Sofiya Ozerkova – À mort la sorcière
Quand on est femme, pilote, et plus ou moins sorcière en 1942, on découvre rapidement qu’on a beau botter des culs, ces messieurs ont d’autres priorités.
Quand on est femme, pilote, et plus ou moins sorcière en 1942, on découvre rapidement qu’on a beau botter des culs, ces messieurs ont d’autres priorités.
– Vous gagnez cette manche, Monsieur Connard. Attaché à la table de dissection, l’espion me décoche un sourire plein de confiance malgré sa situation. Je me contente de tirer sur […]
Notre guide semble hésiter l’espace d’un instant : il a un doute. Il a dû réviser toute la nuit son texte si j’en crois les cernes qui ornent son visage, […]