Chasseurs : quels sont les gibiers de l’été ?

« Monsieur, Monsieur ! »

D’un rapide mouvement du pouce, je relève mes lunettes de soleil pour constater que ce sacripant de Diego s’est collé juste au-dessus de ma chaise longue. Il se tord nerveusement les mains et sue plus que de raison malgré la chaleur.

« Que se passe-t-il mon bon ? dis-je en levant un sourcil. Ne vois-tu pas que j’étais occupé ?
– Patron, je sais que vous détestez être dérangé pendant que vous frappez quelqu’un avec sa perche à selfie, mais c’est important.
– Important ? Plus important que d’achever ce gourgandin qui bouge encore ?
– C’est-à-dire que ça a beau être les vacances, il faudrait un peu mettre votre blog à jour, patron. Il y a des gens qui s’ennuient au bureau qui ont besoin de lecture.
– Hmmm. Tu n’as pas tort, bon laquais. Tant pis pour les activités estivales, je dois travailler un peu, tu as raison.
– Et… et moi ?« 

Diego et moi-même sommes un peu étonnés de voir que le forban que je tiens par le col n’est pas encore inconscient, aussi corrigé-je la chose d’un vif coup de perche, qui dans l’affaire, active l’appareil photo encore accroché à l’arme improvisée. Je laisse glisser ma victime au sol, et confie la perche sanglante à Diego.

« Mon bon, tu connais ton affaire. Tu gardes la photo pour mon album de souvenirs, et tu vas me ranger le Monsieur façon poupée russe.
– Façon poupée russe, patron ?
– La perche dans le Monsieur, le Monsieur dans un trou, le trou dans les bois. 
– Ah, oui, je vois. 
– C’est plus ludique pour la police quand ils retrouvent les cadavres. Je pense à mon prochain mais… ah, ma générosité me perdra, allez, au boulot ! »

Et penchons-nous sur l’actualité. Car celle-ci est remuée par une immense vague d’indignation : en Afrique, un dentiste aurait tué un lion. Et pas n’importe lequel : une célébrité.

Erreur tragique ! Car comme chacun sait, il y a deux grands cas où Internet devient fou :

– lorsque quelqu’un fait du mal à un chat (si des chatons tentaient de franchir la Méditerranée en radeaux, il y aurait un pont depuis longtemps)
– lorsqu’une star disparaît (comme ça on peut faire des pages « Jean-Luc Delarue a jamé dans no keurs« )

Alors abattre un fameux félin, c’était j’imagine une sorte de suicide. Ou une revanche contre tous les lions qui servent de logo aux marques de sucreries. Une affaire professionnelle, en quelque sorte.

Mais pendant qu’Internet s’indigne avant de passer à autre chose, rappelons que les chasseurs sont indispensables à la régulation de certaines espèces. Pas le lion, qui est en plus tout facile à chasser (ça reste un chat ; donc à part à 5h30 du matin où il passe son temps à courir chier partout sauf dans sa caisse, ce n’est pas vraiment une cible mobile), mais bien d’autres espèces de nuisibles qui n’ont plus de prédateur.

Aujourd’hui, aidons-donc nos boucaniers préférés :

Chasseur, laisse tomber les lions.

Viens plutôt aider à réguler les vrais nuisibles de l’été.

Et dieu sait qu’ils sont nombreux. Mais, découvrons-les ensemble !

Le surfeur, à l’origine de l’expression « Briser les rouleaux »

Le surfeur

Chasseurs, inutile d’emmener votre épagneul breton pour pister la bête, car celle-ci est aisément repérable. Les cheveux aux vent et le sourire toujours prêt, il faut savoir que le surfeur est affligé d’un terrible mal qui fait qu’il ne peut se déplacer qu’au petit trot. Allez savoir pourquoi, même quand il n’est pas pressé, il trotte sur la plage avec une énorme planche sous le bras tout en commentant la nature vagues avec des anglicismes qui ne font que rappeler la nature profondément perfide de l’animal.

Le surfeur fait beaucoup de mal à l’écosystème, puisque son jeu préféré consiste à aller faire le kakou dans l’océan, de préférence là où ça remue un peu, à savoir, le territoire des requins. Une fois sur place, il se plaindra que ces enfoirés de squales ont encore essayé de lui bouffer une jambe, et appellera une fatwah de surfeurs pour liquider ces animaux qui ont le toupet d’être chez eux. Un peu comme proposer d’organiser un concert de métal dans une tanière d’our brun « Parce que l’acoustique y est super » avant de reprocher aux ours d’être un peu soupe-au-lait. Même s’ils sont très bons en pogo, reconnaissons-le.

Comment le chasser ?

Il existe principalement deux méthodes. La première consiste à installer un faux magasin de tatouages tribaux à proximité du lieu de rencontre des surfeurs. L’animal, sitôt qu’il a humé l’odeur de la mauvaise encre et du piercing infecté ne peut résister à cet appel et viendra de lui-même à vous. Vous n’avez plus qu’à utiliser votre arme, ou si vous êtes plus sportif, à le tabasser avec sa propre planche. L’autre méthode nécessite un peu plus de moyens, mais apporte aussi plus de panache : louer un canadair ainsi qu’un certain nombre d’hectolitres de sang d’agneau et verser le tout sur la zone où les surfeurs s’ébattent. Aussi artistique qu’amusant, vous ferez la joie des vacanciers qui n’appelleront jamais les secours, trop occupés qu’ils seront à filmer le tout ou à faire des selfies avec les bouts de membres rejetés par la marée.

Et si j’en capture un ?

Surtout pas ! Il ne faut pas faire souffrir l’animal inutilement. Vous êtes un chasseur, pas un monstre sans cœur. Si vous veniez malgré tout à garder un surfeur en captivité, vous le verriez vite dépérir. En 1992, un chasseur suisse tenta ainsi d’élever un surfeur capturé à Biarritz sur les rives du Lac Léman. Malgré la présence avérée d’eau, le surfeur se laissa mourir et refusa de s’alimenter en cacahuètes et cocktails à la con, pourtant ses aliments préférés. Le vétérinaire qui constata le décès de l’animal conclut que « sans squale à emmerder, le surfeur meurt« . Conclusion : pour que les surfeurs vivent, il faut des requins. Et pour qu’il y ait des requins, il faut moins de surfeurs. Chasseurs, en chassant le surfeur, vous sauvez non pas une espèce mais bien deux.

Vendeur de chouchous niveau 99

Le vendeur de chouchous

« Chouchous, qui veut des chouchous ?« . Tout comme le bruit des cigales dans les calanques ou des klaxons sur le périph’, ce cri typique de la faune des plages est bien connu des vacanciers. Bien qu’il se trimbale avec tout un étal de merdes à vendre, et qu’il est donc visible à deux bornes à la ronde, le vendeur de chouchous ne peut s’empêcher de brailler son appel, juste pour se signaler aux gens qui ne l’auraient pas vu puisque les yeux clos, comprendre, ceux qui essayaient de pioncer jusqu’à ce ce que ce petit rabouin arrive. Le vendeur de chouchous rôde en général à proximité des familles, tant il sait que les enfants, ces parasites des adultes, ont entamé la résistance mentale et intellectuelle de leurs parents les rendant plus aptes à acheter trois arachides grillées pour 5€. On raconte que dans les cartels mexicains, le prix des organes est indexé sur celui du chouchou, afin de ne jamais dépasser celui-ci considéré comme « la limite humaine« . Amis chasseurs, vous pouvez trouver dans le commerce quantité d’appeaux qui imitent le cri du vendeur de chouchous et ainsi l’attirer. Attention cependant, si vous avez des enfants, l’affaire pourrait mal tourner. Soyez prudents !

Comment le chasser ?

Une technique très prisée consiste à creuser un trou dans le sable et à s’y cacher avant de se coiffer d’un chapeau sur lequel vous aurez collé quelque chose susceptible d’attirer l’animal, comme par exemple un billet de 5€ ou une tête d’enfant (ça dépend de ce que vous avez le plus chez vous ; pour ma part, je suis un peu court en petite coupures). N’hésitez pas à employer votre appeau si la bête se montre hésitante, puis, une fois à portée de votre arme de chasse préférée comme disons, une MG-42, ouvrez le feu. De là, n’ayez aucune pitié : tant qu’il reste de l’air dans les poumons de l’animal, il tentera de pousser son cri pour emmerder tous les vacanciers. Soyez fermes.

Et si j’en capture un ?

Si vous disposez d’un très gros terrarium insonorisé, il est possible d’élever un vendeur de chouchous en captivité. Cependant attention ! On se souvient de la grande évasion du parc zoologique de Lille, lorsque le terrarium avait été laissé ouvert par erreur par un gardien. Les vendeurs de chouchous s’étaient alors répandus dans toute la ville, cherchant des enfants signalant la présence de familles à qui fourguer leur camelote à proximité. L’affaire se termina par l’intervention de la gendarmerie et une vive fusillade, même si l’on raconte que les derniers vendeurs de chouchous dispersés continuent à errer à proximité des écoles, donnant à la région une réputation qui n’est plus à préciser. Méfiance, donc !

Quoi de plus relaxant qu’une journée à la plage ?

Le collant

Vous venez de trouver cette crique isolée. Le sable y est une caresse et l’eau si claire que lorsque vous vous y glissez, vous apercevez distinctement, encore là après des siècles, les restes d’une amphore perdue il y a bien longtemps par un marchand phénicien oublié par les âges et le temps. Le soleil est immobile dans le ciel, et tout est suspendu autour de vous. L’endroit parfait pour y rester des heures avec l’être aimé qui s’enlace autour de vous dans l’onde à peine troublée par votre présence. Personne pour vous épier, vous allez pouvoir faire l’amour, puis avec un fameux gros caillou©, l’assommer avant de l’ent…

« Pwët pwët ! » fait la voiture qui vient de se garer en haut de la crique en libérant une famille entière. Un téléphone portable en guise de ghetto-blaster glissé dans le slip de bain de Monsieur diffuse du Booba pendant que Madame injurie Léo, Théo et Matthéa qui se battent pour savoir qui gonflera le bateau (à défaut de vous gonfler vous). Alors que vous espérez encore vous isoler dans un coin de la crique, ces braves gens viennent s’installer juuuuuste à côté de vous. Il y a pourtant bien 100 mètres de chaque côté, où se coller, mais non. Ils sont décidé d’être vos nouveaux voisins et se posent à moins de six centimètres. L’amphore oubliée est vite écrasée par Théo pendant qu’il chiait dans l’eau, et qui blessé au pied, se met à brailler durant de longues heures, sans pour autant que ses parents ne quittent la plage pour l’emmener se faire euthanasier chez le vétérinaire (incompréhensible).

Vite, amis chasseurs ! Le monde libre a besoin de vous pour le débarrasser du vacancier collant et de sa progéniture !

Comment le chasser ?

Le collant par définition est un parasite de l’homo sapiens tranquilus, celui qui aimerait bien pouvoir profiter d’un peu de calme. Il faut donc s’installer dans des lieux relativement isolés, de préférence avec une plage, dans l’attente d’y voir s’y installer de braves gens. Et inutile de mater, hein, je vous connais canaillous ! Fort logiquement, et comme attirés par un aimant géant, le collant va débarquer dans sa voiture familiale pour déverser bruit et apocalypse enfantine et fécale sur les malheureux. Il est recommandé d’utiliser une arme se rechargeant rapidement pour être sûr d’abattre le collant et ses miasmes avant que ceux-ci ne se dispersent. Pas d’arc, donc, sauf bien sûr si vous êtes Legolas. Et d’ailleurs si vous êtes Legolas, merci de garder la dernière flèche pour vous la tirer dans la bouche, le cinéma vous remerciera.

Et si j’en capture un ?

Le collant meurt s’il n’a personne à coller, ou lorsque son téléphone n’aura plus assez de batterie pour diffuser les dernières merdes en vogue. Ils ne font pas du bruit par hasard : le silence les tue à petit feu. D’où le fait que vous ne les retrouviez jamais dans les bibliothèques municipales. Si vous n’avez pas le cœur de tuer votre collant, relâchez-le.

Mais dans un sac en plastique, et de préférence, par 200 mètres de fond.

3-beach-phone

« OUI ALLÔ MICHEL ? JE SUIS À LA PLAGE. LA PLAGE ! OUI ! AH, C’EST CALME, UN VRAI BONHEUR ! IL FAIT QUEL TEMPS CHEZ VOUS ? »

L’opérateur

Espèce qui n’a eu de cesse de prospérer depuis l’invention des forfaits illimités à vil prix, l’opérateur est une sorte de bipède ne disposant que d’un bras, l’autre étant collé à son oreille pour y tenir son combiné ou son oreillette qui n’arrête pas de tomber. L’opérateur est un peu comme la guêpe : dès que vous vous posez à une terrasse, il vient tourner autour de vous et malgré tous vos signaux, poursuit son oeuvre de dérangement avec plaisir. L’opérateur dispose en effet d’un téléphone dont il se sert pour parler – très fort – dans les endroits bondés pour s’assurer que tout le monde entende ce qu’il raconte. Et curieusement, il parle rarement de géopolitique ou de physique quantique, mais plutôt du cul de Lulu ou de la dernière blague entendue, impliquant un rabbin, une pute et un Belge (mais vous la connaissiez avec un prêtre). Le plaisir pervers de l’opérateur consiste à appeler quelqu’un durant 20 minutes en saoulant tout ce qui a plus de 30 de QI dans un rayon de 60 mètres, avant d’enfin raccrocher, provoquant un soupir de soulagement collectif. Faux espoir instantanément brisé par l’opérateur qui rappelle aussitôt quelqu’un d’autre pour recommencer le même cycle.

Comment le chasser ?

En hommage à la guêpe dont il se rapproche follement, je ne saurais que trop recommander, amis chasseurs, une énorme raquette électrique ou une tong d’environ 3 mètres de haut à lui lancer à la gueule. Si vous avez choisi la raquette, pensez à emmener des batteries de rechange histoire de pouvoir griller l’animal assez longtemps pour lui faire sentir de manière proportionnellement infime la douleur que vous avez éprouvé en le supportant. Vous pouvez sinon utiliser un brouilleur de portable : celui-ci étant un organe vital de l’animal, s’il n’a plus de 3G, son cœur s’arrête aussitôt.

Et si j’en capture un ?

Ne lui donnez pas votre numéro, puis envoyez le baygon.

2048x1536-fit_touristes-perche-selfie-paris-6-janvier-2015

3 minutes avant le retour de Vlad l’Empaleur

Le perchiste à selfie

Comme indiqué au début de cet article, le perchiste à selfie se reconnaît facilement grâce à sa perche, qui lui sert à montrer qu’il est tellement repoussant que personne n’oserait seulement l’aider à prendre une photo. La légende raconte que sa perche est l’équivalent de la corne chez les licornes, et que quiconque s’en empare peut voir l’un de ses souhaits se réaliser, comme par exemple « J’aimerais que tous les perchistes à selfie meurent » ou « Je voudrais que Nicolas Cage sorte un nouveau film » (hé, ho, les souhaits possibles sont au niveau de l’objet, hein !). On peut donc reconnaître le perchiste à selfie grâce à cette curieuse protubérance avec laquelle il se promène, et qui produit parfois un bruit d’appareil photo. Parfois, le perchiste se promène avec des non-perchistes (on suppose que ce sont les femelles de son espèce vu l’absence de perche, ou un truc du genre) avec lesquels il se prend donc en photo en essayant de cacher le maximum de ce qu’il y a derrière eux. De préférence, en gloussant, sinon c’est moins rigolo.

Comment le chasser ?

Si vous avez bien suivi (et je sais que vous l’avez fait car vous êtes comme ça), il faut donc arracher la perche, pourquoi pas faire un vœu, puis, maraver le perchiste à l’aide de son propre appendice, de préférence avec des gestes relativement secs pour y mettre le maximum d’énergie et faire passer Orange Mécanique pour un épisode de Dora l’exploratrice. Inutile d’avoir une méthode particulière pour l’approcher, si ce n’est ce conseil : le perchiste passant son temps à faire des selfies, il ne voit que dans son dos. Penser donc à approcher de face (et de préférence sans être sous le vent pour ne pas l’alerter), et fort logiquement, il ne vous repérera que peu avant de recevoir son premier coup de sa propre perche. Attention par contre s’il est en groupe, à vous même attaquer en meute : les survivants pourraient eux-même devenir perchistes (d’après les observations, lorsque le mâle dominant disparaît, les femelles se laissent pousser la perche). Prudence, donc !

Et si j’en capture un ?

Le perchiste à selfie est très facile à élever en captivité, puisqu’il ne remarque qu’à peine son propre environnement. Si vous lui déposez régulièrement de la nourriture adaptée à son régime, à savoir des burgers qu’il pourra prendre en photo et des trucs de chez Starbucks, il y a même de fortes chances qu’il ne découvre jamais qu’il est enfermé dans une cellule de deux mètres carrés. Vous pouvez le sortir pour le montrer à vos amis si le cœur vous en dit, mais attention à ne pas passer près d’une FNAC, auquel cas il risquerait d’aller essayer d’y acheter un appareil photo hors de prix pour pouvoir se dire « photographe » sur sa page Facebook. Oui, un peu comme les Mogwais, il y a des interdits sinon il mute.

Alors, amis chasseurs, après tout ça, si vous avez encore envie de faire partie des ringards qui dépensent des fortunes pour tirer sur des animaux qui ne bougent pas, et mettre dans vos salons des trophées moches, vous êtes vraiment de bien mauvais boucaniers. Car il y a bien plus moderne, mobile et amusant à chasser croyez-le bien !

Et d’ailleurs, si je pouvais en avoir quelques-uns pour me couvrir durant mes vacances, ce serait sympa (je rappelle d’ailleurs à nos amis toulousains que je serai chez eux la semaine prochaine comme le veut la tradition annuelle, merci donc de guetter Facebook ou Twitter pour quand j’y posterai le jour, l’heure et le lieu si ça vous tente !).

Bon, j’en étais où moi ?

Ah oui. Diego ? Avant de fermer le coffre, tu peux me passer la perche à selfie du filou si tu ne l’as pas encore mise dedans ? Voilà, j’en ai pour une seconde. Hmmmm…. concentration… voilà, je te la rends. Tu peux y aller. Ce que j’ai fait ? Ho, trois fois rien.

De toute manière, si je te le dis, ça ne se réalisera pas.

Ahaha… ahahaha ! AHAHAHAHAHAHAHA !

71 réponses à “Chasseurs : quels sont les gibiers de l’été ?

  1. Super article comme toujours. Attention manque un petit « s » au 1er « ours » dans le paragraphe du surfeur.
    Odieusement,

    Une lectrice.

  2. En plus, si on laisse agoniser l’un de ces specimens pendant 40 heures après avoir visé comme un manche avec notre arc, personne ne nous en voudra !

    C’est merveilleux, merci Odieux !!

  3. Non mais j’y crois pas! Tu passes à Toulouse juste les deux semaines où je n’y suis pas!!! T’abuses mec! J’aurai bien aimé faire la connaissance de celui qui fait ma fierté quotidienne car tous mes amis adorent ton bouquin, lequel a une place de choix dans mes toilettes (et oui, c’est très flatteur, car c’est bien le seul endroit où tu es sûr que les gens liront un bouquin!).
    Sinon, concernant la chasse, j’approuve tes choix de cibles, auxquels je rajouterai le kéké des plages qui te fait chier à mort à se croire tout seul sur la plage avec ses potes trop cons.

  4. Comment, vous n’êtes pas déjà à Toulouse ? Mais alors, a qui appartient ce corps de (jeune) femme démembré tout juste découvert ce matin par la maréchaussée Toulousaine ? ^_^
    Je n’ose imaginer Diego enfreindre vos consignes strictes consistant à se débarrasser des corps en forêt …

  5. Brûlez les tous ! Je préconise l’emploi massif de napalm.
    Toujours aussi divertissant.

    • Ce monde n’est pas prêt pour ça, pourtant ! Pas encore ! Qu’ont…QU’ONT FAIT CES FOUS !?

      (Après honnêtement, si c’est gratuit, pourquoi pas)

      • Et summum de la classe, le héros se fait pisser dessus dès le début du film. Un comble de charisme qui laisse présager la suite du film (avec mes amis pourtant fans de nanars, on a pas tenu tout le film)

  6. Mais… Legolas n’était-il pas connu et décrié pour avoir un nombre infini de flèches ? Il faudra trouver un moyen plus efficace de l’éliminer !…

  7. Il faut développer l’idée du terrarium. J’veux dire, il faut laisser les nuisibles entre eux. Vous créez une jolie plage, au bord d’une mer bien lotie en vagues, et vous mettez un couple de requins au large.
    Il faut aussi penser au kanabeach et au mcdonald’s, pour qu’ils survivent.

    Vous n’avez plus qu’à y lâcher en semi-liberté vos nuisibles. Les vendeurs de chouchous seront ravis de vendre aux familles des collants des conneries en tout genre, et des perches made in china aux perchistes, mais avec des dessins trop cute sur la perche, parce que personnaliser sa perche c’est aussi fun et cool que personnaliser la coque de son mobile.
    Les requins pourront manger du surfeurs et ces derniers auront la possibilité de crier à loisir que des méchantes bêtes veulent les manger (mais continueront malgré tout à surfer malgré le danger, parce qu’ils sont comme ça).

    Les collants feront péter booba par le truchement de leur mobile, car le mobile pour écouter de la musique c’est vraiment super, le son est génial, c’est bien connu, créant une concurrence sonore aux opérateurs. Du coup tout le monde tentera d’élever le son, créant une cacophonie de tous les diables. Résultat, les opérateurs s’adapteront, et raconteront à la personne à qui ils parlent, qu’ils sont à un concert de Booba « trop la classe prochaine fois j’t’invite sis’ parce qu’on est BFF t’vois… ». Parce qu’il faut admettre que l’opérateur est un peu mythomane sur les bords, et il aime bien raconter des anecdotes incroyables sur sa vie.
    Notez comme ces deux spécimens sont complémentaires : le collant peut coller l’opérateur, l’opérateur aime ça. Et inversement.

    Enfin, le perchiste à selfie sera super content de se prendre devant un surfeur en train de se faire bouffer par un squale. Il pourra aussitôt publier la photo sur facebook avec un commentaire magique du genre « tro Gnial le rekin! »

    Car oui, dans ce petit biotope, il faut un accès wifi. Pour que les gamins des collants, au bout d’un moment quand ils s’emmerdent après avoir pourri l’intégralité de la plage, puisse aller sur facebook à leur tour et mettre un « aime et j’publie » (ceux qui ont un cousin/cousine/frère/sœur/neveu/nièce de 12 à 16 ans en contact Facebook comprendront). Vous pouvez ainsi identifier tous vos futurs spécimens susceptibles d’être compatibles avec votre biotope : ce sont ceux qui auront mis un j’aime à la publication des gamins. Et aussi à celle des perchistes, notez…

    Et puis bon quand on en a marre de les voir faire les cons on s’amène avec une kalachnikov et on fait le ménage. De toute façon ces spécimens ne sont pas en voie de disparition, vous pouvez être dentiste et américain, personne ne vous en voudra vraiment de les éliminer.

  8. C’est un teaser ? Vous allez réellement nous spoiler Outcast ? Vous savez que c’est cruel de nous faire du teasing ?

  9. Je me permets d’ajouter une recette de cuisine à ce séminaire sur la chasse, bien évidemment c’est lié à l’article.

  10. Mon ego souffre. Hier soir, je vois l’article de sortie, et je décide de me le garder pour aujourd’hui. « Ça m’occupera un peu au boulot ».

    Et dans les premières lignes… « Il y a des gens qui s’ennuient au bureau qui ont besoin de lecture.»
    Je méprise votre clairvoyance, Odieux !

    Au delà… Chouette et divertissant article, mais je regrette l’absence de ruade plus franche dans la polémique de cette histoire de lion ! ^^

  11. Cher monsieur Connard, (j’ai toujours rêvé de dire ça…)

     » en commentant la nature vagues avec des anglicismes » : il semblerait que vous ayez oublié un mot.

    « (d’après les observations, lorsque le mâle dominant disparaît, les femelles se laissent pousser la perche). »
    Là j’ai ri.

    Sinon, merci pour cet article édifiant. Je vais encourager ce type de chasse. Le surfeur et le vendeur de chouchous restent un gibier localisé dans des zones géographiques trop éloignées ; en revanche le collant, l’opérateur et le perchiste se trouvent malheureusement partout, et je crains pour l’avenir. Connaissant la propension de ces trois races au mimétisme et à la reproduction, il est légitime de s’interroger : allons-nous vers de possibles mutations de type colloperchopérateur ? operchicollateur ? perchopécollant ? J’en frisonne !!

  12. Cet article fait désormais partie de mes articles préférés. Hormis les spoilers, j’adore les articles dans ce genre (celui sur les courses est tout aussi diabolique). Si vous aimez ce genre d’articles, achetez le livre du seigneur Odieux, il contient quelques articles dans le même genre tout aussi bons.
    J’espère sincèrement que vous allez spoiler Outcast. Quand j’ai vu l’affiche, je me suis dit que le réalisateur devait avoir vu votre blog, parce que c’est pas possible autrement.
    Merci encore pour cet article, très cher Odieux. Mais attention à ne pas attraper un coup de chaud en allant chasser à la plage en costume noir, certes, c’est classe, mais ça tient chaud.

  13. Je suggère plutôt de construire un pont EN chats, c’est pour le bien de l’humanité. Trucculent article, merci.

    Mais analysons plutôt l’affiche de Outcast (qui signifie « proscrit », ça commence bien). On a donc des flammes et des explosions en pagaille en arrière plan, un Nicolas C. qui découpe des gens d’une main tout en posant pour Vanity Fair avec la même perruque que dans Le Dernier des Templiers et un Hayden C. (sans doute son fils) à la capilarité très crédible pour l’époque.
    Je dirais qu’il tape un 10 à l’étronomètre.

  14. Houtch, rien qu’à voir la coupe de cheveux très crédible (tu as raison S.S. [drôle d’initiales]) du Hayden…

    On peut vomir avant ? Ce serait dommage d’en mettre sur les autres spectateurs… Quoique.

  15. Le coup de prendre la perche à selfie et de frapper vigoureusement le mécréant avec, c’est une idée que j’ai mis en pratique il y a un moment déjà (Et notamment à chaque fois que je passe devant un stand de selfie-stick sur un marché nocturne).
    Mais merci cher monsieur Connard, sans vous je n’aurais jamais su qu’un vœu était possible :)

  16. Outcast, ce navet avec de (trop) rares, mais purs moments de grâce.

    Ou comment est-ce qu’un film fait penser à tout son public français qu’il va se dérouler en Terre Sainte… (je ne déconne pas. Le titre français est Croisades, et y’a qu’à voir l’affiche et le dos du DVD pour le voir)
    …Alors qu’ils partent joyeusement charcler du chinois en Chine.

    Il aura eu au moins le mérite de proposer la fausse accusation de meurtre la plus débile de l’Histoire de l’Humanité (et qui marche en plus !), une façon chinoise originale de laver les gens, Nicolas Cage en mode clodo canadien le temps d’une scène; et un des malentendus les plus cons de la galaxie (du genre qui aurait put être reglé en 3 secondes, mais qui perdure pendant 20 ans parce que les personnages sont juste des huitres).

  17. « Un peu comme proposer d’organiser un concert de métal dans une tanière d’our[s] brun »

    Raaaah ! Un concert de metal, pas de métal. Non, c’est pas juste pour faire snob en employant la langue d’origine, il y a une logique, en fait : « metal » en anglais, c’est « heavy-metal » qui est une expression idiomatique renvoyant à la violence de la musique ; si on fait la traduction en « métal », ça n’a donc plus aucun sens, puisque l’expression anglo-saxonne ne renvoie pas à la sidérurgie, donc on ne comprend plus du tout de quoi on cause, la musique n’ayant a priori pas grand chose à voir avec cette classe de matériaux…

    Bon. Mais à part ça, j’ai bien aimé, hein. Ça défoule quand, le teint pâle et les idées noires, on reste chez soi écrire toute la journée en sachant que ce genre de zigotos se trimballe sur les plages.

      • Bien sûr, sauf que c’est quand même de là que vient le nom : si on dit « metal industriel », « black metal » ou « metal symphonique », c’est en référence à l’expression « heavy-metal », pas au matériau, « métal » ne peut donc passer pour une traduction.

    • Sauf que l’expression anglaise renvoie à la sidérurgie, même si le terme est détourné.En Bref, Wikipédia te donnes raison, on écrit metal pour la musique. Et le Larousse en ligne t’ignore consciencieusement, le metal n’existe pas. Dans tout les cas j’aurai mis un M majuscule à Metal, parce que quand même, hein, ho!

      • Le terme est détourné, enfin c’est une expression, quoi : quand on dit « heavy-metal », un Anglo-Saxon sait qu’on ne veut pas forcément dire « métal lourd » et que dans ce cas précis, ce n’est pas à ça que ça renvoie.

      • Ou alors…


        On s’en fout ?

        Regarde :
        – Le métal, c’est bon !
        – Le metal, c’est bon !
        – Le Metal, c’est bon !
        – Le métal, c’est bon !

      • Au bûcher! Hérétique! On n’intervient pas dans un débat Théologique aussi capital pour dire osef !!!

    • Je voudrais pas généraliser, mais un concert de METAAAAAAL (la prononciation de rigueur) dans une tanière d’ours brun, on aurait du mal à différencier les spectateurs et les musiciens des occupants. Si on y parvient, ce serait parce que l’ours brun nous aura paru plus gringalet (le cri ou la pilosité sont des critères trompeurs dans ce cas de figure).

      La différence, me semble-t-il, avec le surfeur, c’est que le métalleux est accommodant : si tu lui demande gentiment de te foutre la paix, il le fait (si l’on excepte la poignée de cathos intégristes qui se terre au milieu de la population de Loire-Atlantique ; eux, c’est toujours un plaisir de les enquiquiner) ou s’il ne peut pas, il te paie l’apéro en guise de dédommagement.

  18. How about THE tourist in the streets of main cities? Travelling by herds, trying to take as much space as possible – stopping anyone else from going by – stopping in the middle of busy streets without any concern of others.

  19. Encore un bien bel article estival, et d’intéressantes suggestions, malheureusement difficiles à appliquer car réprouvées par la justice de notre beau pays (elle n’a vraiment aucune humour, ça doit être une féministe).

    Et merci pour le lien final qui va sans doute mener à un spoiler dans peu de temps.
    Au fait, quid des 4 Fantastiques?

  20. « si des chatons tentaient de franchir la Méditerranée en radeaux, il y aurait un pont depuis longtemps »

    Meilleure phrase jamais écrite sur le sujet.

  21. Il y a aussi les cousins des surfeurs : les dragueurs de plage. Ils se croient irrésistibles, et subtils en venant proposer aux cibles isolées (généralement de jeunes femmes) de leur mettre de la crème solaire dans le dos, ou en faisant des concours de T-shirt mouillé devant lesdites cibles pour souligner ce qu’ils pensent être des muscles bien dessinés (mais qui sont plus souvent des poches de graisse)… J’invite les chasseurs à les prendre pour cibles, ainsi leurs cibles pourront apprécier le soleil en paix…

  22. parlant du bon Nicolas qui nous offre régulièrement des perform … ouais bon « LUI ». Il a quand même osé appeler son fils Kal-El. Et il n’est pas mort depuis (comme quoi tout dans l’histoire n’était pas vrai, hélas).
    Sérieusement Kal-El Coppola (ou Kal-El Cage), faut pas avoir honte…

    • Comme quoi l’abus de Cage peut être dangereux pour la santé.

      Et puis Superman Cage, c’est rigolo comme nom.

  23. Très cher Odieux, voilà encore un article hilarant qui se classe facilement dans mes préférés ! Je tenais à vous signaler au passage que j’ai enfin acheté votre livre pour pouvoir convertir toute ma famille, et j’en ai profité pour replacer la pile de livre bien en évidence. Bien à vous, une lectrice.

  24. Mon dieu, cette conclusion… Ce que vous avez fait avec cette perche… j’en frémis encore, brrrr. Quelle horreur.

  25. Hallucinant le nombre de films que les réalisateur laissent tourner à Nicolas Cage… Ils ne savent peut-être pas qu’on peut mettre des serrures aux portes pour éviter que les indésirables ne rentrent.

    Par contre Odieux, vous n’avez guère évoqué le touriste Germaniforme (vous savez, les Néerlandais, les Allemands, les Belges, ceux qui ont de la saücisse dans le sang !).
    Vous savez ?
    Ceux qui vont vous doubler à 150km/h, se rabattre devant vous pour se mettre à 115km/h et ainsi vous demander de faire l’effort d’enlever le régulateur de vitesse ou de les doubler pour que le cycle recommence.
    Ceux qui se garent en plein milieu d’un virage où il n’y a déjà pas la place pour se croiser parce que ce sont leurs vacances quoi, merde ! Ils ont bien le droit de prendre une photo !
    Ceux qui manquent de vous tuer à la montagne en tournant à gauche au moment où vous arrivez à 90km/h parce qu’ils ont laaaargement le temps de passer. Et de toute façon, une Audi A6 aura toujours la priorité sur toutes les autres voitures !
    Bon je sais bien qu’un Germanique qui tente de tuer un Français, ce n’est pas une nouveauté mais quand même !

    • Là aussi, le Browning cal. 30 est tout indiqué. Si vous avez un passager, vous pouvez l’installer en sabord, sinon allez voir un mécanicien agréé pour l’installer sous capot.
      L’autre option est la chasse au harpon au passage, assez complexe mais nettement plus sportive et jouissive.

    • Mais arrête, Nicolas Cage à fait au moins 2 très bon films – en plus qu’il parait qu’il a flambé toute sa thune en reptiles et en crânes humains, ce qui appuie considérablement la théorie du vampire et par là même lui donne plus de crédibilité qu’au premier mcconaughey venu, qui aurait pourtant fait un bon vampire aussi.

    • Je sais que la Flandre essaie de faire croire au monde qu’elle est la Belgique, (notamment en revendiquant Bruxelles dont, à tout casser, 10 % des habitants parlent néerlandais) mais je vous prie de ne pas ranger les Wallons dans la case « germanique ». J’en frémis.

      • Les etrangiens d’étrangie sont étranges. Dèjà que les gens du nord, les bretons, les alsaciens, les corses, les gens du sud-ouest, les marseillais, les toulousains, etc + les autres qui ne me viennment même pas à l’esprist tant ils sont insignifiant, sont pas mal bizarre !!!
        S’il faut faire des catégories entres étrangiens méritant et non méritant, on va pas s’en sortir. Les strumpkfelpüdels viennnet de germanie, pis un point c’est tout.

      • Il parait que la Belgique connait actuellement une terrible guerre civile. Cependant, étant entièrement menée par des armées de ninjas, personne ne s’en rend compte.

      • Ahhhh ce bon vieux racisme Wallon/Flamands !

        J’aime j’aime j’aime, je prédis que la Belgique deviendra notre Palestine Européenne.
        Et non, la comparaison s’arrêtera la, je n’ai pas envie de dire qui des Wallons ou des Flamands jouera le rôle des Palestiniens.
        Ce serait mettre de l’huile sur le feu, ce qui est irresponsable et en plus relèverait de la pire des méchancetés gratuites.
        Vu le commentaire d’Allya, disons que ce sera les Wallons allez zou !

      • Vu notre situation économique, je n’avais pas le moindre doute non plus…

      • Ne vous en faites pas Allya, nous accueillerons avec grand plaisir les réfugiés dans le nord pas de calais !
        J’ai une fort jolie cave, et spacieuse avec ça !

      • Perso, je suis d’avis d’envahir la Belgique, sous le prétexte que la minorité francophone est en péril. Enfin quand je dis « envahir », je veux dire que de mystérieux hommes verts, équipés d’armes françaises, conduisant des véhicules avec des plaques d’immatriculation françaises, mais sans insigne de l’armée française (et donc très probablement, n’appartenant pas à l’armée française) occuperont tous les points stratégiques de la région wallonne. Bien entendu, la population manifestera spontanément en faveur d’un rattachement à la France. Organisation d’un référendum, qui validera de fait l’annexion avec 98% de pour. A ce moment là, on révélera que oui, ces mystérieux hommes verts étaient bien des soldats français, dont le rôle était de défendre la population francophone des exactions des fascistes flamands de Bruxelles. On s’empressera alors de défendre les séparatistes bruxellois, qui n’ont plus confiance dans le pouvoir central, mais bien entendu, ce ne sera pas nous qui leur aurons fourni les chars Leclerc et les Rafales qu’ils utilisent, oulalah ! Et non, l’armée française n’est pas présente à Bruxelles : ce sont juste des volontaires qui sont partis se battre pour défendre la langue française, pure coïncidence s’ils font partie à 99% de la légion étrangère, la preuve, ils ont démissionné juste avant de partir, et ils n’ont pas du tout été obligés de le faire.

  26. Cher Odieux, c’est trop facile de vous cacher derrière un marronnier pour éviter d’aller voir les chefs d’œuvre actuellement en salle. Je suis très, très déçu de ne pouvoir vous imaginer hébété et en sang après avoir survécu aux 4 Fantastiques ou aux « profs » (même s’ils me semble que vous évitez généralement l’autoflagellation des films françois).

  27. Mais quel manque de responsabilité cet article !
    Je m’insurge.
    Si vous donnez les bonnes recettes pour tuer (une petite partie) des nuisibles (il en reste tellement d’autres), il ne va plus rester grand monde dans notre beau pays. Qui versera son obole au gouvernement dès lors ?

    Signé : un fonctionnaire courroucé.

  28. Bon, l’article est un peu vieux, mais en le relisant je suis allé chercher quand Outcast était sortit.
    Et Wikipédia à pour une fois dit quelque chose de juste :
    Synopsis
    Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.

    Je pense que ça se passe de commentaires

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.