilisant du vocabulaire qui est non sans rappeler les tournures de phrases de nioutaik (au passage bien meilleur et bcp plus franc dans ses analyses.)
    Donc, c’est dommage.
    Ce film est un bon film de guerre dans l’univers SW, et bien qu’un peu de fan service, il respecte les codes et surtout l’UE est assez bien reprises également.
    Mais je ne t’en parle pas car tu dois être proche du néant absolu sur la connaissance de l’Univers Etendu (donc pas disney)

    • « […]Ce film est un bon film de guerre dans l’univers SW, et bien qu’un peu de fan service, il respecte les codes[…] »

      Oui, en effet, je trouve aussi et c’est dans ce sens que je disais dans un de mes commentaires que le film m’a plu aussi, bien que mes connaissances sur Star Wars se limitent aux films et à pas mal de parties du jeux de rôles papier (il y a bien longtemps,…).

      Merci pour l’info sur la copie de Barad-dûr, je ne savais pas, j’aurai appris quelque chose comme ça.

    • Mec, c’est les spoils de l’Odieux Connard ici. C’est pas un blog de cinéphiles passionnés et objectifs mais l’antre d’un grand cynique provocateur qui prend son pied à détruire les amours de ses congénères. Le degré de mauvaise foi est variable, perso je trouve qu’il y en a vraiment beaucoup dans celui-là, mais c’est fait exprès.
      Et comme il te le répondrait toi-même, ce n’est pas parce qu’il est allé voir un Star Wars qu’il devrait être un expert et/ou avoir révisé l’encyclopédie complète de l’univers étendu pour avoir le droit d’ouvrir sa gueule, déjà parce que faut quand même se farcir un lore gigantesque, merci, mais surtout c’est plus valable pour tous les nouveaux films de Disney ! J’ai bien aimé le look ténébreux de la résidence privée de Vador, mais c’est quand même bien cliché, et quant on sait que le mec à la base déteste le désert et qu’il doit sa nouvelle gueule à un environnement volcanique… bon, ça fait un peu bizarre quand même.

      • Je suis d’accord avec l’auteur du premier post, ce spoiler est .. foireux ?

        Tu peux critiquer un film, rire de lui, être de mauvaise foi. J’ai l’habitude de lire les spoils de Mr connard qui sont hilarant, mais celui la est plutôt pathétique.

        On a l’impression qu’il c’est senti obligé de faire un article sur ce film, mais le problème c’est que le film est vraiment pas trop mal. Du coup, article vide, faiblement drôle, et où le manque de culture sur l’univers le fait passer pour ridicule.

        Pas besoin de connaitre l’univers entier pour critiquer évidement. En revanche quand tu sors une aberration, tu passes pour un con et c’est le cas dans cet article :)

        Surtout qu »actuellement au cinéma, il y a bien plus hilarant à spoiler que Rogue One. Du genre, Assassin creed, The passenger, etc..

        j’attendais le prochain spoil avec impatience, mais la je suis déçu qu’il est choisi ce film parmi tous les choix qu’il avait :O

      • Pareil que Maple. L’Odieux devrait peut-être éviter de teaser ses spoilers sur twitter avant le visionnage. On sent dans son texte un ton forcé, surfait, dans la recherche de l’incohérence, domaine dans lequel il excelle habituellement. Comme si il s’était senti forcé de spoilo-détruire ce film, car l’annonce avait été faite sur twitter. À vrai dire ici, de mémoire, la seule incohérence qui fait mouche, c’est le coup du nom de fichier « Nébuleuse » sur lequel Jyn se jette sans autre forme de vérification… On à beau être dans un Star Wars, la force, tout ça, tout ça…. ça reste une belle, grosse ficelle scénaristique évitable. Mais de là à supposer que l’entier des spectateurs d’un cinema s’en sont entre-tués…

        Je connais bien le principe du blog qui est d’appliquer un regard plein de mauvaise foi, mais justement! La mauvaise foi et le détournement de propos, ce n’est pas pareil. L’exemple le plus flagrant c’est sur l’explication donnée par le film sur la bouche d’aération. Non seulement, elle est tout à fait logique dans le contexte du film, mais c’est une parfaite correction d’une faille scénaristique vielle de 30 ans. Or dans ce spoil, le dialogue rapporté est complètement déformé (et sert de gag sur 3 paragraphes). Du coup ça tombe à plat, sitôt qu’on a vu le film.

        Il y a des fois où il faut savoir admettre qu’un film n’a pas assez de trous pour justifier un spoil.

        Dommage, car comme dit ailleurs en commentaire, il y avait des cibles bien plus légitimes. Je me suis imposé Assassin’s Creed personnellement… c’est brutalement pourri…

      • Entièrement d’accord et franchement à part la fin (pourquoi faire péter les archives et comment le mec se retrouve en haut de la tour) il n’y a que très peu d’incohérences.

  27. Pardonnez mon inculture crasse et ma jeunesse tiède mais je n’ai pas compris le calembour à base de « Aissof-Baze »

  28. Hello M. Connard,

    Merci pour ce fantastique débrief sur ce film, que je n’irai donc pas voir (curieusement…)

    Et voici une illustration musicale du Grand Moff Takin, par le grand Franck Zappa (je trouve que votre humour est dans la même veine d’ailleurs) : https://www.youtube.com/watch?v=ptoN-5QE0Lw

    A écouter au moins jusqu’à 1’24 » !

    Bonne journée, Michel

    • He bien, si tu te fondes sur un avis de l’OC pour décider d’aller voir un film ou pas, c’est que tu ne connais pas le principe du blog.

      • C’est clair. Le talent du maître des lieux, c’est justement ça, arriver à passer pour un critique aux yeux de certains.

  29. Ah, la nostalgie… On fout une histoire éculée sur un univers repompé jusqu’à l’os, et les fans applaudissent l’hommage. On bourre le film de clins d’œil, références et autres morceaux de fan-service jusqu’à la nausée, et ils acclament la cohérence de l’univers étendu. Pourquoi se péter le tronc à faire un bon film lorsqu’on sait que c’est de toutes façon la licence que les gens achèteront ?
    Bordel de merde.

  30. Juste une question qui taraude le professionnel de l’architecture que je suis. Les plans de l’étoile noire sont sous quel format de fichier? .dxf, .dwg ou .icf? Nan parce que c’est important pour la rébellion, si ils sont équipés avec des logiciels autodesk ou pas…

    Et puis juste comme ça en passant 5 ingénieurs et un chef pour construire l’étoile noire? La vache!!! Les coûts de R&D de l’empire sont vraiment pas très élevés du coup!!! Les mecs sont ultra calés en tout quoi… Je m’incline!!!

    Et pour finir un truc que je réalise mais l’empire c’est toujours de gros vaisseaux, avec de grosses armes et tout et tout. M’est avis que le chancelier devrait lire Freud et ses traités sur la taille, parc que les dictateurs qui construisent des choses géantes ont souvent des choses a compenser…

    • Peut être qu’il n’y avait tous simplement que 5 ingénieurs sur la base? Le reste etant rentré chez eux/affectés a d’autres missions/Toujours sur l’etoile noire/dans d’autres base servant de point de reserve si l’etoile noire a un probleme?

      Si une partie des ingénieur a été placé sur la base X, et que le pilote transportant l’info sur la faiille a été guidée a partir de cette base, il est logique de soupconner la présence du traitre dans la partie se trouvant sur cette base X, et pas la centaine d’autre dispersé a travers l’espace ou rentrés chez maman

    • Sinon ouais, c’est débile En particulier les trucs du style des TB-TT, qui doivent couter extrement cher, tout ca pour un truc lent, fragile, et quasi inutile

      Mais je suppose que l’impact psychologique fait beaucoup, quand tu debarque avec des vaisseaux géants bah la rebellions contre toi devient moins tentante

  31. Galen Erso et ses équipes, (car dans le roman Catalyst qui sert de préquel, il a une première équipe avant d’aller se planquer ), n’ont conçu QUE le rayon laser et l’optimisation des crystaux kiber.

    • Mais du coup il n’avait rien à voir avec l’élaboration de la structure et du réacteur ? Comment il a fait pour glisser une faille alors ?

  32. Bon en même temps… Euh, ça tourne tout le temps autour de l’Etoile noire… Ben, c’est peut-être pour ça que ça s’appelle Star Wars??? Non??? Ok…

    • Merci! J’ai cru que je ne lirais jamais un commentaire faisant le lien avec le nom de la franchise. Bof…, c’est sûrement dû à l’anglophobie française.
      Sinon, bien que fan de SW j’ai quand même ri en lisant ce « spoil », comme d’habitude. Merci pour tous ces moments de détente Monsieur Connard ;)

    • Erreur bien répandue chez les francophones nuls en anglais : « star » est ici un adjectif, comprendre « stellaire ». La vraie traduction de Star Wars est donc « les Guerres Stellaires ». Et non pas le douteux mais courant  » la guerre de l’étoile ». La saga ne tourne pas autour de l’étoile de la Mort. Mais tu dois faire partie des débilos qui disent « l’étoile Noire ».

      • La traduction du titre n’a jamais été « La guerre de l’étoile ». Même au début des années ’80 quand on traduisait et francisait absolument tout de manière grotesque, le film s’appelait en français « La guerre DES étoileS », ce qui n’est pas si éloigné du titre d’origine dans l’esprit.

      • Oh! Les commentaires dôles, originaux et constructif d’Usurpator sont de retour. Va t’acheter une identité pauvre zob.

  33. Bien vu Odieux Connard, ce film est en effet une authentique merde.
    Ensuite, pourquoi autant se focaliser sur l’étoile noire ? Peut-être une régression anale de la part de Lucas puis de Disney. Ou bien un manque total d’imagination.

      • En effet. Mais il y a suffisamment d’incohérences scénaristiques (en termes de story telling, c’est une catastrophe nucléaire) pour considérer que le scénario est absent. Un film qui essaie de raconter une histoire sans scénario est une immense merde quelles que soient les qualités des performances des acteurs (que je n’ai pas aimée), de la direction artistique (que je n’ai pas aimée) et de la direction technique (que je n’ai pas aimée). Il existe des films-concepts qui n’ont pas de scénario, mais c’est volontaire (comme ceux de Philippe Glass par ex.). Là, c’est juste un gros doigt tendu à des spectateurs car on estime que la licence suffit à faire payer les gens. Pas besoin en plus de raconter une histoire, faut pas pousser, ce serait trop de taf.

    • Dire que le scénario n’existe pas, c’est de la mauvaise foi. Dire qu’il y a trop d’incohérences scénaristiques, idem. Il y en a, comme souvent, trop c’est un point de vue.
      Lucas n’a pas participé au film, Disney a trouvé un thème dont il pense qu’il arrivera à attirer les foules, l’emblématique étoile noire était toute indiquée, tout comme Han Solo, Boba Fett (pour une raison qui tient à l’univers étendu vu sa competence dans les films), ou même Vador

    • Putain ENFIN !! Je lis que des gens qui se branlent devant cette bouse, et qui crachent sur le VII en plus. Les acteurs sont tous aussi mauvais les uns que les autres, les plans sont à chier, les dialogues sont juste fades à en vomir et la liste est longue. Et j’en lis même certains qui parlent d’une fidèle retranscription de l’univers de SW ??? Non mais on a pas du voir le même film. Et pourtant je l’ai vu 4 fois juste pour être sûr tellement je me disais que non, ça pouvait pas être aussi pourri. Je tenais pas en place sur mon putain de siège j’étais mal à l’aise, j’ai pas pu dormir pendant 2 semaines, et j’étais à deux doigts de battre ma femme tellement ça m’a mis sur les nerfs de voir cet univers massacré à ce point là au nom du fan service, de la soupe hollywoodienne et du pognon.

      • Si t’as du voir le film 4 fois pour te convaincre que c’est une merde, c’est que c’était pas si évident que ça au premier coup. Ou alors t’es un gros maso. Ou limité intellectuellement. Je ne préjuge pas.

  34. Il est dit dans l’article que la scène initiale de l’enlèvement est incohérente, mais pour moi c’est encore pire

    L’intrigue consiste à récupérer les plans de l’étoile noire afin de trouver une faille et de la détruire dans l’épisode IV. Enfin c’est ce qu’on pensait, parce que ça a été réécrit et désormais ça consiste à récupérer un fichier « nébuleuse » où le concepteur de l’étoile dévoile comment accéder à une faille qu’il a exprès mise en place pour que ça soit détruit. Outre le fait que c’est un peu con con, car si on veut faire péter sa création on n’attend pas que quelqu’un d’autre se procure l’information sur l’existence de la faille, le protocole et passe à l’action, au minimum on transmet le protocole en même temps que l’information sur l’existence de la faille, mais surtout si on n’est pas débile on se débrouille pour que la faille soit mise en jeu toute seule dans certaines conditions, style au quatrième tir je pète.
    Mais en supposant que tout ça n’est pas débile, le concepteur n’est autre que Gallen Erso, le père de l’héroïne du film, qui devient héroïne pour une raison vraiment obscure. Dans la première scène on découvre que Gallen a commencé a travailler sur l’étoile mais s’est tiré car on l’imagine en désaccord avec les objectifs. Pour une raison obscure quand l’empire vient le rechercher, il décide de partir sans sa femme et sa fille d’une dizaine d’années en faisant croire à leur mort, pourtant en général les cadres sup et leur famille sont bien traités. Donc à quoi ça rime tout ça ? Pouvoir dire non sans risque de pression sur ses êtres chers ? Sûrement pas vu que le gars s’exécute industrieusement pour construire son étoile. Du point de vue de l’empire c’est aussi nimportnawak, car quand le concepteur de quelque chose qu’on ne comprend pas met de la mauvaise volonté, ça va forcément mal se terminer, donc si le mec a pris la poudre d’escampette, ça ne sert à rien de le faire revenir travailler comme un esclave, il va forcément se venger. Encore plus obscur, sa femme décide d’apparaître devant l’empire pour bien indiquer que son mari est un menteur vu qu’elle n’est pas morte et se débrouiller pour laisser leur petite fille unique orpheline. Mais que c’est stupide ! Soit ils partent ensemble pour faire bosser le mari, soit elle se casse avec sa fille, là on est dans le gros n’importe quoi total. De façon fort prévisible la mère stupide se fait butter. Et on se retrouve avec Gallen qui part bosser pour l’empire et sa fille, Jyn, élevée par la rébellion. Super, la fille aurait pu vivre avec ses parents ou au moins avec sa mère, mais là elle se retrouve à vivre avec des inconnus, mais attention des gentils… Car sachant que c’est la fille de l’armurier principal de l’empire fatalement elle va servir d’otage si elle ne quitte pas la rébellion suffisamment tôt, sur les conseils du « gentil » rebelle Saw Guerera qui l’a adoptée. Et voilà à 10ans sans parents, à 15 toute seule dans la rue jetée par le Saw. Merveilleux.

  35. La cohérence avec les autres volets est aussi foireuse.

    -L’étoile noire est encore en phase de construction au début du IV, or là elle fonctionne déjà et est capable de passer en hyperespace
    -Leia joue la vierge effarouchée quand elle se fait arrêter par Vador, or là avec une telle fin du 3.5 c’est pas possible, il est à sa poursuite après une attaque rebelle.
    -Dans le IV il est dit que les savants ont étudié les plans de R2D2 pour trouver une faille, pas que la faille avait été prévue par quelqu’un d’autre exprès
    -Dans le IV il est dit que les plans ont été acquis par une équipe d’espions morts. Là on a carrément toute la flotte rebelle et pas un seul espion, les mecs y sont allés en improvisation à l’arrache.
    -Dans le IV Leia se fait choper pas loin de Tatouine, sa destination qui est une planète externe, par Dark Vador. Là elle est en train de se tirer avec Vador au trousse d’une planète archive qu’on imagine au centre de l’empire. C’est quand même beaucoup de moule de se faire arrêter presqu’à destination pour qu’une capsule puisse se crasher sur la bonne planète.
    -Si ils détruisent la planète archive parce qu’ils savent qu’elle est compromise, alors il faut qu’ils regardent si il n’y a pas une faille dans le backup des plans qu’ils ne manquent pas d’avoir quelque part. Plutôt que de faire comme si rien ne s’était passé comme c’est dans le cas dans le IV
    -Dans le IV quand ils font péter une planète ça va vite et du coup pas de témoins, là ça prend trois plombes, les gens ont le temps de faire leur valise, de terminer les restes dans les frigos, de se faire la bise et de se tirer.
    -dans le IV la force est quelque chose d’inconnue pour la plupart, seuls les Jedi et les siths en parlent. Ca reste mystérieux. Là tout le monde utilise le terme du daredevil asiatique au général rebelle. Comme si ça voulait dire « bonne chance », « bon appétit » ou « bonne nuit ».
    -Heureusement que les deux gars qu’on retrouve dans la cantina du IV ont eu la bonne idée de se tirer de Jedha et en particulier de la ville, centre du tir de l’étoile noire, en vitesse avant que ça pète pour aller sur tatouine.
    -le matériel impérial a bien progressé entre celui ci et le IV. Jyn peut dégommer un stormtrooper en lui tirant dans le genou sans viser, les quadripodes sont super faciles à battre, les destroyers n’ont plus de champ de force et son structurellement très résistant pour se faire pousser par un petit vaisseau sur un impact très localisé mais beaucoup moins quand ils se rencontrent entre eux sur une zone plus large.
    -pourquoi Leia découvre en criant la destruction de la planète Alderaan dans le IV si elle vient d’être témoin de la puissance de l’étoile noire sur Scariff ? Pourquoi donne t’elle le nom de sa planète où elle vit ? Elle a des problèmes de voisinages et Courbet n’était pas dispo ?

    • Ouh là, tu confonds un peu tout là… Je reprends dans l’ordre :

      – Nop. Alderande est la premier test « grandeur nature » mais la DS est opérationnelle au début d’ANH (ou alors tu confonds avec ROTJ)
      – Leia fait semblant d’être uen dilpomate. Si elle dit à VAdor « Ok, je suis une cheffe rebelle tu m’as bien eue », c’est pas de jeu.
      – Erso n’a pas signé ses plans, les ingénieurs rebelles ne peuvent pas savoir que c’est une faille volontaire, ils pensent l’avoir trouvée eux-même. C’est d’ailleurs à mon sens l’idée la plus géniale du film, elle met fin à 40 ans de la plus grosse incohérence de tout SW : « mais pourquoi y avait-il un trou menant directement au réacteur central ?
      – Les espions morts sont les Bothans comme dit 154 fois depuis le début de cette discussion et c’est dans ROTJ.
      – On ne sait pas où est Scariff et de toute manière l’hyperespace pet toutes les planètes très proche les unes des autres en temps. En étudiant le saut du Tantive IV, on peut déduire la destination et envoyer un comité d’accueil sur place. Là encore on lève une incohérence d’ANH
      – La raison pour laquelle Scariff est détruite n’est pas claire c’est vrai.
      – La DS ne fait pas péter de planète dans ce film, le Superlaser est réglé au minimum pour pétouiller la surface seulement parce que là pour le coup la DS est en test encore.
      -« May the Force be with you » est la devise de la Rebellion, déjà dans ANH (Dodonna à la fin du breifing). La Force est inconnue sur Tatooine mais pas partout (Tarkin parle de « l’ancienne religion », et oh, ça ne fait que 18 ans que l’ordre Jedi a été détruit.
      – Que foutent Ponda Baba et Evazan sur Jedha puis sur Tatooine une semaine après ? Ce sont des criminels en fuite. Improbable mais pas impossible… comme beaucoup de choses dans SW et ce depuis 1977 (les droides qui tombent pile sur la ferme des Lars par exemple)
      – Les Storms étaient déjà bien fragiles et ne savaient pas tirer dans la trilogie. Tu as déjà porté un de ces casques ? Moi oui et purée on voit rien de rien avec ce truc… Les quadripodes se font dégommer par des X-Wings… assez normal. La vraie question c’est pourquoi les rebelles ne les ont pas sortis pendant la bataille de Hoth à la place des remorqueurs ?
      – Leia cire parce que c’est sa planète, pas devant la puissance de la DS.

      Trop de mauvaise foi tue la mauvaise foi.

      Une petite suggestion à notre ami connard : afin de démontrer que les denriers films SW ne sont pas plus mauvais que les anciens (aussi bons pour ma part), ne nous feriez-vous pas un rétro spoil de la trilogie ? Ou est-ce trop demandé ?

      • « C’est d’ailleurs à mon sens l’idée la plus géniale du film, elle met fin à 40 ans de la plus grosse incohérence de tout SW : « mais pourquoi y avait-il un trou menant directement au réacteur central ? »

        C’est pas si génial que ça car ce problème d’explosion au coeur qui pète tout par réaction en chaîne se retrouve aussi dans la Menace Fantôme et le retour de la Force. Donc on va nous sortir un épisode 0.5 et un 6.5 pour expliquer qu’ils auront aussi eu leur Gallen ?

      • C’est pas le fait que faire péter le réacteur central suffit à faire péter tout le vaisseau l’incohérence que ça supprime, c’est celle du conduit qui y mène direct que l’empire n’avait pas localiser mais les rebelles si en 1 heure d’analyse environ. Avec RO on sait que les rebelles savaient ou chercher pour trouver la faille.

      • C’est pas le conduit de ventilation le problème, comme le dit si bien l’ingénieur responsable du conduit, lui-même:

      • Bah si c la faute de cet ingenieur de merde…..
        1: il n’y a qu’un seul exhaust port, ce qui veut dire que si celui ci est bouche par je sais pas hein, juste une petite bombe a la surface sur celui ci avant meme d’arrive au centre, ca fout la merde et ca rend l’arme inutilisable jusqu’a ce que cela soit repare…….
        2: dans une construction dans l’espace…ne pas avoir de methode de BOUCHER ces exhaust port en cas de probleme (genre….le feu une bombe, la putain de maintenance a faire) c’est particulierement debile…

        Bon apres, hein, l’incompetence etant plus la norme qu’autre chose, comme on le voit ici ou dans les commentateurs qui se croient intelligents…cela m’etonne pas que cela puisse arrive, j’apelle meme pas ca une incoherence tant les exemples de cas reels sont nombreux.

      • mmmh, c’est écrit ou que c’est la seule évac ? Et ou qu’il y a pas moyen de la boucher ?
        Suis-je bête, c’est un nouveau chapitre pas encore écrit de la bible Steuphanienne.

        Très Saint Steuphane, votre peu humble apôtre s’interroge: dois-je placer ce chapitre avant l’impossibilité d’existence des robots sphériques ou après (car les 2 sont liés) ?

      • Comme je le disais precedemment, La pauvre intelligence des commentateurs s’exprime ici par l’intermediaire de Robert

        C’est ecrit ou ? Bah dans le fait que ce soit la seule solution pour y arriver de l’exterieur….
        Vu qu’apremment, tous les autres ont ete bien concu….comme ca, hein, on en fait plein qui convienne, mais on prend bien soin d’en faire un direct tout droit de l’exterieur, sans blast door rien….pour le fun….

        Robert, un enieme maso aimant se faire ridiculiser en cherchant a me contredire alors qu’il en a pas les moyens intellectuels.

      • Ouais t’as raison parce que t’as raison et les autres ont tort + attaque ad hominem. Belle argumentation, rien à redire. Tellement que j’vais m’arrêter là.

      • Robert, je sais que t’es dur de la comprenette, mais ce n’est pas parce qu’une argumention demolit le pauvre resultat de tes deux neurones en action que celle ci n’existe pas.Pourquoi de tous les conduits d’evacuation existants (enfin surtout dans ta tete), Seul celui ci est concu pour etre ouvert au 4 vent dans l’espace sans possibilite d’etre scelle a de multiples niveau, alors meme que pour maintenir l’atmosphere dans l’espace il vaut mieux eviter les portes ouvertes hein….Donc en cas de maintenance a faire, ou simplement en cas je sais pas d’un petit accident genre une explosion…(sur un un putain de vaisseau de guerre, c’est vrai c’est pas a prendre en consideration, ca n’arrive evidemment jamais)

        Mais bon Robert a trouve la technique dites de l’ignorance: quand un argument ne lui convient pas celui ci n’existe pas:
        Ignorance is bliss, Robert is happy !

        Un Robert quoi, c’est ca que j’aprecie sur ce blog bien plus que la prose assez convenue de l’OC, ce sont les clowns dans les commetnaires!

      • Viens on tourne en rond, c’est la danse des cons: « mmmh, c’est écrit ou que c’est la seule évac ? Et ou qu’il y a pas moyen de la boucher ? »

        « Ouais t’as raison parce que t’as raison et les autres ont tort + attaque ad hominem. Belle argumentation, rien à redire. Tellement que j’vais m’arrêter là. »

      • > « mmmh, c’est écrit ou que c’est la seule évac ? Et ou qu’il y a pas moyen de la boucher ? »

        C’est ecrit dans le fait que toutes les autres evacs sont bien concus, vu que ce ne sont pas des failles beantes dans la securite de l’etoile noire….oui je sais, c’est implicite…trop complique pour toi.

        Ah puis si il y a moyen de la boucher, pourquoi on en demande pas la fermeture….C’est pas comem si Darth Vader ne pouvait pas en donner l’ordre alors qu’il est jsute derriere ou les activer mentalement d’ailleurs….(c’est le genre de porte qui doit se fermer d’ailleurs plus ou moins isntatanement, vu qu ele but est d’empecher au maximum les depressurisations qui sont en elle meme un facteur de degat enorme)
        Mais bon Robert, je t’en veut pas hein, deja que tu prends un jouet comme une preuve de faisabilite grandeur reelle, toi et la science ca fait deux…

        Sinon tu danses tout seul Robert, ca s’apelle la danse des fous :)

      • La logique Steuphanienne en 3 commentaires:
        Steuphane: »il n’y a qu’un seul exhaust port, ce qui veut dire que si celui ci est bouche par je sais pas hein, juste une petite bombe a la surface sur celui ci avant meme d’arrive au centre, ca fout la merde et ca rend l’arme inutilisable jusqu’a ce que cela soit repare……. »
        Georges: »c’est écrit ou que c’est la seule évac ? »
        Steuphane: »C’est ecrit dans le fait que toutes les autres evacs sont bien concus, vu que ce ne sont pas des failles beantes dans la securite de l’etoile noire »

        et la suite :
        « Ah puis si il y a moyen de la boucher, pourquoi on en demande pas la fermeture….C’est pas comem si Darth Vader ne pouvait pas en donner l’ordre alors qu’il est jsute derriere ou les activer mentalement d’ailleurs…. »

        Au hasard, ils n’en demandent pas la fermeture parce qu’ils sont sur le point de jouer avec le gros canon qui chauffe (donc faut ventiler) et qu’ils n’ont pas connaissance de cette faille de sécurité.

      • La logique robertienne dixit « C’est ecrit nulle part quil y en a qu’une. »
        Mais celle la ou des missiles rentrent dedans, on peut pas la boucher parce que ca chauffe….

        Faut savoir Robert, y en a qu’une ou y en a plusieurs ?….Je m’y perd dans ta connerie…
        Non parce que dans tous tes cas, j’y vois que de l’incompetence, si il y en a plusieurs, alors des failles y en a pleins partout si elles sont aussi connement concues, si il y en a qu’une c’est tellement une grosse connerie que meme le techos de base il aurait pu le remarquer…(heu les gars y a un trou qui mene directement dans lespace, et qui traverse toute la station, sans possibilite de le boucher…je sais pas vous, mais au moindre probleme a la sortie du conduit, on TOUT LE LONG du conduit on peut rien faire…et on est dans la merde…

        Bref dans tous les cas le truc est la faute des concepteurs et de la realisation, bref un empilement d’incompetence jusqu’au dernier niveau…

        Toi tu comptes pas, tas zero competence, comme tu viens de le montrer…

      • Steuphane, l’enfant caché de Captain Insight et d’Extrapolator. Et il aurait mieux fait de rester caché, parce que la qualité du truc rend les « marques repères » de chez Leclerc jalouses, c’est dire.
        Si la faille n’est pas connue, elle n’est pas connue. Et oui: une faille de sécurité, à postériori, c’est toujours très con. Merci Steuphane.

        « Faut savoir Robert, y en a qu’une ou y en a plusieurs ?….Je m’y perd dans ta connerie… »
        Tu affirmais péremptoirement que y’en avait qu’une seule et unique, puis ensuite qu’y en avait plusieurs. La tu viens de te rendre compte que t’es pas logique. Bon tu me rejettes la faute dessus, mais c’est quand même un progrès. On avait habitude de la technique de l’autruche ou tu ignorais les myriades de contradictions, mises en évidences par tes interlocuteurs, dans tes textes poussifs. Reste un dernier (très) grand pas à faire et tu pourras contempler l’étendue sidérante de ta connerie du haut du (tout) petit monticule de logique qu’on a péniblement réussi a installer dans ce qui te tient lieux de conscience.

        Pour te répondre sur le cas présent, on ne sait pas comment marche le bouzin: p’t’être qu’y’a un seul conduit, p’t’ête qu’il a pas de fermetures, ou p’t’être que c’est pas des fermetures d’urgences, p’t’être qu’y a d’autres conduits, p’t’être construit différemment qui ne présentent p’t’être pas de faille, qu’ont p’t’êtres des fermetures, voire p’t’être des fermetures d’urgences ou présentant p’t’être des failles que les rebelles n’ont p’t’être pas repérés, p’t’être que Casimir danse tout les soir au Macumba avec Palapatine, tout est possible… p’t’être.
        Tout ce qu’on sait c’est qu’ya une faille repérée par les rebelles et ignorées par les impériaux. Et toute tes supposition, bah c’est des suppositions: ça se balaie d’un revers de la main. Tu persistes à baser tout le reste de tes loghorrée illogiques dessus, ne t’étonnes pas que ça se casse la gueule dès qu’on souffle dessus.

      • >Tu affirmais péremptoirement que y’en avait qu’une seule et unique, puis ensuite qu’y en avait plusieurs. La tu viens de te rendre compte que t’es pas logique.

        Wow….juste wow….y a plusieurs Robert en toi la je crois…
        Oui j’affirmais qu’il y en avait qu’une parce bon si il y en avait plusieurs aussi mal foutu c’etait encore plus con..mais bon Robert vu que tu as voulu affirmer qu’il y en avait plusieurs je tai montre a quel point c’etait encore plus con, mais bon la je crois qu’on a atteint le fond, tu tapercois meme pas de tes propres contradictions… c’est…grandiose, un tel degres de comique involontaire de ta part, c’est insurpassable.

      • Je n’ai jamais affirmé qu’il y en avait plusieurs. Merci de relire (éventuellement re-relis et prends des notes) le dernier paragraphe écrit par mes soins. Il est écrit clairement, illustré de façon pertinente et n’est pas excessivement long, donc même le crétin congénital que tu es devrait arriver à comprendre à la longue.

      • Je te cite, enfin ou un de tes clones: ce qui reviens au meme vu la coherence de votre abyssales connerie.

        « mmmh, c’est écrit ou que c’est la seule évac ? Et ou qu’il y a pas moyen de la boucher ?’

        Alors si tu ne sais meme pas lire ce que tu ecris hein….
        Moi je te montre qu’il y en ai une, ou qu’il y en ai plusieurs, c’est une malfacon evidente…encore plus flagrante si il y en a plusieurs.
        Enfin je montre a quelqu’un qui est capable de faire un raisonnement hein, pas a toi. evidemment.
        Tu sais Robert, vu que tu connais le mot congenital je te prierais d’aller en voir la definition.
        A force de te reproduire de maniere consanguine avec tes clones, je commence a comprendre dou viennent tes tares.

      • Poser une question ne reviens pas à affirmer le contraire, mr binaire. Toi par contre t’affirmes plein de choses qui ne sont que des suppositions et t’extrapoles par dessus: c’est très con (mais ultra-classique venant de toi).

      • « A force de te reproduire de maniere consanguine avec tes clones… »

        – Eh, je descend en bas !
        – Ah non ! Si tu fais ça, je te tue de manière mortelle !
        – Ah ouais ? Ben si tu veux me rattraper, va falloir aller vite, de manière rapide !

      • Oui robert j’extrapole, tu sais pourquoi ? parce que c’est un FILM donc une fiction et donc on n’a pas d’info.
        Et quand toutes les extrapolations menent au fait que c’est tres con, tu choisis l’extrapolation qui a le plus de sens, deja que celle ci n’en a pas beaucoup.

        Robert, qui invente a chaque post une nouvelle facon d’exprimer sa connerie, un comique toujours renouvelé!

      • J’oubliais l’Omnicompétence du grand Steuphane, qui, sans caractéristiques techniques aucune discerne à l’oeil nu et de façon exhaustives les différentes failles possibles d’une technologie fictive.
        Et quel dommage que les exhaustives extrapolations de génies, émises subséquement à l’analyse sans faille de l’oeil rigoureux de Steuphane aient oublié un trivial détail avéré de l’univers Star Wars: à savoir qu’il existe une technologie anti-décompression dans le vide spatiale ?

        http://images.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fvignette2.wikia.nocookie.net%2Fstarwars%2Fimages%2F5%2F50%2FHangarbay327.png%2Frevision%2Flatest%3Fcb%3D20130221055742&imgrefurl=http%3A%2F%2Fstarwars.wikia.com%2Fwiki%2FDocking_Bay_327&h=816&w=1920&tbnid=H0GTyoFuhxmL_M%3A&vet=1&docid=Ur3_F30G-fsoVM&ei=cdRjWOyLNILtapWShKgM&tbm=isch&client=firefox-b&iact=rc&uact=3&dur=3586&page=0&start=0&ndsp=36&ved=0ahUKEwisiJnDlJfRAhWCthoKHRUJAcUQMwguKBIwEg&bih=939&biw=1920

        « Et quand toutes les extrapolations menent au fait que c’est tres con, tu choisis l’extrapolation qui a le plus de sens, deja que celle ci n’en a pas beaucoup. »

        Du coup, sans extrapoler, on peux dire que t’es juste très con et qu’tu t’fait du mal.

        Aller j’me sauve, mon droïde sphérique est garé en double-file et j’ai rendez vous avec des austrapopithèque/arborigene musulmans cannibales qui ne font pas chier pour fêter les fêtes fêteusement de façon fêteuse, comme dirait l’autre.

      • Wep une technologie decompression susceptible de tomber en panne…alors qu’une porte et un joint hein….Accessoirement, cette techologie est par contre incapable de genrer la moindre torpille…

        C’est quoi ton explication a ca ? A oui c’est vrai qu’ils peuvent pas fermer le condit parce que ca chauffe et qu’ils vont tirer (et pourtant c’est toi qui me dit qu’en fait il pourraient y avoir d’autre condeuits…))

        Nan franchement Robert, je croyais que tu pouvais pas faire plus con, et t’as encore reussi, braco !

      • Robert tu dances tout seul comme un derviche tourneur…c’est distrayant jusqu’a un certain point…..

      • C’est toi qu’a dansé les premiers pas et qui nous a permis de faire une petite ronde puis une grande. T’insistes même présentement pour continuer à danser. Et pourtant t’as l’impression que j’danse tout seul ? Etrange.

  36. Sinon un truc ma troublé pendant le visionnage :
    On est à un moment dans la ville de Jedha qui est en plein désert, juste à côté de Jedha il y a un temple sacré avec des (une?) pierres sacrées pour une religion.
    Dans cette ville de Jedha on a les zélotes du temples qui sont désœuvrés qui massacrent les gens (ici un groupe de stormtroopers assimilables aux forces de l’ordre local) en plein marché (Assof et Baze pour reprendre les noms de l’article. Moi je les appelle le Zatoichi / daredevil accompagné de son pote le deadshot à dreadlocks).
    Le parallèle avec le marché de Noël berlinois attaqué par les islamistes est assez mal venu je trouve. Et ce n’est pas un hasard à ce niveau là, les probas sont trop faibles.

      • évidemment que Disney n’est pas complice de cette action berlinoise spécifique. Je dis que cette promotion métaphorique du djihadisme dans Star Wars, qui elle n’est pas le fruit d’un hasard malheureux car les éléments reliant à l’islamisme sont trop nombreux pour être une coïncidence, tombe bien mal en ce moment de sortie qui coïncide avec ces attentats.

        En 2001 quelques semaines après le 9/ 11 le film « collateral damage » devait sortir avec Schwarzenegger avec une scène de détournement d’avion. Le film a été décalé pour sortir l’année suivante et les scènes non « patriotiques » enlevées.
        http://www.imdb.com/title/tt0233469/trivia

        Cette promotion du djihadisme est tout de même troublante, si cet attentat berlinois (et les précédents allemands, belges et français) avait eu lieu sur le sol américain, le fil aurait été retouché, à n’en pas douter.

      • Cette promotion du jihadisme… c’qu’il faut pas entendre comme connerie.
        Les éléments liés au jihadisme sont trop nombreux pour être une coincidence… Bien joué les syllogisme foireux : Le jihadisme emploie une technique de guérilla urbaine, or les rebelles dans Rogue One emploient une technique de guérilla urbaine donc les rebelles sont une métaphore du jihadisme. Même l’odieux connard n’aurait pas osé autant de mauvaise foi.

        Par ailleurs l’autocensure, comme celle de « collateral damage » est fort regrettable (enfin pour un navet pareil on s’en fout un peu) et pas justifié par les comparaisons qu’on pourrait faire avec l’actualités.
        Enfin de toute façon Rogue One étant sorti avant l’attentat, trop tard pour faire des modif.

    • @wasabi
      Si je suis ton raisonnement, un film dans lequel des résistants français de 1940 (zélotes de la croix de Lorraine) tuent des soldats allemands (l’ordre établi de l’époque), c’est aussi une apologie du djihadisme.

      • mais personne n’a donc compris que la Mecque est un temple avec une pierre sacrée -la kaaba-, située en plein désert, à côté de la ville de Jeddah en arabie saoudite ?

      • @wasabi : OK, dans ce cas là, je deviendrai ton plus fidèle disciple le jour où je verrai par moi-même (sur place) un croiseur impérial (pas autre chose, hein) au dessus de la Mecque. Ça marche comme ça ?

    • Je crois pas qu’ils aient fait expres de faire la promotion du djiadisme

      Apreeeees…..L’empire a toujours representé les usa, y compris l’etoile noire, magnifique bombe nucléaire spatiale

      Donc si on rajoute la guerilla au millieux du désert par des mec en cagoule fanatisés et adepte des explosif, leur base du désert et leur religion de paix, je pense que Disney a copié un peu a droite a gauche

      Remarque ca expliquerait pourquoi la bataille finale resemble a une reconstitution du vietnam

  37. @wasabi
    Peut-être que Jheda (Rogue One) vient de Jeddah (Arabie Saoudite), de la même manière que Tatooine vient de Tataouine (Tunisie), ils ont peut-être à nouveau utilisé le nom d’un lieu réel pour nommer un lieu dans Star Wars, et alors ? Il faut forcément donner dans la théorie du complot pour autant ?
    Soyons fous… imaginons un bref instant que tu as raison : ça serait quoi le mobile de Disney pour prôner le jihadisme à travers leur film ? Secrètement ils sont partisans de Daesh, tu penses ? C’est quoi leur but ? J’ai hâte de lire ton argumentation…

    • La flemme, pourquoi creer une histoire de rebelles extremistes alors qu’on peut la piquer dans l’actualité?
      Après ca m’a fait plus penser a l’afghanistan qu’aux attentats en europe

  38. Ex lecteur assidu de ce blog, je n’ai pas pu aller plus loin que les premiers paragraphes de ce spoil, qui utilise les même ficelles que le premier article paru.
    J’ai beaucoup aimé vous lire. J’ai longtemps espéré une prise de risque ou un renouvellement, mais être de mauvaise foi avec des bouses, des films d’univers et des blockbusters, c’est tourner en rond autour de la facilité …

    Merci en tout cas pour les bons moments passés à vous lire, mais quand l’irréverence sombre dans le convenu, le plaisir se noie dans l’ennui.

    • C’est valable pour toute recette. Que vous ne le sachiez pas ou que vous vous en aperceviez seulement maintenant ne justifie pas d’en remettre la responsabilité à l’auteur, qui a sont style et son identité.
      Souhaiteriez-vous un blog de style l’Odieux Transgenre?

    • Franchement c’est son gagne pain…et ca marche. (suffit de voir les commentaires des admirateurs)
      Tu veux pas non plus qu’hollywood change de recette pendant que t’y es…
      On change pas une recette qui gagne, Odieux Connard ou Hollywood, meme combat.
      Tant que ca gagne , ca joue!

  39. Bah, pour un studio le scenario c’est – et de loin ! – le truc le moins utile actuellement. Pour rentabiliser un film, suffit de blinder le budget effets spéciaux/3D àlakon, de mettre au moins une tête d’affiche, et surtout, surtout… de racheter une franchise. Parce que t’auras beau faire un super film qui raconte une vraie belle histoire, le temps que le bouche à oreille opère, le film ne sera déjà plus en salles. Au mieux il deviendra culte en DVD/Bluray. Youpi.
    C’est pour ça qu’on se frappe sans arrêt du reboot, du prequel, du spinoff, du marvel, etc. Les gens voient une affiche où il y a marqué mad max, point break, ils cherchent pas à comprendre, à lire une ou deux critiques avant d’y aller; ils se ruent dans les salles.
    L’OC a de beaux jours devant lui.

    • Primo, ça n’a rien à voir avec Disney en particulier : quel que soit le studio de production, l’immense majorité des films de SF depuis l’invention du cinéma parlant utilise des bruits de moteur, de laser ou d’explosion dans l’espace.
      Secundo, les films de SF ne sont PAS des documentaires, ils prennent des libertés avec les lois scientifiques depuis toujours pour des questions esthétiques et pour assurer le spectacle, on le sait, c’est voulu, c’est comme ça. Je te mets au défi de couper le son dans Star Wars chaque fois que l’action se déroule dans l’espace et de prétendre que le film est mieux ainsi.

      • 2 films majeurs dans lesquels il n’y a pas de bruit dans l’espace : 2001, l’odyssée de l’espace, et Interstellar. Après, l’Odieux râlera quand même parce que la musique ne sera pas à son goût (dans Interstellar, fallait oser), mais pour moi le bruit dans l’espace ça reste un signe que c’est un film de SF lambda.

      • interstellar et 2001 films majeurs, LOL.
        Un des deux c’est l’adaptation d’une oeuvre mineure de Clarke, l’autre un remake dans l’esprit de l’autre.

      • @Sébastien
        Si Star Wars n’est pas de la science-fiction, c’est quoi à ton avis ? Du péplum ?

        @Avarus, wasabi, Knightmare (sympa ce pseudo)
        2001 L’Odyssée de l’espace est évidemment un classique de la SF et un film majeur dans cette catégorie, y a même pas à discuter. Je le dis d’ailleurs à mon grand désespoir vu que, selon moi, ce film est une daube immonde qui ne doit sa renommée qu’au fait que c’est un précurseur du genre. Mais bon, quel que soit mon avis sur la qualité de 2001 L’Odyssée de l’espace, il n’en reste pas moins que c’est un incontournable de la SF.
        Interstellar, par contre, n’a rien d’une oeuvre majeure de SF. Toujours selon moi, c’est un très bon film et Christopher Nolan est même l’un de mes réalisateurs favoris, mais son film va disparaître des mémoires et ne connaîtra jamais l’aura que peuvent avoir 2001, Star Wars ou Star Trek (bon après faut savoir ce que l’on entend par « film majeur », hein : si c’est juste le fait de cartonner au box-office pendant 15 jours, on va pas s’entendre).

        Pour revenir à l’histoire du son dans l’espace, ni 2001 ni Interstellar n’ont choisi le silence sidéral juste pour coller aux lois de la science, hein. Ils ont juste fait ce choix pour des raisons esthétiques et pour garantir le spectacle, exactement de la même façon que Star Wars privilégie le son dans l’espace parce que ça améliore les films de la saga.
        Dans 2001 et Interstellar, qui sont des films à l’action lente et où l’impression de majesté et de solitude est importante, le silence dans l’espace renforce ces sensations. Star Wars, au contraire, est très rythmé et les sons dans l’espace s’imposent naturellement pour accentuer le dynamisme des combats. C’est comme ça dans tous les films de SF qui bougent un peu.

      • « Si Star Wars n’est pas de la science-fiction, c’est quoi à ton avis ? Du péplum ? »

        De la science-fantasy. La SF est un peu plus rigide au niveau de la cohérence quand la fantasy permet certaines libertés. Sauf si la force est une science. ^^

      • 2001 et Star wars ont tous les deux été des films « Charnière ». Il y a eu un « après » 2001, avec sa vision du futur, qui sera encore crédible dans 50 ans (bon mis a part certains interieurs et technologies datées) et un « après » Star Wars qui a fait naître le blockbuster et un renouveau de la SF à l’époque. Interstellar est un bon film, mais pas un chef d’oeuvre, loin de là. Mais je l’apprécie énormément quand même.

      • Film fantastique, je crois que ça existe comme dénomination?
        Un film de science-fiction part d’un postulat situé dans le réel et l’extrapole.

    • @Alias, Sébastien
      Star Wars contient effectivement des éléments de fantastique mais on ne peut pas le classer à 100% dans ce genre cinématographique (pour comparer, Harry Potter ou Le Seigneur des Anneaux sont des films 100% fantastiques).
      La science-fantasy ou la space-fantasy conviendraient mieux pour Star Wars, mais ce sont plutôt des sous-genres de la science-fiction.
      Enfin bref, on ne va pas ergoter sur le sujet 107 ans, Star Wars est juste à la croisée de tout ce petit monde.

      • Un sous-genre plutôt côté fantasy. On a tous les codes de la fantasy classique et l’originalité tient juste que ça se passe dans l’espace.
        Oui, j’y tiens à cette classification. :P
        @Sébastien : non ce n’est pas du fantastique pour les puristes, ça n’a même rien à voir :P

  40. On le sent un peu moins inspiré que d’hab, ce spoil, l’est temps que le maître des lieux prenne des vacances ! A forcer le trait, on perd en inspiration, tant pis.
    Vous vous répandez trop sur le « défaut volontaire de construction » qui ne fait que donner une explication correcte à une incohérence monumentale du IV… en oubliant que l’Empire, au courant de la trahison de l’ingénieur chef, ne touche à rien sauf son entrejambe et ne vérifie que dalle. Par exemple.

    La dernière demi-heure (dès qu’on touche aux archives) est tout de même particulièrement mal gérée. Et le droide a plus de personalité que le binôme de personnages principaux, ce qui est… triste.

    • Je permet de mettre un bémol sur le fait que l’empire soit au courant de la trahison de son ingénieur en chef :
      – Premièrement, Tarkin semble avoir mis du temps avant de révéler l’info de sorte à être sûr de pouvoir humilier Krennic;
      – Deuxièmement, le laps de temps entre la révélation de la trahison et la destruction de l’étoile noire est au final très court (faudrait plutôt voir Rogue One comme un SW 3.9 que comme un 3.5), laps de temps au court duquel ladite étoile noire a été pas mal occupé entre un premier essai sur jeddah, un deuxième sur scarif le lendemain ou presque, un troisième sur alderande (aldorande ?) quelques jours après … Il aurait été compliqué pour l’empire de trouver la faille et la corriger en si peu de temps selon moi.

      • C’est en effet la meilleure réponse que je connaisse : « SW 3.9 », tout tient dedans :-)
        Il faudrait se pencher plus dans le nouvel Univers Etendu pour affiner cette histoire de proximité temporelle…

  41. J’ai découvert ce blog assez récemment. Certains reprochent la mauvaise foi de l’auteur dont c’est pourtant le moteur revendiqué. Je ne comprends pas.
    Il y a bien des points intéressants à ce genre de critique dont une n’est pas tellement analysée: il s’agit de la lassitude à voir toujours les mêmes films basés sur les mêmes recettes.
    Tiens, d’ailleurs le mêmes qui défendent cette recette de blockbuster la reproche au tenancier de ce blog. je ne comprends pas.
    On pourrait dire finalement qu’un bon film est celui qui arrive à rendre crédible l’incroyable et à masquer les incohérences internes pour servir un propos plus élevé.
    Les problèmes arrivent quand le spectateur prend conscience de cette répétition. A ce moment-là, il ne peut plus revenir en arrière. Il connait le truc du magicien, qui ne fait même pas d’effort pour se surpasser. le bon film repose sur un bon scénario car l’attention des spectateur est détourné de tous ces points faibles, quasiment impossible à traiter dans ce type de fiction. Comme toutes les intrigues actuelles reposent sur une surenchère permanente, la crédibilité en prend un coup, les recettes sont éculées, et le bâtiment repose sur du vide (les fondations de l’édifice = le scénario). Il suffit qu’un petit avion percute le gratte-ciel et boum….Hum, passons.
    Le problème de Rogue One, c’est qu’il n’a rien à raconter. On étale la confiture sur une tartine qui ne cesse de grandir. Pour un fan de Star Wars de base (le stomtrooper quoi), ça tient simplement d’une addiction ou du fanatisme de trouver çà hypra-cool. N’est pas cinéphile qui veut. Pour d’autres, on s’en tamponne de savoir comment ses plans ont été volés, car ce n’est pas, et n’a JAMAIS été le propos de Star Wars.
    Disney est en train de nous faire de Star Wars, une saga cultissime, un clone de Dallas. Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir où est le problème.
    De plus, les américains ont toujours été très mauvais dans la réalisation de suites. Au moins, ils possèdent cette constance dans la médiocrité. Les moins Alzeihmerisés se souviendront de « La Fiancée de Frankenstein »ou autres nanards du genre « Dracula fait du Ski ».
    Vous rajoutez à cela un nombre incalculables de tacherons qui trainent dans les rues de Hollywood prêts à tout pour en croquer leur part et vous obtenez des choses informes et indigestes. On a là aussi l’habitude de tout ce qui vient d’Outre-tombe-atlantique. Le top du top….

    • Non le scneario n’est pas la fondation d’un film et heureusment….parce que bon franchement, c’est juste le fil conducteur, pas franchement indispensable en plus. Un film n’ayant pas forcement vocation a raconter une histoire.
      Si tu parles d’un script encore je veux bien….sinon …t’es aussi teubé que les autres.

      • Heu… Si, c’est indispensable pour un film un scenario, aussi pourri soit il. Après, si tu veux pratiquer la zoophilie avec des drosophiles pour parler sémantique concernant la différence entre un script et un scenario, ce dont le quidam profane n’a strictement rien à carrer, libre à toi. Mais de là à insulter des gens qui viennent juste d’arriver et qui donnent un avis, ma foi tout à fait valable en plus, je trouve ça plus malpoli qu’à l’accoutumée, même pour toi.

      • Plus malpoli que d’accoutumé, non (une limite impossible a surpasser) . Aussi stupide que d’habitude (un challenge sans cesse renouvelé): oui-da.

      • >Heu… Si, c’est indispensable pour un film un scenario, aussi pourri soit il.

        Non tu pourras le repeter autant que tu veux non ce n’est pas indispensable. Un film c’est une successions d’image projetee a l’ecran, ca peut se passer d’histoire, ca peut se passer de son, par contre ca peut pas se passer d’image, sinon on apelle ca autre chose. Que TU trouves que cela soit forcement mieux avec un scenario ca n’engage que toi.
        Mais ca n’en fait pas une verite absolue a part pour les mous du bulbe comme toi et tes copains comme Robert.

      • Ah si tu parles d’un film pris avec ton téléphone ou en famille je veux bien, mais pour un truc supposé sortir au cinéma, j’ai pas encore vu. Tu as un exemple, bien entendu, autre qu’un truc expérimental sorti du fin fond du cerveau d’un étudiant en cinéma? Un truc un peu connu quand même stp.

      • En fait je ne pensais pas que mon com’ purement ironique entraînerait un débat sur la case dans lequelle est supposé être placé Star Wars. Mais c’est rigolo. Quoique je n’ai pas eu le débat entre impossibilité scientifique et cohérence dans un film.

      • >Ah si tu parles d’un film pris avec ton téléphone ou en famille je veux bien, mais pour un truc supposé sortir au cinéma, j’ai pas encore vu.

        Genre Microcosmos, la marche des pingoiins etc. Ou beaucoup de films donc le seul interet est de voir la nature. L' »histoire » n’est d’ailleurs souvent la dans beaucoup de film que pour les cretins dans ton genre qui seraient incapable de regarder plus de deux minutes de magnifiques images sans qu’on leur donnela bequetee de ‘le protganiste veut baiser/le pouvoir/sauver le monde (pour basier)’
        Faut dire que devant le peu d’intelligence dont la majeur partie des spectateurs comme toi fait preuve, cela suffit pour qu’il foutent la paix aux autres qui vont au cine non pour la pseudo histoire, mais pour regarder des images qu’ils ne verront pas dans la vie reele, ainsi si possible une bonne musique.

        je sais ta tete vient d’exploser devant ce concept surnaturel que non l’histoire n’est la que pour que les demeures dans ton genre puissent raler en passant a cote de l’interet du film. PArce que bon l’histoire hein, c’est toujours la meme chose….a part pour ceux ayant une memoire de poisson rouge cmome dans ton cas.

      • Ah ben raté, dans Microcosmos il y a un scenario (qui a nécessité deux ans d’écriture, selon wikipedia)
        https://fr.wikipedia.org/wiki/Microcosmos_:_Le_Peuple_de_l'herbe

        Film que j’ai beaucoup apprécié d’ailleurs, contrairement à ce que tu pourrais penser.

        Maintenant je sais que ton cerveau risque d’imploser, mais scénario ne veut pas nécessairement dire « dialogues ». Je sais que pour un demeuré dans ton genre ça peut être difficile à comprendre.

        Tes arguments. Stupides. Ta balle dans le pied. Merci à toi. On va arrêter là, hein, ça vaudra mieux je pense…

      • Oh le malotru ! Il a le culot de m’relancer et il va danser avec un autre ! Goujat de Steuphane !

      • Il bouffe à tous les rateliers, il aime se ridiculiser partout en même temps, des fois que tout le monde ne l’aurait pas encore remarqué.

      • >Maintenant je sais que ton cerveau risque d’imploser, mais scénario ne veut pas nécessairement dire « dialogues ». Je sais que pour un demeuré dans ton genre ça peut être difficile à comprendre.

        C’est surtout ton esprit de demeure qui est capable de croire qu’il y a deux ans de scenario dans microcosmos…(du montage oui….du ‘scenario »….huhu)
        Ou de croire qu’on peut confondre scneario et script.
        Mais bon entre Robert et toi, je suis pas a deux demeures pret qui pense serieusement qu’ils ont raisons…
        Apres tout y a des milliards de fideles partout dans le monde eprsuader aussi d’avoir raison…

      • Waouh 4 jours de réflexion pour répondre un truc aussi pourri et continuer à tourner en rond (Georges tu avais raison). Je vais me répéter du coup: la différence entre un script et un scénario on s’en balance. Y a une histoire. Ecrite. Plus ou moins bien c’est pas le sujet. Arrête d’enculer des mouches (c’est plus clair la? Puisque apparemment tu n’avais pas compris mon premier message) et d’insulter les gens aussi, au passage, si tu espères avoir une once de crédibilité. La tu te descends tout seul, et tu te retrouves dans la peau de l’invité du dîner de cons. Enfin, c’est ton problème, j’en connais un certain nombre ici que ça doit amuser.

  42. Merci pour l’hommage à Gotlib!! Et sinon, dans le genre suite de merde, « Mary Poppins returns » va sortir en 2018. Rien que le titre m’a fait pleurer !

  43. En regardant ce film, j’ai pensé à une chose dont vous n’avez pas du tout parlé : Vador qui se trouve à même pas 20 mètres des plans et qui ne se sert pas de la force pour les récupérer. Je pensais que vous pourriez imaginer qu’il avait envie de jouer à attrape-moi si tu peux en laissant les plans lui filer sous les doigts, ou même qu’un bon gros coup dans la navette ferait tout aussi bien l’affaire, vu qu’en fait l’empire se fout complètement de récupérer les plans, il leur suffit juste que les rebelles ne puissent pas les utiliser. Bon, pour tout vous dire, je suis déçu…

    • Pareil. Il a pas l’air particulièrement pressé de les récupérer, ces plans. Ça prend le temps de poser dans l’obscurité avant d’allumer son sabre laser, ça avance tranquillement vers la porte alors qu’il n’y a qu’une poignée de Jean-Jacques devant lui, ça fait des pauses parfois pour les finir tranquillement, ça fait sauter les armes des mains desdits Jean-Jacques mais jamais venir la disquette à lui, et ça contemple le vaisseau qui s’enfuit sans ordonner qu’on le dégomme – et sans même avoir prévu cette éventualité -. Bref, ça commence à faire beaucoup de mauvaise volonté de la part d’un cadre sup’ de l’empire (peut-être Palpatine avait-il refusé de lui accorder ses RTT ?), ou pas beaucoup de réflexion de la part des scénaristes, c’est dommage.

      Je veux bien admettre qu’il lui fallait son petit moment de ténébritude à la fin du film, mais ils auraient pu se démerder un peu mieux sur cette scène.

  44. Et sinon aucune remarque sur le cosplay de Dark Vador vraisemblablement acheté et livré en 1 jour ouvré par Amazon prime ? Ce tour de cou en caoutchouc qui ne ressemble à rien de ce qu’on à connu ? Et ce pantalon à paillette ? Non vraiment ?

    • J’ai l’explication plus loin: il ne s’agit pas de Vador mais d’un fan déguisé dans le champ. En effet Vador n’avait aucune raison d’être là à ce moment précis. On l’avait laissé dans son bacta trois scènes avant.

  45. Je l’ai vu aujourd’hui, c’est vraiment très mauvais. Et la mort des deux héros sur la plage, c’est la fin de « Final hours » de Zak Hilditch (2013) à deux-trois grains de sable près.

  46. Putain… J’ai mis beaucoup beaucoup trop longtemps à comprendre la blague sur ace of base, mais une fois que j’ai tilté, ça m’a bien fait ricanner!!

  47. Bravo monsieur connard vous vous êtes surpassé ! J’ai visionné ce pur concentré de déjà vu aujourd’hui et j’étais tellement occupé à crever de rire sur certains passages ratés que des scènes me sont totalement passées sous le nez. Bref c’était une compilation de clins d’oeil maladroits de personnages qui meurent bêtement ( coucou protagoniste féminine dont j’ai oublié le nom, Gin je crois en souvenir de ce dont ils s’imbibèrent avant de bosser sur le script).
    Rien à en tirer, absence de John Williams pour la musique qui se fait bien sentir, héros sans charismes dont la mort n’émeut pas, scènes ou tu as vraiment l’impression que les seules califications requise pour être de l’empire sont posséder un cortex proche de celui d’un aligator et une capacité à relier des faits entre eux aussi développée que celle d’un rhinocéros.
    Six sur vingt pour ce dégueuli cosmique intemporel, et dix huit pour vous qui réussissez brillamment à nous confirmer que oui c’était un splendide extrait de foutre à oublier autour d’un ou deux litres d’absinthe.

  48. Trop de mauvaise foi alors que les explications sont évidentes:
    Pourquoi se poser à 15km de la maison ?
    Parce que les impériaux sont très polis et ne saccagent pas les cultures avec leur navette, ils s’essuient même les pieds avant d’entrer.
    Pourquoi sa femme revient?
    Elle est atteinte du syndrome Jar Jar. Donc logique.
    Pourquoi le personnage de Saw Gerra est-il aussi naze et sans intérêt?
    Parce qu’il ne sert qu’à justifier l’intérêt de la résistance pour Gin et donc le film. Ah ah!
    Pourquoi un long monologue sur sa fille dans le message?
    C’est une ruse pour endormir tout ennemi au cas où le message tomberait dans de mauvaises mains. Normalement plus personne n’est éveillé quand il annonce avoir saboté l’étoile noire.(malin)
    Pourquoi une espèce de moine invoquant la force à tout moment et se battant façon arts martiaux?
    Il n’y avait pas de poste de livreur de pizza ou de geek pour placer un asiatique.
    Pourquoi les archives en hauteur dans une tour?
    Car le pas impériaux ont le même architecte que la Bibliothèque François Miterrand.
    Pourquoi une espèce de pince manuelle pour prendre les disques durs?
    Parce que les système automatisés étaient tous pris pour les distributeurs de canette de la base.
    Pourquoi VAdor ne ferme pas la porte pour empêcher le disque dur d’être transmis?
    Parce que ce n’est pas Vador mais un fan en déguisement qui se trouvait dans le champ. En effet Vador n’a strictement aucune raison de se trouver là à ce moment précis.

    Voilà, j’espère rétablir un peu la vérité sur cet opus ma foi assez sympathique quand même. (Bien meilleur que le 7 qui est un accident industriel) .

    • Excellent ! j’adore ! Merci de m’avoir fait sourire en ce jour.

      « […] cet opus ma foi assez sympathique quand même. (Bien meilleur que le 7 qui est un accident industriel) . »

      Voilà, c’est exactement cela. Je leur dis bravo pour avoir redressé la barre après le VII en effet.

  49. J’ai vu le film avant de lire le blog.
    Il n’est pas bien bon. Un parenthèse dans l’Histoire.
    Mais à ce que j’ai compris:
    L’Etoile Noire tire sur les archives dans les buts suivants:
    1) Les détruire, empêchant les terroristes, pardon, les Rebelles de se saisir d’informations. De toute façon il y a bien de backups ailleurs. Non?
    2) Tuer tout les rebelles de la région.
    3) Tuer le Herr Direktor pasque le commandant ne l’aime pas. (J’ai vu le film en Allemand, qui n’est pas ma langue maternelle)
    L’Etoile Noire ne va pas tirer sur la flotte rebelle, parce que ce serait utiliser de l’artillerie de 155 contre une nuée de moucherons en train de s’égailler.
    A ce stade, l’Empire ne sait pas que les plans ont été volés, ou bien ce qui a été volé.
    Et comme tout a été rasé, difficile d’aller relire les logs pour savoir ce qui s’est passé précisément..
    Darth Vader qui va casser du rebelle dans le vaisseau en panne? Pour la forme, l’entraînement, et le maintient de son image. C’est son PR qui lui a conseiller. Savait-il précisément ce qu’il cherchait?
    Il y a bien des incohérences et des clin d’oeuil trop lourds. Mais au moins ça, ça me semble logique.
    La pince à disque durs?
    ça existe réellement dans les Datacenters, justement pour aller chercher les DAT voulues. Tout n’est pas en ligne en permanence. Mais normalement, il suffit de demander la bonne DAT et la pince s’en occupe. Pas besoin de viser manuellement.

    • Je trouve quand même que détruire les archives n’avait au final d’intérêt que scénaristique : ça permet de justifier qu’il n’y a plus personne de vivant dans l’opus suivant. Mais d’un point de vue de l’empire ça me semble complètement stupide parce que ça ruine des archives dont certaines n’auront peut être pas de back up et parce que justement ça élimine toute la résistance sur place, empêchant de capturer quelques survivants qui aurait pu détenir des informations sur les rebelles (comme leurs objectifs ou la position de la base rebelle).
      Et ensuite, petite incohérence relevée en visionnant star wars 4 immédiatement après : lors de la capture du vaisseau de Leia au début du film, Dark Vador cherche précisément les plans de l’étoile noire, indiquant que l’empire savait quand même ce qui avait été volé.
      Sinon je suis d’accord pour le coup du canon de 155, il est justement précisé dans star wars 6 que l’étoile de la mort a été améliorée pour être capable d’effectué ce genre de tir, sous entendu que ce n’était pas le cas précédemment.

  50. Merci tu m’as économisé du temps d’écriture pour critiquer cette vaste foutaise daubesque et scandaleuse qu’est ce film minable devant lequel j’ai réussi à m’endormir au bout de 20min.

    Incroyable de voir lire des bonnes critiques sur ce film. Fou !

      • Malheureusement si. Ma voisine me donnait des coups de coude pour poursuivre ce calvaire.
        Avec du recul elle aurait pu s’abstenir.
        Je suis un grand fan de l’univers Star Wars pourtant…

  51. Ce film m’a donné l’impression d’avoir été conçu uniquement en tenant compte des possibilités d’adaptation en jeux vidéos…comme par hasard, il y a déja un DLC battlefront de sorti, avec la bataille sur la planete exotique à la fin…

  52. Très cher Odieux, si vous trouvez ce spin-off mauvais, j’attends – avec une impatience difficilement contenue – votre spoiler de Passengers, que j’ai découvert comme une bouse intersidérale d’un niveau de médiocrité largement supérieur à ce gentil Rogue One.

  53. Bonjour, sans vouloir être pénible et au risque d’une redite, on écrit bayer aux corneilles.
    Merci pour ce spoil.

  54. J’ai juste une petite question qui me vient à l’esprit: si nos « héros » on croisé sur jedha des personnages qu’on retrouvera plus tard dans la Cantina, comment ces derniers ont-ils survécu à la déstruction de la ville et de la zone autour? Ils sont partis en navette pif paf pouf juste avant l’explosion comme c’est pratique?

    • C’est pratique mais pas totalement incroyable. Quand Cornelius Evazan et Ponda Baba bousculent Jyn, ils sont peut-être justement en route vers l’astroport en vue de quitter la planète. Le temps que Jyn et sa clique vivent leur vie sur Jedha, Evazan et Baba ont largement eu le temps de se barrer avant que l’Etoile de la mort n’ouvre le feu sur la cité.

    • Il faut noter que la destruction de la cité n’intervient que quelques heures plus tard, le temps pour nos « héros » d’être emmenés à pieds jusqu’à la base de Saw Gerrera qui n’est pas juste à coté non plus.

  55. Bonjour,

    Pour ma part j’ai bien aimé ce film. Sa structure est très similaire à celle d’ « un nouvel espoir ». Introduction des méchants, scène sur planète désertique, mini combat, introduction des rebelles, missions divers et combat final.
    J’ai trouvé les méchants très réussi. Leurs luttes internes à vouloir être au plus proche de l’empereur et récolter les lauriers est (malheureusement) très juste. J’ai aussi beaucoup aimé la musique, les nouveaux thèmes et l’utilisation subtile de motifs oubliés comme celui de l’étoile noire (4 notes) et des stormtroopers.
    Ce qui ne va pas, mais pas du tout, c’est la dernière partie, qui est paradoxalement la meilleure. Meilleure pour les combats dans l’espace, les AT-AT, et la course contre la montre pour envoyer les plans. C’est très proche de la construction de du final du retour du Jedi. Mais…
    Les plans : dans l’épisode 1 pas de mention de l’étoile noire, ok merci au suivant ;
    Épisode 2 : les extra-terrestres orthoptères donnent à Dooku ce qui semble être les plans du projet étoile noire. Le tout tien dans le creux de sa main. Bon ok peut-être qu’il s’agit d’un avant-projet sans tous les détails, mais bon ça tient dans le creux d’une main.
    Épisode 3 : Une des dernières scènes montre que le projet est entamé. Il faudra donc 20 ans pour qu’elle soit opérationnelle cette étoile noire.
    Épisode 3 ½ : Les plans sont maintenaient trop volumineux pour un peer-to-peer et sont stockés sur Archivu Landaa Giraavaru. Et c’est là que c’est idiot car la tour est (ça a été dit) une cible très, mais alors très facile et ensuite sachant que l’étoile noire a été construite en 20 ans, il paraît évidant que l’étoile de la mort (retour du Jedi) est déjà en construction, donc que les plans sont probablement utilisés pour cette 2ème arme. D’ailleurs les industries d’armement construisent toujours deux versions prototypes (minimum), au cas où…
    Il est à noter que cette fin a été partiellement retournée suite à je ne sais pas quel problème, quelques scènes de ce premier tournage subsiste dans la bande annonce. Quand on voit Jyn courir sur le sable face aux AT-AT, elle tient les plans. Hors Jyn ne se trouve jamais confrontée aux AT-AT et les plans ne quittent (physiquement) jamais la tour. La scène où elle fait face à un TIE au sommet de la tour est gommée (ça c’est très dommage). Alors que peut-être dans la confusion de ce retournage express, il y a eu gros cafouillage scénaristique.
    Ça c’est pour les plans, maintenant l’attitude de Tarkin. La destruction des archives est absolument illogique, et mériterait de se faire une bonne séance d’électrocution par l’Empereur. Alors ok que le méchant se prenne le rayon de son monstrueux bébé, c’est logique et cinématographiquement quasi inévitable, mais quand même. Cet acte est probablement guidé par le fait que Tarkin sait que Krennic est sur Archivu Landaa Giraavaru et qu’il veut être certain de son élimination. Mais la fin justifie-t-elle tous les moyens ? Comme cela a été dit, le message est parti, le bouclier est tous cassé. Que craindre de plus ? Les rebelles n’ont pas les moyens logistiques de voler toutes les archives. Alors pourquoi boom ? Dommage, il y avait d’autre moyens j’en suis certain de tuer les héros et garder le côté romantico-héroique.
    Voilà, pour le reste tout a été dit précédemment, merci pour cet article très drôle (je n’ai pas saisit le gag à propos de 90’s), et je finirais avec cette excellente scène de l’arrivée en hyperespace du destroyer de Vador qui pulvérise un vaisseau rebelle qui s’apprêtait à partir, ce que je vais faire. Au revoir.

    • Je suis d’accord avec ton analyse, moi aussi j’ai bien aimé le film globalement et j’excuse la quasi-totalité des incohérences ou lacunes scénaristiques… sauf ce moment à la fin où Tarkin donne l’ordre de faire tirer l’Etoile de la mort sur Scarif, ce qui me semble complètement absurde comme décision : il n’y a aucun intérêt à détruire en totalité un centre de recherche et d’archivage impérial de premier ordre (on y stocke quand même les plans du projet phare de l’Empire, c’est pas rien), rempli de personnels, de soldats et de matériels, sous prétexte que quelques centaines de pouilleux au sol et en X-wings sont en train de l’attaquer. Vu que Vador s’occupait de la flotte rebelle, Tarkin n’avait qu’à dépêcher quelques compagnies de stormtroopers et quelques escadrons de TIE sur Scarif pour reprendre le contrôle de la situation. Allez, puisqu’il fallait absolument détruire quelque chose, il pouvait éventuellement donner l’ordre aux chasseurs de faire péter l’antenne radio du centre, histoire d’empêcher toute communication indésirable.
      Du coup on sent bien que cette action complètement conne est dictée par l’impératif scénaristique de faire mourir les héros dans une belle explosion finale. Les artilleurs de l’Etoile de la mort poussent l’invraisemblance jusqu’à louper leur cible de plusieurs dizaines de kilomètres, et là encore on se doute que c’est pour laisser le temps à Jyn et Andor de descendre de leur perchoir et aller se poster sur la plage. C’est un peu dommage, je pense que les scénaristes auraient pu vraiment éviter ces incohérences avec une petite séance de brainstorming, tout en conservant la mort digne et émouvante qu’ils souhaitaient pour les héros.
      En tout cas j’imagine les rapports qui remontent à Palpatine à cette époque : « Alors voilà, l’équipe technique qui a conçu le design de l’Etoile de la mort a été zigouillée… Le directeur du projet est mort lui aussi… Ah oui j’oubliais, on a perdu tous les plans de construction dans l’explosion du centre d’archivage sur Scarif… Z’aviez pas l’intention de fabriquer une deuxième station, si… ? ». Et pour achever le tout, quelques semaines plus tard : « Altesse, vous allez rire… Vous savez le truc qu’on a mis 20 ans à construire dans le plus grand secret, ben il a été détruit par un délinquant juvénile… Bon, le Gouverneur Tarkin y est resté et je vous signale aussi qu’on est sans nouvelle du Seigneur Vador… Voilà, voilà, bisous ». Moi je dis, Palpy il est vraiment pas aidé…

  56. Bon, bien que les spoilers Star Wars me crispent toujours un peu (je suis fan de star wars et défenseur de la Prélogie), je sais qu’il faut prendre ça au second degré. mais il y a quand même 3 erreurs IMPARRRRDONNABLES !!!

    – Le bain de Dark Vador. Là vous êtes allé chercher un peu loin dans la mauvaise foi quand même. C’est du bacta, un liquide utilisé en bain pour soigner les blessures graves. Vador, il s’est fait couper les bras et les jambes et surtout griller la geule. Donc il a UN PEU besoin de soins.

    – Darth Vador. Non. Darth Vader ou Dark Vador. Mais pas Darth Vador.

    – Leïla. Grrrrrrrrr.

    Mais à part ça, bien que j’ai adoré le film, ce spoiler m’a bien fait rire.

    Par contre, pourriez vous spoiler la Trilogie originale ? Je suis sûr que le script est aussi avec les héros dedans.

  57. Après un épisode VII sans scénario, on a un spin-off avec un scénario branlant voir navrant. Ce qui nous fait présager le pire pour les épisodes suivant. Je trouve que ces nouveaux Star Wars ressemblent à du Transformer auquel on aurait enlevé la « beaufitude » pour y incorporer la « bien-pensance Disney » (tout le monde il est beau et gentil sauf les méchants qui sont pas si méchant mais bêtes). Bref comme dirait notre Joueur du Grenier national, ce n’est pas en rajoutant de la crème chantilly et une belle cerise à un gâteau au caca que ça en fait quelques chose de bon.
    En tout cas excellente critique de M Connard qui m’aura bien fait rire :DD

    • Par contre, ça ça me gêne : que les gens soient sérieux quand ils disent ça.
      Pour moi les spoilers sont divisés en 2 parties :

      – Ceux où l’Odieux fait de la vraie mauvaise foi et où le film n’est pas si nul (ex : Rogue One)

      – Ceux où c’est des vraies bouses (ex : Transformers)

      Mais là je trouve que dans les commentaires, c’est pas des critiques du film, mais du bashage gratuit. J’attends donc des arguments. Ah mais je suis cynique avec tout le monde, hein !

      Je repose également ma question : un spoiler de la Trilogie Originale serai-t-il possible ? Ou une page facebook de l’Empereur ?

      Et je m’excuse auprès de hellscream, qui n’avait rien demandé à personne mais qui a eu le malheur de poster après moi ! *rire maléfique*

  58. Bonjour, je suis le gérant d’une chatterie et je ne comprends pas trop le message reçu cet après-midi :

    « Bonyour, yé m’appelle Diégo et souis lé valet dou Signor Connard. Séré-t-il poussiblé dé fér livrer 10.000 chatonnes ô manoir?

    Porqué voyez-vous, cétté année 2017, vont sortir ô cinéma « Youstice League », « Gouardians of zé Galaxy 2 », « Thor : Ragnarok », « La Bellé et la Bêté », « Valérian y la cité dé 1000 planètés », « Wounder Wouman », « Piratés dos Caraîbés 5 » y , madre de dio ten piedad de nosotros, « Transfourmers 5″…

    Y, donc, mon maître va probablémente fér oun grosse counsommationne dé chatonnes cétté année! »

    Cordialmente

    Diégo »

    Voilà, bien que je ne comprenne pas totalement la teneur du message, je tiens juste à vous signaler que nous ne pouvons garantir la livraison de plus de 100 chatons par semaine mais que grâce à nos partenariats, nous sommes prêts à faire un geste commercial en remplaçant les chatons manquants par des chiots, avec un chiot gratuit tous les 9 chiots.

    Veuillez recevoir, Monsieur Connard, l’expression de mes salutations les plus expressément distinguées.

    Edgar, ancien majordome reconverti

    • Tentative d’humour nullissime et foireuse. N’est pas l’OC qui veut. Remballe tes blagues pourries, et l’accent espagnol de cuisine, ça passe limite dans un dialogue, mais supposément à l’écrit ça sonne Michel Leeb.

  59. il y aura aussi :
    -les animaux fantastiques de cette fin d’année qui risque d’arriver en article

    et ensuite, en plus de ceux que vous avez nommés :
    -XXX 3
    -la Grande muraille, aka à la rencontre du marché chinois
    -50 nuances plus sombres
    -Logan, aka « vulverine, au nom de la chatte »
    -Spiderman Homecoming, le troisième reboot en moins de 20ans
    -la planètes des singes III
    -SW VIII !

    • Et Assassin’s Creed… *tente d’insérer un smiley diabolique avant de se rappeler qu’il est sur « Le blog d’un Odieux Connard » et pas sur jvc*

  60. Par contre il faut un minimum d’honnêteté, on crache sur la prélogie pour ne pas rajouter une couche en inventant qu’elle raconte comment « on en arrive à l’étoile noire » (alors qu’il y a un plan dans le II et quelques images à la fin du III qui la mentionnent).
    Il y a eu suffisamment de pleurnicherie des imbuvables nostalgiques de la trilogie (alors même que celle-là posait déjà des pistes pour une éventuelle prélogie, d’ailleurs prévue par Lucas depuis longtemps) qui accusaient les nouveaux Star Wars de ne pas ressembler aux anciens. Alors on peut leur taper dessus comme on veut par rapport aux risques qu’ils ont pris, mais les accuser de recycler la trilogie, ça en devient un peu de la schizophrénie, non ?
    D’ailleurs ces insupportables nostalgiques sont les premiers à se plaindre d’un épisode VII qui ne fait que recycler le IV. Faut savoir ce que vous voulez à un moment !

  61. Pingback: Rogue One: A Star Wars Story de Gareth Edwards | Les boggans·

  62. Sublime analyse, poignante de pertinence, avec un soupçon de filouterie. J’applaudis, au sortir d’une séance tardive dans le froid de Strasbourg.

    Je me permets de relever deux minuscules imperfections dans la rutilante cuirasse de votre verbe juteuse :
    ► « meurt pulvérisé avec sa base moyennement secrètement quand le souffle l’atteint »

    Moi aussi j’aime les adverbes, mais « moyennement secrète » suffirait non ?

    ► « Car aucun personnage ne tique, ou, je ne sais pas, se rend compte que même écouté, parler de l’étoile noire, haut et fort… »

    J’aurais préféré « que quand même, écoutez » ; quoique le « quand » soit incertain.

    Merci pour votre dévouement sans faille, OC. Rappelez-moi de vous payer un cigare en l’honneur de votre futur AVC durant la projection du prochain « 50 nuances », en février 2017.

    • Attention, « écouté » est ici un adjectif verbal, au sens de « même s’il est écouté », mais c’était bien tenté !

  63. SW classique, Spoiler classique,
    j’ai bien aimé le premier et bien ri avec le second,
    merci pour ce bon moment de mauvaise foi (mais pas que)
    cher camarade O.C.!

  64. « blabla »
    Le capitaine n’apprécie guère, mais note bien ses nouveaux ordres. Il est heureux que personne ne l’ait entendu recevoir ses instructions, et surtout pas Jyn. Avec qui il va discuter.

    « Tout va bien. Nous serons bientôt sur Eadu.
    – D’accord. Mais dites-moi, pourrions-nous en profiter pour informer les rebelles de la nouvelle arme qui a rasé Jedha ? Et leur parler du message de mon père ?
    – Non. Nous sommes en plein territoire impérial, nos communications sont épiées. »

    DIXIT LE MEC QUI COMMUNIQUAIT SES INSTRUCTIONS SECRÈTES IL Y A DEUX MINUTES.

    Fin de citation

    Alors j’aimerais revenir la dessus, au niveau de la mauvaise foi, parce que j’ai l’impression que ça a traumatisé beaucoup de monde. Moi j’ai plutot applaudi le capitaine, qui a balancé un bluff bien placé pour fermer son clapet à la nana. En voyant un film de ce style, je fais énormément de fridge logic, et donc je fais preuve de critiques assez drastiques je pense, mais j’ai aussi un autre point de vu : le roliste.
    Et le roliste en moi trouve ce dialogue intéressant :
    Boss du PJ soldat, en dialogue privé avec celui-ci : bon mission secrète, blabla, et tuer le père de UNTEL
    PJ : Ok
    Fin de la discussion. Puis UNTEL se pointe : « dit on contacte tes patrons pour dire que mon papa il est important et il a des infos etc ?  »
    PJ intérieurement : »…hmm la petite rabouine, je lui sors quoi moi.. ah oui! »
    PJ : « Nope pas possible, espace ennemi tout ça ».

    Je trouve ça fluide, et même avec une suspension of disbelief proche du néant en général ( bon y a des hauts et bas) ce n’est vraiment pas cette scène qui m’a choqué.

    • Pas mal du tout comme point vu, je trouve. +1

      Surtout que justement en discutant avec un ami (comme moi, ancien rôliste), il me disait que le film aurai fait un bon scénario proposé par un M.J. lors d’une partie.

  65. Pan pan contre PAN PAN, ça m’a tué. Excellent.

    Après, j’ai rien contre le concept de préquel, suites et spin off, mais c’est juste qu’à force de se reposer sur un original, on dirait qu’ils se laissent porter par la vague, sans réfléchir. Dommage, franchement, j’aimais bien Star Wars.

  66. J’ai vu le bousin. Merci Hollywood! C’est plein de boum, piou, piou, piou, dong, baf et bong. Des incohérences … ben, oui, à fond! Si tu es aveugle ami, achète toi des lunettes et un clebs.

    La scène de l’attaque sur Guadalcanal est de loin le top du top du grand n’importe quoi. Les archives dans une tour, le coup de l’antenne parabolique qui doit se mettre en place pour transmettre (si t’es pas ingénieux, tu comprends pas), le super bouclier autours de la planète (ils ont des boucliers pour planètes, mais ne les placent pas où il faut dans les autres épisodes) etc. C’est beau, c’est naïf. Je recommande d’ailleurs aux troupes rebelles de laisser tomber les pistolets à piou-piou, qui tirent un coup par seconde, pour les échanger contre des mitrailleuses (une MG42 par exemple).

  67. Bref, de la propagande jedi aux fins de disqualifier les bienfaits de L’Empire
    Ps : entièrement d’accord avec la fascinante perspective de l’intrusion d’une MG42 ou d’une M60 dans le scénario …

  68. Hmmm mr Connard vous étiez bourré en regardant le film ou bien ? Le film n’est absolument pas flou, enfin en 2D. Il faut bannir la 3d cette nouvelle vache à lait qui n’apporte rien et permet aux salles de nous extorquer encore plus d’argent. D’ailleurs c’est un enfer pour trouver une salle qui diffuse le film de façon normale : en 2D et en VF (oui j’ai des enfants).
    J’en reviens à ce qui m’a fait tiquer : la scene du poulpe. Maurice implore pour sa vie car Saw lui dit qu’il ne lui fait pas confiance et donc que le super poulpe va lui siphonner le cerveau pour savoir s’il ment. Ca rend pas fou, je dirai plutot qu’on devient un legume. Mais bon grace au pouvoir de la justice et des fleurs ca dure pas longtemps dans ce film… Saw a pas vérifié la clé parce qu’il a vu Independance Day, dans l’espace tous les ordis tournent sous win95 et on est jamais à l’abri d’un virus ….
    *
    Le aissof base vient de super loin, je comprendrai pas pourquoi renomme donnie aissof… Juste pour un jeu de mot c’st moyen :|

  69. J’ai adoré (entre autre)
    « Allez, quoi, vous n’avez pas envie d’une jolie masure avec des portes qui font des bruits rigolos et des loupiotes partout plutôt que votre demeure en caca ? »

    Bon sinon, le film est pas si mal que ça, disons que c’est une bonne petite bouse, pas un gros étron comme le VII, mais effectivement pas de quoi se relever la nuit ^^
    Au dela des incohérences et des débilités, ce qui m’a le plus gêné est que tout ceci semble une excuse pour montrer des Stromtroopers se faire buter par paquet de douze – normal dans un sens, le mot « Wars » est un peu indicatif de ce type de contenu… m’enfin, là c’est limite s’ils ne balancent pas des rires enregistrés à chaque mort, putain c’est vrai, tuer des gens c’est tellement rigolo !
    Bref, encore une merde propagandiste pour neuneus ultra-conformistes qui s’achètent une caution morale « oh nous on est des rebelles, contre le vilain empire, bouhouh ». Et qui voteront quand même pour la Furher dans un mois ^^

  70. Outre la distinction entre rebelles extrêmistes et rebelles modérés digne d’un discours de Laurent Fabius, outre la psychologie des personnages dont l’absurdité a déjà été soulevée, n’y a-t-il pas quelque chose à dire sur le fait que les plans de l’étoile sont déjà aux archives ? Sérieusement ? L’arme n’est pas encore testée et tous les documents de travail sont déjà archivés ? Les scénaristes ne sont visiblement pas au courant de ce à quoi servent des archives. On se demande comment une structure aussi hiérarchisée et bureaucratisée que l’Empire pourrait fonctionner de la sorte.
    Le problème de ce film (et de la plupart des mauvais films de ce genre) est ce qu’on pourrait appeler l’écriture à rebours : on commence par écrire la fin d’une histoire (Nolan commence sans doute à écrire ses films par un twist final pour attardé) avant de trouver des justifications maladroites aux événements qui ont permis d’y arriver. Ce ne peut donc être que du bricolage : un événement requiert qu’un événement antérieur est bien arrivé et tant pis si celui-ci souffre d’incohérence narrative (psychologie des personnages, univers, etc.) puisqu’il est la condition sine qua non de celui-là. On aboutit in fine à une chaîne narrative truffée d’incohérences rendues nécessaires par l’inhabileté des auteurs, chaîne dont Rogue One n’est toutefois pas le pire exemple.

  71. Rogue One n’est pas le pire de la série. Mais je me doutais qu’il serait critiqué ici, il y a sa place. Comme ceux qui vont suivre.

  72. Une critique qui se veut humoristique et méchante mais qui a force de méconnaissance sur l’univers et le film tombe dans la platitude et le ridicule…. c’est bien dommage.

    • … connaisseur de l’Univers, je tombe pourtant d’accord avec l’Odieux C.
      Quant au film, il me semble assez bien décrit.

  73. Maintenant qu’on a vu SW épisode VIII, Rogue One est définitivement le « Citizen Kane » de l’empire Disney ! Finalement, malgré les trous dans le scénario, c’est très honorable (au moins il y a une tentative de rester dans le canon, et la transition vers l’épisode IV est habile). De toute façon, Disney n’arrivera jamais à faire mieux que Rogue One.

    • Plutôt qu’habile, j’aurais dit « impressionnante ».
      Pour moi, elle se résume à cette scène :
      Vador, déchaîné… qui tranche dans le vif du sujet, à la poursuite des plans de l’Etoile Noire.
      (la meilleure scène du film selon moi.)

      Séquence qui, ironiquement, n’était même pas prévue à l’origine.

      • On pourrait également dire que cette scène n’a aucun sens. Pourquoi ?
        Dans l’épisode 4 : en abordant la corvette, Vador laisse ses troupes exterminer l’opposition avant de pénétrer. Alors que dans un vaisseau nettement plus grand, il va seul en slip et couteau laser à la main. Logique ?

  74. « Véganisme et Wookies – Le vivre-ensemble a-t-il ses limites ?  »

    … bah faut dire qu’un végan, ça n’ose pas broyer les bras de son adversaire quand y fait un barbeuc…
    alors qu’les wookies, eux…
    y s’en privent pas.

    • Par contre… « Archivu »… c’est dommage.
      Je comprends l’hommage… mais songez que c’est peut être la SEULE planète, depuis un long moment, à nous offrir un nouvel environnement, tirant sur le « Plage Tropicale » Plutôt que Sable… Glace…
      L’appeler « Archivu »… sauf votre respect, je trouve ça vache.

  75. @ Ecran Large, cité en tout début d’article :
    Va t’faire !
    Tu touches pas à l’Empire Contre-Attaque !!
    Et ton bousin, c’est pas pask’il a des TB-TT dans le casting que c’est l’Empire Contre-Attaque.

    TU PIGES ?

  76. A propos du vaisseau plus grand dedans que dehors, je me permet de rappeler que n’importe quelle Mini Austin (classique) en est capable…

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