Je parle le Wesh
Triste époque que la fin du mois d’août, quand le travailleur, encore bronzé après ses vacances à la Baule, erre tristement dans les rayons de son Carrefour, les yeux rivés […]
Triste époque que la fin du mois d’août, quand le travailleur, encore bronzé après ses vacances à la Baule, erre tristement dans les rayons de son Carrefour, les yeux rivés […]